Commenti disabilitati su POUR CONTRER LE TERRORISME D’ÉTAT ITALIEN, J’AI BESOIN D’UN AVOCAT DIGNE DE CONFIANCE, 26 juillet 2020.

(Pour les documents, veuillez consulter la version italienne originale.)

Depuis le 27 mars 2020, je ne trouve pas d’avocat prêt à répondre à mes appels ou à prendre en charge ma défense. Dans deux cas, rejetant les preuve et les faits de la cause, on a tenté de réécrire mes plaintes afin de protéger les coupables que j’accusais. Aucune organisation de gauche – partis, petits partis, y compris les partis dits « marxistes », syndicats, diverses organisations, en particulier celles qui prétendent défendre les droits de l’Homme, les gens que je pensais connaître, etc. – personne n’a jusqu’ici ressenti le devoir constitutionnel de me répondre . De plus, en toute vérité quoique sans grande surprise dans l’Italie contemporaine, encore une fois philosémite nietzschéenne, aucun siège de l’ANPI – association des partisans – n’a daigné me répondre. Pas même une seule ligne. C’est le signe le plus évident de la dégénérescence éthico-politique transversale dans laquelle notre République, née de la Résistance, est désormais engloutie dans sa marche vers une ruine socio-économique et culturelle irréversible.

L’État a le devoir de protéger ses citoyens et d’assurer le respect des droits fondamentaux consacrés par la Constitution. Moi, Paul De Marco, je n’ai commis aucun crime dans aucune nation. Mon devoir de critique sociale fait partie des attributs de ma profession académique et ne peut être contesté hors du respect de la déontologie scientifique, dans le respect de mon droit de réponse. Aucun citoyen ne peut être accusé et soumis au terrorisme d’État sans la moindre raison légalement formulée, ou avec des diagnostics illégaux falsifiés en guise de dépistage, et ceci dans un contexte où ce citoyen se voit refuser le droit sacré de se défendre légalement. Le député Sapia a écrit: « Il est évident, en l’occurrence, que tertium non datur: soit une commission l’a examiné selon les procédures légales, soit De Marco est victime d’abus. »– DOC H. Il n’y eut jamais aucune commission.

Le gouvernement, c’est-à-dire le Premier ministre ainsi que les ministres de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et de la Santé, recontactés les 17 et 19 juillet 2020, ont choisi comme d’habitude de ne pas me répondre. Le Collège des médecins de Cosenza, recontacté le 17 juillet 2020, ne m’a pas répondu, probablement parce qu’il croit pouvoir jouer sur la prescription avec la complicité générale, ce qui constituerait un crime en soi. Tout cela ne fait aucun honneur à la République italienne.

 

Dans le but de forger une occultation destinée à perpétuer la violation continue de mon domicile en mon absence, dans le plus pur style policier-mafieux, donc sans aucune autorisation d’aucune commission médicale, un diagnostic improbable de paranoïa a été forgé contre moi. Les violations étaient et sont toujours suivies par l’altération de ma nourriture et de mes boissons afin de provoquer un « boiling body effect » très débilitant; jusqu’à récemment, les intrus criminels ont tenté de m’intimider en tachant mes serviettes de bain avec de la peinture rouge … en Calabre …! Je suis donc confronté à des criminels grossièrement incompétents et pathologiques que le professeur Ph. Zimbardo condamnerait sans hésitation. Nous connaissons tous les effets de la dégénérescence psychologique produite par le sentiment d’être protégé par une impunité institutionnelle mur à mur. La résistante et anthropologue Germaine Tillion l’a parfaitement montré. Cela dit, personnellement, je suis convaincu qu’il n’y a pas d’impunité pour ce genre de crime.

Voici le bref résumé des faits. Illégalement et à mon insu, l’étrange et criminel commandant des carabiniers Pantano a fait insérer un diagnostic de paranoïa dans mon dossier médical. Cela s’est produit après une réunion que j’avais moi-même sollicitée le 30 novembre 2015 pour m’enquérir de l’inaction de la police malgré mes nombreux appels et plaintes pour violation de mon domicile et crimes en découlant. Cependant, il ne procéda jamais à l’analyse des preuves que, compte tenu de mon insistance, il dut officiellement accepter de saisir pour le compte des carabiniers à l’issue de cette réunion. L’étrange Procura de Cosenza archiva illégalement mes plaintes, et le fit en prétendant à tort qu’il s’agissait de plaintes contre des inconnus, le tout sans la moindre enquête in situ et sans même prendre la peine d’analyser les autres preuves saisies par les carabiniers de San Giovanni in Fiore (CS) . (Doc 8). La même étrange Procura de Cosenza a également archivé ma plainte contre le Collège des médecins de Cosenza pour son refus de me fournir une réponse et de prendre les mesures nécessaires contre le médecin qui émis illégalement le diffamant diagnostic contre moi, conformément au code de déontologie. (Doc 4) De son côté, depuis le mois de septembre 2017, le Collège des médecins de Cosenza n’a pas répondu à ma plainte pour diagnostic criminel et illégal malgré diverses interventions d’un fonctionnaire du ministère de la Santé. (voir par exemple, Doc 5.d)

 

Selon le journal local Corriere della Sila – octobre 2013 -, San Giovanni in Fiore, un village isolé au beau milieu de la Sila, est devenu une plaque tournante du trafic de la drogue, un “carrefour de la drogue et des affaires louches!” selon le titre de ce mensuel, une ville où, en me fiant à ce qui m’est dit, le « pizzo », qui est le racket le plus abject, est une chose très courante. Souvent, les travailleurs reçoivent un salaire effectif inférieur à leur salaire nominal sur la base duquel ils doivent néanmoins payer l’impôt sur le revenu des personnes physiques. Un tel contrôle territorial ne peut être imposé sans une complicité institutionnelle généralisée. D’après mon expérience personnelle, il semble évident que si un commandant des carabiniers, tel le lâche et criminel Pantano, menace ceux qui osent porter plainte et même s’arrange illégalement pour les faire passer pour des paranoïaques, selon une méthode mafieuse bien rodée, alors la légalité ne prévaudra jamais dans nos terres tourmentées. Surtout si un magistrat, manifestement incompétent comme le relativement jeune Cozzolino, archive à tort et abusivement toute plainte sans la moindre enquête … Tout ceci est intolérable. Le respect dû aux institutions ne s’étend pas automatiquement à leurs personnels. La justice est la même pour tous.


L’Article 14 de la Constitution dispose que “Le domicile est inviolable”. Le domicile est un lieu protégé où personne ne s’attend à être confronté à un double système de surveillance et d’alarme neutralisé par les services de sécurité, à des aliments et boissons altérés et à des actes d’intimidation policiers-mafieux tels que des serviettes de bain tachées de peinture rouge. Je vous demande à tous de faire l’expérience mentale suivante: imaginez un moment être soumis pendant plus de 7 ans à ce traitement infâme par les institutions complices et à la misérable manipulation de certains voisins, également victimisés dans le processus mais néanmoins vénalement complaisants. On alors en droit de se demander: quels étaient les véritables objectifs recherchés par ces monstres pathologiques, ces scélérats incompétents qui auraient peut-être pu apprendre quelque chose sur la psychologie en lisant mes écrits. (À savoir, j’ai fourni la première critique définitive et complètement scientifique des théories charlatanesques psychologiques bourgeoises et surtout freudiennes.) En fait, étant donné l’incompétence et la propension criminelle du dr. Curcio, qui sont démontrés dans mon cas, il faut aussi se demander combien de familles supplémentaires il a déjà détruites? Les dommages exemplaires exigés par moi doivent tenir compte de tout cela car, s’il est vrai que ces monstres incompétents n’ont jamais réussi à me faire perdre mon sang-froid, il est également vrai qu’ils ont systématiquement et pathologiquement détruit ma vie professionnelle et sociale ainsi que ma privacy et mon intimité.

L’histoire entière est exposée dans les documents fournis ci-dessous.

 

S’il reste un avocat digne de la profession en Italie ou dans l’UE, un avocat qui ne soit pas susceptible d’accuser la victime comme moi pour dissimuler les criminels impliqués, en l’occurrence les services de sécurité italiens, incompétents et lâches, placés sous les ordres de services de renseignement étrangers encore plus incompétents et pathologiques, veuillez me contacter en me donnant une indication de la stratégie de défense proposée, du calendrier et des dépenses auxquelles je devrais faire face. Je suis, en outre, convaincu que la complicité institutionnelle – et la peur qui la motive – désormais insidieuse mais systématique qui prévaut dans l’Italie contemporaine précarisée et en particulier dans le Sud – motiverait le fait que mes recours soient transférés devant un tribunal en dehors de la Calabre. Voici mon email: [email protected] .

Mon cas est un cas emblématique, ce n’est pas uniquement un cas à valence personnelle: il remet en cause la violation frontale de tous les droits fondamentaux des citoyens, y compris le droit sacré à une défense constitutionnellement garantie, violation aggravée par une mafia policière qui tente de délégitimer la victime, même lorsque, à mon instar, la victime avait une réputation jusqu’ici immaculée tout en étant dotée d’une éducation personnelle et académique autrement solide que celle de ces tortionnaires de second ordre. Elle doit donc être traitée comme un cas exemplaire au nom de la préservation des libertés constitutionnelles dans notre République.

Dans un premier temps, compte tenu de mes modestes moyens, je voudrais me concentrer sur ma plainte contre le criminel et incompétent dr. Curcio auprès du Collège des médecins de Cosenza, plainte illégalement contrée jusqu’à présent avec la décision calculée de ne pas répondre. L’Ordre n’a aucun droit de ne pas fournir de réponse, éliminant ainsi sciemment mon droit à une défense juridique; le Collège ne peut légalement refuser de mettre en œuvre les mesures imposées par le code de déontologie. Les autres documents sont fournis ici à titre indicatif.

Index des documents

(Les rapports de police – ou « verbali » – seront mis à disposition sur demande. En général, ils accusent uniquement réception de mes plaintes. Vous pouvez utiliser la fonction « Rechercher » pour accéder au document souhaité.)

Premier cas: Ma plainte au Collège des médecins de Cosenza.

 

– Pec au Président du Conseil et aux ministres de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et de la Santé, du 17 au 19 juillet 2020.
– PEC du 17 juillet 2020 à l’Ordre des médecins sollicitant une réponse.
– Bref résumé des faits
– DOC 1. Plaint pour l’annulation immédiate du dr F. Curcio du Collège des médecins et pour la restauration immédiate de ma réputation. 25/09/2017
– DOC 2. Plainte contre le service d’éthique du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr Corcioni. 17 novembre 2018
– DOC 3. Supplément à ma « Plainte contre le service d’éthique du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr. Corcioni» 24 w. 2019
– DOC 4. Communication d’enregistrement de la partie lésée 27-02-2020
– DOC 5 .a. Ministère de la Santé 11 mai 2018 Documento_Principale_0025477-11_05_2018-DGPROF-MDS-P
– DOC 5 .b. Documento_Principale_0046059-27_09_2018-DGPROF-MDS-P
– DOC 5 .c. Documento_Principale_0031044-13_06_2019-DGPROF-MDS-P RINALDI 13-06-2019
– DOC 5 .d Document_Principale_0044041-17_09_2018-DGPROF-MDS-P (De C Rinaldi)

Deuxième cas: Ma plainte nominative contre trois personnes, en particulier contre le commandant criminel Pantano et son acolyte criminel et incompétent Dr.. Curcio.

Remarque: Pour cette plainte, qui a été formulée au fur et à mesure que j’obtenais les documents pertinents – par exemple, après avoir obtenu l’accès aux dossiers médicaux – il faudra la reformuler de manière synthétique afin de souligner l’objet principal de ma plainte, à savoir ma plainte nominative contre la fabrication du diagnostic illégal et contre les menaces du commandant Pantano à mon endroit lors de cette réunion que j’avais moi-même demandée et qui s’est ensuite transformée en un piège infâme avec la complicité du criminel dr. Curcio. J’ajouterais que si le commandant Pantano m’avait informé de la présence non autorisée de ce dr. Curcio, je serais allé à cette réunion avec un avocat et tout aurait cessé sur le champs.

– DOC 6 a. Exposé du professeur Paolo De Marco sur les violations graves et répétées du domicile, 17-05-2017
– DOC 6 b. MISE À JOUR de la plainte aux carabiniers de SGF du 17-05-2017. Juillet 2017
– DOC 6 c Deuxième supplément à ma plainte du 17-05-2017 relative à ma demande d’accès aux documents. 7 août 2017
– DOC 6 d. La 3ème intégration à ma plainte du 17-05-2017 du 22 août 2017. Précisions sur le rôle criminel joué par le dr F. Curcio en accord avec le commandant Pantano.
– DOC 6 e. Exposé sur les nouvelles violations de mon domicile, en référence à ma plainte du 17-05-2017 et ses compléments. 17 avril 2018

– DOC 6 f. Exposé sur les pratiques d’octroi du Nulla osta pour possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père. En référence à la plainte du 17 avril 2018. 20 avril 2018
– DOC 7. Annexe I = img20180903_09505998 Réponse de Cozzolino 03-09-2018
– DOC 8. Réponse à la vôtre datée du 3 septembre 2018. Au dr Cozzolino, en personne. 10 septembre 2018
– DOC 9. Trois PEC au Procureur dr Cozzolino.

Documents essentiels:

– DOC E Diagnostic illégal et criminel du dr. Curcio
– DOC F Avis négatif du dr Nicotera sur le Nulla osta.
– DOC G CAM12308 Photo prise le 02-02-2017
– DOC H Note du député Sapia sur l’affaire du professeur De Marco
– DOC I Rapport de livraison à la caserne de carabiniers de l’ancien mousquet 17 avril 2018
– DOC J Résultats des analyses de laboratoire pour le Nulla osta, 27 avril 2018

XXX

– Pec au Président du Conseil et aux ministres de la Défense, de l’Intérieur, de la Justice et de la Santé, du 17 au 19 juillet 2020.

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 17 juillet 2020.

Objet: Le Collège des médecins de Cosenza et la protection de mes droits constitutionnels fondamentaux.

Chère Madame ou Monsieur …,

Avec la complicité mur à mur jusqu’à présent de toutes les institutions, y compris la justice, je suis victime depuis plus de 6 ans de ce que l’on ne peut qualifier que de “terrorisme d’État”. Pour forger une opération de dépistage aussi incompétente comme monstrueusement inhumaine, une opération qui aurait horrifié Ph. Zimbardo lui-même, un diagnostic de paranoïa a été illégalement fabriqué contre moi. Ce crime s’est produit sans aucune autorisation préalable d’une commission médicale. Le député Sapia a écrit: « Il est évident, en l’occurrence, que tertium non datur: soit une commission l’a examiné selon les procédures légales, soit De Marco est victime d’abus. »– DOC H.

 

La preuve des faits et des preuves, y compris celles saisies par les carabiniers et jamais analysées par la justice, est aveuglante. Depuis plus de 6 ans, avec l’implication évidente des services de sécurité italiens, mon domicile est violé lors de mes absences malgré deux caméras de surveillance et un système d’alarme, ma nourriture et mes boissons ont été modifiées pour provoquer un « boiling body effect » débilitant, et , en recours à de vulgaires méthodes policières-mafieuses … en Calabre! … ces criminels ont tenté de m’intimider en tachant mes serviettes de bain avec de la peinture rouge. Enfin, pour forger un dépistage afin de perpétuer cette monstrueuse opération de déstabilisation et de déshumanisation totale, le commandant Pantano et son acolyte dr. Curcio ont inventé un diagnostic illégal et de paranoïa qu’aucune commission médicale n’a jamais autorisé.

Preuve de la dégradation éthico-politique sans précédent de notre République, ni l’Ordre des médecins – DOC 1 – ni le pouvoir judiciaire – DOC 4 – n’a pris la moindre initiative pour restaurer ma réputation. Rien n’a été fait pour effacer ce diagnostic illégal et criminel de mon dossier médical et pour arrêter cette scélérate opération de déstabilisation et de déshumanisation. Non seulement l’Ordre des Médecins de Cosenza et son Bureau de Déontologie n’ont pas pris les mesures nécessaires pour restaurer ma réputation mais, de manière hautement répréhensible au regard de l’Etat de droit, ils ne se donnent pas la peine de me répondre ni même de répondre aux nombreuses mais vaines demandes adressées par le  ministère de la Santé. – par exemple. DOC 5.d.

 

Je rappelle humblement que notre Constitution ne permet de soumettre aucun citoyen à un traitement aussi cruel et inhumain, quel que soit par ailleurs son état de santé. Je signale humblement que si moi, professeur Paul De Marco, citoyen italien et auteur de contributions scientifiques de premier ordre et d’une réputation jusqu’ici immaculée, je n’avais pas été doté d’une personnalité aussi stable et d’une formation académique aussi sérieuse, l’opération, monstrueusement menée depuis de nombreuses années, aurait déjà produit des tragédies. J’ajouterais qu’avec la complicité anticonstitutionnelle de l’Italie désormais sous influence étrangère, tel semble être précisément l’objectif meurtrier que recherchaient les concepteurs incompétents et criminels de cette opération. Il s’agit ici de leur propre pathologie criminelle, mais c’est une pathologie aggravée par un sentiment d’impunité, qui n’a pas sa place dans notre ordre constitutionnel républicain, dans une République née de la Résistance.

Je souligne une fois de plus qu’il n’y a jamais eu de commission médicale pour autoriser un diagnostic contre moi, ni en Italie, ni dans aucun autre pays du monde. Je souligne une fois de plus que, comme tout autre citoyen italien, je peux revendiquer et exiger le respect de tous mes droits constitutionnels, y compris: l’inviolabilité de mon domicile et de ma vie privée et la sécurité de ma personne.

En fin de compte, la raison et la décence humaine et démocratique doivent prévaloir. En conséquence, je vous demande, ainsi qu’à l’ensemble du gouvernement et en particulier le ministère de la Défense, de prendre vos responsabilités, de manière à:

1) Cesser immédiatement cette vile opération de déstabilisation et de déshumanisation et punir les coupables de manière exemplaire.

2) Mettre fin de toute urgence au déni de mes droits, y compris mon droit à la défense et à une procédure régulière.

3) Restaurer immédiatement ma réputation en supprimant le diagnostic illégalement forgé par les criminels Pantano et Curcio de mon dossier médical, me payant les dommages moraux, professionnels et matériels qui me sont dus.

En attendant une réponse rapide,

 

Meilleures salutations,

Prof. Paolo De Marco

XXX

PEC du 17 juillet 2020 à l’Ordre des médecins pour demander une réponse.

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 17 juillet 2020

Objet: Ma « Plainte pour la radiation immédiate du dr F. Curcio du Collège des médecins et la restauration immédiate de ma réputation » du 25 septembre 2017. Sixième demande

Dr Milano Carmelo (Vice-président)
Drssa Mollica Agata (Secrétaire)
Ordre provincial des médecins-chirurgiens et dentistes de Cosenza et province (OMCeOCS)
BUREAU DE DEONTOLOGIE
Via Suor Elena Aiello, Palazzo Lucchetta S.n.c.
87100 – Cosenza –
Italie
[email protected]

Cher Dr Mollica Agata,
Cher Dr Milano Carmelo,

Vous comprendrez aisément que lorsque les droits fondamentaux des citoyens sont en cause,  l’insistance n’est pas un manque de courtoisie, mais un acte légitime. La réponse rapide et loyale des institutions et de leurs dirigeants l’est également et certainement davantage. Par conséquent, je suis dans l’obligation d’écrire ce nouveau rappel afin d’obtenir la réponse due à ma ” Plainte pour la radiation immédiate du dr F. Curcio du Collège des médecins et le rétablissement immédiat de ma réputation” du 25 septembre , 2017. (Voir DOC 1)

Je souligne les nombreuses interventions du ministère de la Santé à cet égard, qui sont également restées sans effet, comme en témoigne le DOC 5.d ci-joint. Dans leurs actions, les institutions ne peuvent, consciemment ou inconsciemment, nier l’accès à la justice et nier le droit fondamental des citoyens à une défense légale.

 

En attente d’une réponse rapide,

Meilleures salutations,

Paolo De Marco

XXX

BREF RESUME DES FAITS

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)

Objet: Résumé des deux cas spécifiquement concernant : a ) le refus de l’Ordre des médecins de Cosenza de prendre les mesures nécessaires pour restaurer ma réputation compte tenu de l’illégalité du diagnostic médical; et b ) la fabrication illégale d’un diagnostic médical visant à faire du dépistage pour mieux perpétuer la violation de mon domicile en toute impunité.

En ce qui concerne cette plainte, qui a été formulée au fur et à mesure que j’ai obtenu les documents pertinents – par exemple, suite à l’accès aux dossiers médicaux -, il sera nécessaire de la reformuler de manière plus concise pour se concentrer sur la fabrication du diagnostic elle-même et sur les menaces formulées à mon encontre par le Commandant Pantano lors de cette rencontre que j’avais moi-même demandée mais qui s’est transformée en piège contre moi avec la complicité du criminel dr. Curcio. J’ajouterais que si le Commandement m’avait informé d’avance de la présence non autorisée de ce Curcio, je serais allé avec un avocat et tout ceci aurait pris fin sur le champs.

La preuve de ce faux n’est pas en cause puisqu’aucune commission médicale n’a jamais autorisé le moindre diagnostic à mon endroit dans aucun pays et à aucune époque. Comme l’explique le député Sapia: « Il est évident, en l’occurrence, que tertium non datur: soit une commission l’a examiné selon les procédures légales, soit De Marco est victime d’abus.» (Voir DOC H). Tout le reste est accessoire ou, mieux, subordonné à ce crime.

BREF RESUME DES FAITS

 

1 ) Je suis un citoyen italien né en Italie à San Giovanni in Fiore (CS), ci-après SGF, le 17-09-1953. J’ai la double citoyenneté italienne et canadienne.

2 ) En juin 2013, je suis retourné en Italie dans le domicile de mes ancêtres indiqué à l’adresse mentionnée ci-dessus. Je suis en possession d’une carte d’identité italienne depuis juin 2013 et mon passeport italien a été délivré le 6 juillet 2013.

3 ) La violation de mon domicile, l’altération de mes boissons et de ma nourriture pour provoquer un ” boiling body effect” ainsi que les actes d’intimidation policiers-mafieux consistant à tacher mes serviettes de bain avec de la peinture rouge ont commencé dès mon rapatriement.

4 ) Le 8 mai 2015, sortant pendant seulement 10 minutes, à mon retour j’ai vu mon jeune voisin Pasquale Oliverio sortir de chez moi.

5 ) Le 24 novembre 2015, j’ai déposé une première plainte auprès des carabinieri de SGF sur la base des actions résumées aux points 3 et 4 ci-dessus; cette transcription s’est avérée avoir été inscrite comme plainte contre X. Cette plainte fut classée sans suite sans que personne ne prenne la peine de me le faire savoir.

6 ) 30 novembre 2015. Alors que les violations se poursuivaient malgré mes plaintes, j’ai personnellement demandé une rencontre avec le commandant des carabiniers de SGF, Pantano. Lors de cette réunion, sans avoir été préalablement averti de sa présence et sans aucune autorisation d’aucune commission médicale, le commandant Pantano avait invité une personne que je n’avais jamais vue auparavant. J’ai su plus tard que c’était un dr Curcio. Après avoir présenté un bref résumé des faits relatifs aux violations continues de mon domicile, j’ai demandé au commandant pourquoi la police et la justice n’étaient pas encore intervenues pour y mettre un terme. Ce dernier, sans prendre la peine de me répondre, s’est tourné vers ce Curcio qui s’est rapidement exclamé: ” Il est angoissé, il a besoin d’une pilule, il a besoin d’une pilule !” J’ai alors dit à ce Curcio que je ne le connaissais pas, que je ne savais pas ce qu’il faisait à cette réunion que j’avais demandée au commandant et par conséquent je lui ai demandé avec la fermeté voulue de ne pas intervenir. A l’issue de cette rencontre, après des demandes répétées de ma part, le commandant Pantano a accepté de prendre comme preuve une serviette de bain tachée et ce qui restait de la bouteille altérée de Vecchia Romagna. Avant de partir, je lui ai demandé d’être dûment informé du résultat de l’enquête.

 

7 ) 7 avril 2017. Alors que les violations continuaient, avec l’aide d’un jeune journaliste de SGF, Emiliano Morrone, j’ai réussi à obtenir un rendez-vous en Préfecture, en présence du même M. Morrone. Lors de cette réunion, la préfecture m’a accordé la protection de l’État. Mais, comme en témoignent les évènements, cela n’a rien changé et ma persécution continue – violations de mon domicile, altération de ma nourriture et de mes boissons, serviettes de bain tachées, et ceci en toute impunité. En sortant de cette réunion, M. Morrone m’a conseillé de demander l’accès à mes dossiers médicaux, ce qui autrement ne me serait venu à l’esprit.

8 ) Le 17 mai 2017, suite à la rencontre à la Préfecture, j’ai déposé une nouvelle plainte, cette fois en nommant précisément mon jeune voisin Pasquale Oliverio, le Commandant Pantano et le dr Curcio. Cette plainte, présentée personnellement au Commandement des Carabiniers, prévoyait diverses intégrations afin de prendre en compte le contenu résultant de la demande d’accès à mes dossiers médicaux. Il s’avère que ce dr. Curcio avait fabriqué un faux diagnostic de “paranoïa délirante”, visiblement destiné à monter un dépistage. Il y a eu un total de 5 ajouts à mon exposé initial, le dernier remontant au 20 avril 2018.

9 ) 3 septembre 2018, le magistrat Cozzolino a classé sans suite ma plainte du 17 mai 2017, en la classant comme plainte contre des inconnus. Plus tard, il a ignoré toutes mes demandes de réunion – en tant que représentant légal de moi-même – et n’a jamais répondu à mes courriels certifiés – PEC – où j’ai signalé l’erreur inexplicable et où j’ai fait appel de sa décision aussi incompréhensible qu’abusive.

10 ) 25 septembre 2017. Plainte auprès du Collège des médecins de Cosenza pour demander la radiation du dr Curcio pour sa grave violation de la déontologie et pour diffamation à mon égard visant à forger un dépistage en vue de permettre la perpétuation des crimes commis contre moi mentionnés au point 3.

11) N’ayant pas reçu de réponse du Collège des médecins de Cosenza, j’ai adressé plusieurs appels au ministère de la Santé. Malgré l’intervention répétée du docteur Rinaldi, à ce jour je n’ai jamais reçu la moindre réponse du Collège des médecins ou de son président, le dr Corcioni.

 

12 ) Le 14 novembre 2018, pour protéger mes droits, j’ai été contraint de porter plainte contre le département de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre son président le dr Corcioni.

Le 24 septembre 2019 j’ai ajouté un « Supplément à cette« Plainte contre le département de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président du Collège, le dr Corcioni »» en référence au refus injustifié de l’autorisation de la possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père, un artéfact qui remonte à l’époque de Napoléon. »

Pour le contexte: Ayant trouvé ce vieux mousquet historique ne fonctionnant plus parmi les outils appartenant à mon défunt père, j’ai immédiatement couru avertir les carabiniers qui m’ont conseillé de demander le Nulla osta, à savoir l’autorisation de le posséder. Compte tenu du diagnostic frauduleux et criminel du Dr Curcio, et bien sûr sans tenir compte d’aucune de mes réponses au test effectué pour obtenir le Nulla Osta, le dr Nicotera me l’a nié; elle m’a aussi imputé gratuitement une « colère sociale » dans ses étranges motivations. A SGF, je suis connu pour mon attitude “pacifique, civile et constructive”, notamment dans la défense des droits des chômeurs !!! Il reste que, en plus du vol de facto par l’État de l’artéfact historique, l’avis de Nicotera démontre les effets désastreux du diagnostic criminel de Crucio sur la vie d’une personne respectueuse des lois comme moi, une personne jouissant jusqu’à présent d’aune réputation immaculée.

13 ) Le 3 mars 2020, de retour au Tribunal de Cosenza, j’ai reçu un document intitulée « Communication d’enregistrement de la partie lésée » – réf 2521 / 19-45 – dans lequel il est écrit «Il n’y a pas d’inscriptions susceptibles de communication ». Le document porte la date du 27 février 2020. Cependant, lors de la vérification le 25 février 2020 lors de la présentant une demande du formulaire 335 – pour connaître l’état de ma plainte -, le Tribunal n’avait encore rien à me communiquer.

Le 3 mars 2020, j’ai demandé des copies du dossier qui n’étaient pas disponibles. Après quoi, il y eut confinement Covid-19.

XXX

DOC 1. Plainte pour la radiation immédiate du Dr F. Curcio du Collège des médecins et pour la restauration immédiate de ma réputation. 25/09/2017

 

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 25 septembre 2017

Objet: Plainte pour la radiation immédiate du Dr F. Curcio du Collège des médecins et pour la restauration immédiate de ma réputation.

Ordre provincial des médecins-chirurgiens et dentistes de Cosenza et province (OMCeOCS)
Via Suor Elena Aiello, Palazzo Lucchetta S.n.c.
87100 – Cosenza –
Italie

À qui de droit,

Je demande la radiation immédiate de la FNOMCeO du dr Francesco Curcio du Centre d’Hygiène Mentale de San Giovanni in Fiore (CS) pour son grave et criminel manquement à la déontologie et pour ses accusations mensongères et diffamatoires à mon égard. Celles-ci ont toutes été conçues en complicité avec le commandant criminel des carabiniers Pantano dans le but de forger un dépistage ou cover up. Je note que ma demande d’accès aux dossiers médicaux soumise le 13 juillet 2017 a été ignorée pendant 30 jours légaux. La copie des Dossiers m’a finalement été remise le 17 août 2017 seulement après de nombreuses autres demandes, formulées en personne et par courriel.

Ce monsieur Curcio, sans jamais m’avoir rencontré auparavant, s’est permis, en complicité avec l’ex-commandant des carabiniers de San Giovanni in Fiore, Pantano, de forger un diagnostic de tendances paranoïdes à mon égard. Il ne l’a fait que pour forger un prétexte pour archiver une enquête sur les violations répétées de mon domicile – pendant presque toutes mes absences – et sur les autres crimes liés à ces violations. Parmi ceux-ci, la tentative soutenue et impitoyable d’intimidation dans un pur style mafieux-policier – en Calabre! – au moyen de serviettes de bain tachées de peinture rouge, l’altération de la nourriture et des boissons pour produire le soi-disant « boiling body effect », et le refus d’envoyer les patrouilles de police pour effectuer les investigations nécessaires sur place, ainsi que les menaces proférées par le commandant contre moi au cas où je déposais de nouvelles plaintes, etc. La preuve claire des crimes commis par ce monsieur Curcio et par ses acolytes réside dans le fait que l’enquête a été relancée le 17 mai 2017 et est maintenant en cours, bien qu’il semble que la magistrature et les carabiniers essaient toujours de cacher toutes mes plaintes initiales. (Voir la liste ci-dessous)

 

Ce crime diffamatoire très grave perpétré par ce Curcio s’est produit le 30 novembre 2015 lors d’une réunion que j’avais moi-même demandée au commandant Pantano de comprendre pourquoi, après toutes mes plaintes, les violations de mon domicile se poursuivaient en toute impunité. Au lieu de fournir les explications nécessaires, le criminel Pantano a imaginé un stratagème indigne: il m’a fait trouver ce Curcio dans son bureau sans m’en informer au préalable. Après m’avoir écouté, ce Pantano a nié les violations de mon domicile et s’est tourné vers Curcio, qui a dit: «Il est angoissé, il a besoin d’une pilule, il a besoin d’une pilule! ». À ce moment-là, j’ai dit à ce Curcio que je ne savais pas qui il était, ni pourquoi il était présent à cette réunion et je lui ai dit de se taire. Puis je me suis tourné vers Pantano en expliquant qu’il ne pouvait pas refuser de faire les investigations nécessaires ni d’accepter les preuves que j’avais apportées avec moi – serviette de bain tachée de peinture rouge et un échantillon de Vecchia Romagna modifié pour produire le soi-disant « boiling body effect “. Le commandant Pantano m’a alors menacé en disant que si je soumettais d’autres plaintes, il demanderait l’intervention d’une commission médicale. En tant que citoyen et en tant que professeur, j’ai rapidement rejeté ces menaces criminelles et j’ai fermement mis en garde le commandant pour son comportement inacceptable. La rencontre s’est terminée par l’acceptation des preuves que j’ai apportées avec moi par ce Pantano, qui m’a alors dit de revenir le lendemain.

 

Le lendemain, seul Curcio était présent et il n’y eut aucune suite. J’étais convaincu que tout s’était terminé là et que mes preuves seraient examinées et l’enquête finalement menée, comme l’exige la loi. Au lieu de cela, je comprends aujourd’hui que cette réunion du 30 novembre 2015 avait été conçue par Curcio et Pantano pour fabriquer un diagnostic diffamatoire et sans fondement à mon encontre en guise de camouflage, uniquement pour classer ma plainte sans suite.

 

Cette fabrication criminelle ne s’est pas arrêtée là. Le 14 février 2017, ce Crucio, accompagné de l’infirmier G. Audia, s’est présenté à ma porte sans être invité et sans rendez-vous. Il l’a fait sous prétexte de me féliciter pour mon travail, qu’il a dit « louable », en faveur des chômeurs de ma ville. En entrant dans ma maison, il m’a demandé “comment pouvons-nous vous aider?”. À ce moment-là, l’ayant reconnu, je lui ai demandé, ainsi qu’à l’infirmier Audia, d’écrire leurs noms sur une feuille de papier et de quitter immédiatement ma maison. En partant, j’ai fait remarquer à Curcio que son comportement lors de la réunion au commandement des carabiniers le 30 novembre 2015 était totalement inacceptable et constituait une violation impardonnable de l’éthique médicale. Aujourd’hui, je sais qu’en réalité, il fut intentionnellement criminel. (Voir pièce jointe.) Son prétendu diagnostic du 14 février 2017, en plus d’être un mensonge, représente une tentative criminelle et lâche pour couvrir son crime du 30 novembre 2015. Personne n’a jamais autorisé cette prétendue « visite à domicile». La lettre de Digos – la Digos est la police d’État – du 13 février 2017 fait partie intégrante de ce cover up mis en scène de la manière la plus grotesque et post hoc possible.

En attendant, il est déjà clair que Curcio n’a jamais été autorisé par aucune autorité compétente, hormis le criminel Pantano, à poser son diagnostic initial du 30 novembre 2015. Ce comportement constitue un élément suffisant pour le radier immédiatement de l’Ordre des médecins pour son grave manquement à l’éthique, et pour sa complicité avec une tentative criminelle et infâme de dépistage, aggravée par une diffamation gratuite et inacceptable contre moi. Je précise que j’ai jusqu’ici une réputation immaculée, n’ayant jamais été accusé d’aucun crime dans aucun pays, et que je n’ai jamais subi d’analyse nulle part. Ma réputation doit être rétablie le plus rapidement possible.

 

Les violations du domicile relèvent du pouvoir judiciaire et des carabiniers, pas de la médecine. Ce Curcio n’a même pas attendu la fin de l’enquête judiciaire pour commenter. Mais il a le front de parler de “conspiration”. Compte tenu des preuves de son crime, nous sommes également en droit de nous demander combien d’autres familles et de vies il a détruites jusqu’ici par son comportement incompétent et criminel.

Pour le reste, je rappelle que malgré le fait que ces crimes perpétrés contre moi pendant près de 6 ans en Italie, moi, en tant que personne respectueuse des lois et en tant que professeur d’un certain calibre dans mes disciplines, j’ai toujours fait preuve d’un calme inébranlable et une sérénité olympienne. Malgré ces infamies répétées et impitoyables, j’ai pour ma part essayé de mener une existence paisible et normale, en poursuivant mes lectures et mes recherches, en faisant divers voyages d’études en Italie et en Calabre et, par exemple, en participant au trekking en montagne depuis que je suis membre de la sous-section CAI de San Giovanni in Fiore. À ma manière, j’ai également essayé d’être utile à ma Communauté. Durant toutes ces horribles 6 années, j’ai toujours assumé un comportement exemplaire en faisant confiance à la justice et à la justice de ma République italienne. Je fais partie de ceux qui croient, qu’à la fin, la justice triomphe toujours.

Permettez-moi de souligner le fait que si une personne présentait des troubles psychologiques liés à la violation de son domicile, et si la justice et certains médecins, au lieu d’entreprendre les investigations policières nécessaires, devaient classer l’affaire en diffamant la personne en question, alors le crime deviendrait double, monstrueusement double. Les associations de patients pourront en témoigner.

Le magistrat Cozzolino du tribunal de Cosenza devra également prouver que l’enquête est menée conformément aux règles. En particulier, l’enquête devra tenir compte du fait que j’ai vu mon jeune voisin Pasquale Oliverio – probablement un petit informateur de la police – sortir de chez moi un jour où j’étais sorti pendant moins de 10 minutes; il devra prendre les empreintes digitales et effectuer d’autres tests similaires; il devra procéder à l’examen des relevés téléphoniques de mon système d’alarme qui est programmé pour m’appeler sur mon téléphone portable à chaque fois qu’il est activé – lorsque je sors de chez moi – ou désactivé à mon retour à la maison; il devra procéder à l’examen de la saisie à distance évidente et illégale des commandes de contrôle des deux caméras afin de couvrir la violation de mon domicile, ce qui nécessite une complicité à des niveaux très élevés; il devra analyser les serviettes de bain tachées et les aliments et boissons modifiés, etc. Il devra également enquêter sur les raisons de ces crimes. De plus, le magistrat Cozzolino, certainement avec l’aide de personnes plus compétentes que ce Curcio, devra également expliquer comment mes serviettes de bain finissent par être tachées de peinture rouge, du moins s’il ne veut pas donner à ce fait répété et documenté une explication irrationnelle, avec l’aide de quelques complices égarés de la Digos et des services de sécurité.

Si encore une fois, le Tribunal de Cosenza ne procède pas à toutes les enquêtes requises, et si celles-ci ne seront pas suivies de la punition exemplaire des criminels impliqués, petits ou grands, et des compensations morales et matérielles qui me sont dues , y compris la restauration immédiate de ma réputation, cela représentera alors un sérieux déshonneur pour le procureur général et pour la République italienne elle-même. À ce stade, je n’aurai pas d’autre choix que de porter toutes ces affaires infâmes sur la place publique. En fait, dans le contexte contemporain, on comprendrait aisément que les services de sécurité soient amenées à conduire diverses enquêtes, mais jamais en dehors du cadre légal. Nous ne pouvons pas accuser des citoyens respectueux des lois sans de bonnes raisons ni les diffamer pour couvrir les crimes de manipulateurs pathologiques. En tant que citoyen et que professeur d’un certain calibre, je souligne fortement qu’il s’agit-là de ce qui doit rester une ligne rouge infranchissable.

 

Les autorités investies du devoir de protéger les droits fondamentaux des citoyens ne devraient jamais l’oublier.

 

Je souligne que moi, Paul De Marco, je suis un citoyen italien, né en Italie, titulaire d’un BA, d’une maîtrise et d’une scolarité au niveau du doctorat en relations internationales – économie politique internationale. J’ai étudié en France et au Canada. J’ai été un professeur exemplaire dans ma discipline dans un cégep de Montréal, au Canada. Je suis une personne respectueuse des lois, pacifique et constructive et avec une réputation immaculée qui doit le rester.

En juin 2013, j’ai effectué mon rapatriement à San Giovanni in Fiore (CS), la ville où je suis né et où je vis depuis. Avant de décider de mon rapatriement j’ai demeuré à San Giovanni in Fiore (CS) pendant quelques mois en 2011 et 2012. A San Giovanni in Fiore je vis dans la modeste maison de mes grands-parents située à l’adresse indiquée ci-dessus; cette maison m’est très chère parce que j’y suis né.

Je conclus en rappelant à tous que le déni de justice est le pire des crimes possibles. C’est un crime contre la Constitution et contre la civilisation humaine.

Meilleures salutations,

Paolo De Marco
Ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

NB:

1) Pièces jointes du pseudo-diagnostic de Curcio et de la demande illégale de la Digos du 13 février 2017.
2) Liste succincte de mes principales plaintes initiales et actuelles. Voir copie ci-jointe.
2a) plainte du 7 décembre 2014
2b) plainte, liée à la première, contre M. Mario Marra du 7 juillet 2014,

2c) plainte relative au vol des commodes de chevet de la chambre de mes feux parents datées du 12 août 2014, vol perpétré par Mme Vincenza Foglia-Federico.
2d) plainte aux carabiniers de San Giovanni in Fiore (CS) du 4 mai 2015 pour violation continue de mon domicile avec altération de la nourriture et des boissons et prise de contrôle à distance du système d’alarme et des deux caméras de surveillance afin de masquer les crimes commis et pour ouvrir les criminels. Divers compléments ont suivi cette plainte jusqu’au moment où, le 30 novembre 2015, j’ai été menacé par le commandant criminel Pantano, en présence du criminel Curcio – que je n’avais jamais rencontré auparavant.
Au cours du mois d’avril 2017, j’ai appris le stratagème criminel et diffamatoire imaginé par Pantano et Curcio pour classer mes plaintes sans suite afin de forger un dépistage avec les autres criminels et leurs complicités institutionnelles, c’est-à-dire l’invention d’un diagnostic de paranoïa sans le moindre prétexte et sans jamais m’avoir rencontré auparavant. La découverte de cette fabrication diabolique a conduit à une autre série de plaintes, notamment:
2e) la plainte du 17 mai 2017 contre Oliviero Pasquale et d’autres inconnus, plainte qui reprend essentiellement toutes les plaintes précédentes.
2f) le premier complément à cette plainte porté au commandement des carabiniers avec les extrapolations de la vidéo des caméras, un échantillon altéré de Vecchia Romagna et deux serviettes de bain tachées, preuves qui ont été saisies par les carabiniers pour examen.
2g) le deuxième supplément du 7 août 2017 à ma réclamation du 17-05-2017 relative à ma demande d’accès aux lois.

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DOC 2. Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le président de l’Ordre, le Dr Corcioni. 17 novembre 2018

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 14 novembre 2018

 

Objet: Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le président de l’Ordre, le dr Corcioni.

Commandement des carabiniers
San Giovanni in Fiore (CS)

À qui de droit,

Par la présente, je souhaite porter plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le président de l’Ordre, le Dr Corcioni, pour complicité active avec la dissimulation effectuée par le commandant Pantano et le dr Curcio, qui m’ont diffamé illégalement et sans la moindre raison pour donner une excuse au magistrat Cozzolino pour classer mes plaintes sans suite. Il s’agit notamment de mes plaintes nominatives contre des personnes connues – à savoir le jeune Pasquale Oliverio, le commandant Pantano et son complice le dr Curcio – qui furent initiées en 2017 mais qui ont été classées sans la moindre
enquête sur place et sans la moindre analyse des preuves saisies par les carabiniers. (Pièce jointe 1)

Outre la plainte pour participation active à la fabrication d’un faux diagnostic et à la diffamation, je dénonce le manque calculé de réponse à ma demande motivée de radiation immédiate du criminel dr Curcio du Collège des médecins. (Pièce jointe 2) En effet, sans aucune convocation et aucune autorisation préalable d’aucune commission médicale, les criminels Pantano et Curcio ont forgé un diagnostic de paranoïa contre moi au lieu de mener, comme c’était le devoir de la magistrature et de la police, les enquêtes impartiales découlant de mes plaintes. Nous sommes ici en présence d’une violation impardonnable du code d’éthique médicale et de la procédure institutionnelle. Sans la réponse du Collège des médecins de Cosenza, je suis illégalement privé de mon droit sacré à la défense alors qu’une accusation diffamante et criminelle est forgée contre moi, une accusation diffamatoire qui reste dans mes dossiers médicaux avec toutes les conséquences qui s’en suivent. La preuve des conséquences très graves découlant de cette interprétation diffamatoire fourbement abusive est déjà démontrée par l’évaluation négative offerte par le dr Nicotera, comme souligné ci-dessous.

 

De plus, j’accuse l’Ordre des médecins d’avoir menti consciemment au ministère de la Santé lorsqu’il rapporte qu’il m’a tenu informé. (Voir annexe 3) À ce jour, je n’ai jamais reçu la moindre réponse à mes PEC, dont six (6) adressées personnellement au président Corcioni. Cette accusation n’est pas si difficile à vérifier. Par contre, il suffit de considérer les dates, ma demande de radiation de Curcio était datée du 25 septembre 2017.

Cet acte totalitaire d’abus de pouvoir sans précédent, sauf dans les régions mafieuses calabraise et sicilienne où cette méthode est couramment pratiquée pour discréditer les opposants et toutes les victimes de violences policières-mafieuses, les incompétents commandant Pantano et  dr Curcio ont forgé un diagnostic de paranoïa contre moi pour tenter de me priver de toute crédibilité. Mes premières plaintes concernaient les violations continues de mon domicile aggravées par l’altération de ma nourriture et de mes boissons de manière à provoquer un effet de réchauffement corporel nocif; ils concernaient également les actes d’intimidation policière-mafieuses commis en tachant mes serviettes de bain, le plus souvent avec de la peinture rouge. (Pièce jointe 1)

En ce qui concerne ma demande de radiation du criminel Dr Curcio qui remonte au 25 septembre 2017, je n’ai toujours pas reçu de réponse malgré quatre interventions d’un fonctionnaire du ministère de la Santé.

Comme expliqué dans ma demande motivée de radiation immédiate du criminel dr Curcio du Collège des médecins pour sa violation impardonnable de l’éthique médicale et pour diffamation, je n’avais jamais rencontré ce Curcio avant d’aller à la réunion que j’avais personnellement demandée au commandant Pantano. Le but de cette rencontre était de demander au commandant la raison pour laquelle, malgré mes nombreuses plaintes, les crimes perpétrés contre moi se poursuivaient en toute impunité sans que personne ne soit arrêté. Le dr Curcio n’avait aucune raison d’être présent à cette réunion sans que le commandant m’ait prévenu au préalable de sa présence. Le diagnostic de paranoïa émis par le criminel dr Curcio a été illégalement imaginé sans autorisation préalable d’aucune commission médicale. Par conséquent, le dr Curcio a commis un crime impardonnable contre un citoyen respectueux des lois qu’il ne connaissait pas, puisqu’il m’a rencontré à cette réunion pour la première fois. Avec cette propension à violer l’éthique uniquement pour justifier un acte lâche de camouflage policier-mafieux-judiciaire, le dr Curcio s’est avéré être un grave danger pour le public et probablement aussi pour ses patients. Je suis sûr que le professeur Philip Zimbardo demanderait également sa radiation du Collège des médecins.

Le rôle joué dans cette triste histoire du docteur Nicotera met en évidence le danger pernicieux du mécanisme diffamatoire qui se déploie automatiquement de manière préméditée à partir du diagnostic abusif offert par le criminel Curcio. Il s’agit d’un mécanisme aggravé par un mépris inacceptable des droits fondamentaux de l’Homme, un mépris grave qui ne disparaît pas simplement parce que les coupables pensent pouvoir maltraiter les victimes en toute impunité.

Ayant trouvé dans les outils de mon défunt père, un vieux et précieux mousquet qui au demeurant n’est plus fonctionnel mais qui remonte à l’époque de Napoléon, j’ai immédiatement couru à la caserne des carabiniers. Ceux-ci m’ont informé de la procédure à suivre pour obtenir le droit à la possession d’une arme à feu. C’était le mois d’avril 2018. Comme beaucoup d’immigrants qui sont retournés dans leur pays d’origine, je me soucie beaucoup des objets qui appartenaient à ma famille. Je suis fier d’avoir pu restaurer certains d’entre eux avant qu’il ne soit trop tard. Le vieux mousquet historique aurait encore été plongé avec du plomb pour plus de sécurité comme il ressortait de ma discussion avec les carabiniers.

 

Le test de routine pour la possession d’une arme à feu, nécessaire pour récupérer l’ancien mousquet familial et le faire restaurer, a été administré par le docteur Nicotera. Hormis ma compilation du test, il n’y a pas eu d’autre analyse. Sachant parfaitement ce que j’ai répondu aux questions du test – après tout je suis un ancien professeur titulaire d’une scolarité de doctorat -, il n’y a aucune raison valable d’expliquer l’avis négatif du dr Nicotera, avis qui m’a été communiqué par téléphone le 7 septembre 2018 . (Annexe IV) Aucune raison en soit, hormis, bien entendu, le diagnostic médical abusif posé par le dr Curcio et toujours présent dans mes dossiers médicaux compte tenu de la complicité du service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza qui n’a pas donné suite à ma demande de radiation du dr. Curcio et à ma demande de restauration immédiate de ma réputation et de l’honneur de mon nom de famille. Par conséquent, ces diagnostics frauduleux et sans fondement doivent être immédiatement supprimés de mes dossiers médicaux.

J’ajouterai seulement que moi, Paul De Marco, je suis trop occupé par mes études, mes recherches, la publication de mes articles, mon trekking en montagne – étant membre de la sous-section CAI de San Giovanni in Fiore – et avec mes voyages pour être « angoissé » come le prétend l’inepte et criminellement pervers Curcio. Rétrospectivement, il me semble avoir fait preuve d’une confiance maximale dans l’impartialité des institutions en allant immédiatement à la police et en me soumettant avec confiance au test. Je ne suis pas une personne qui souffre d’anxiété, de stress ou d’ennui, ne serait-ce que parce que j’ai généralement trop de choses intéressantes à faire. J’ajouterai que ma participation aux luttes des chômeurs de ma ville a été placée sous le signe d’un comité de citoyens pour le travail digne, dont je suis le porte-parole. Par statut, ce comité se proclame «civil, pacifique et constructif» et, à ce titre, j’ai également eu le soutien du préfet Tomao lorsqu’il a demandé l’ouverture d’une négociation technique avec la région de Calabre pour discuter de la faisabilité de nos projets. (voir la catégorie “Comitato Cittadino per il Lavoro Dignitoso” sur http://rivincitasociale.altervista.org )

 

J’ajouterai qu’en raison de mon éducation scientifique et de ma propension culturelle en faveur de la légalité, du respect et de la défense de la Constitution, moi, professeur Paul De Marco, je ne présenterai jamais un danger social qui se comparerait minimalement à celui causé par les criminels Commander Pantano et Dr. Curcio et leurs complices institutionnels. En revanche, les crimes et les scélérates manipulations policières-mafieuses que j’ai dénoncées durent depuis plus de 5 ans: pendant tout ce temps, je n’ai eu d’altercation avec personne, je n’ai jamais menacé personne et je crois avoir fait preuve d’un courage exemplaire ainsi que d’un calme olympien. A vrai dire, les compliments du docteur Nicotera ne m’auraient pas surpris le moins du monde, mais pour cela elle aurait dû être au courant de ma plainte contre le criminel Curcio. Les enquêtes pour effraction et pour les autres crimes que j’ai signalés concernent la magistrature et les carabiniers, certainement pas des personnes aussi manifestement incompétentes et sans préjugés que Curcio. Le dépôt de plaintes est un droit constitutionnel fondamental. Les archiver sans enquête reste un acte totalitaire, un abus de pouvoir. Dans un État respectueux de l’État de droit digne de ce nom, le déni de justice et le déni du respect de la légalité institutionnelle garanti par la Constitution représentent les crimes les plus graves qui puissent être imaginés.

Je souligne qu’avant ma rencontre avec ces criminels, le commandant Pantano et le Dr Curcio, moi, Paul De Marco, citoyen respectueux des lois, je jouissait d’une réputation immaculée puisque je n’ai jamais été accusé d’aucun crime dans aucun pays.

Je demande à être informé rapidement du résultat de ma plainte.

Meilleures salutations,

Paolo De Marco,
Professeur de relations internationales – économie politique internationale.

Documents attachés.

Annexe I: Demande de réouverture du dossier au Procureur en chef Dr Spagnuolo.
Pièce jointe 2: Demande de radiation du Dr Curcio du Collège des médecins.
Pièce jointe 3: Pec du ministère de la Santé le 13 novembre 2018. Elle a été précédée de 3 autres Pec rédigées par le Dr Cristina Rinaldi.
Annexe 4: Avis offert par le docteur Nicotera pour le Nulla osta nécessaire au retour du vieux mousquet.

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DOC 3. Supplément à ma « Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr Corcioni » 24 sept. 2019

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 24 septembre 2019

Objet: Supplément à ma “Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr Corcioni” en référence au refus injustifié de l’autorisation nécessaire à la possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père qui remonte à l’époque de Napoléon.

Légion des carabiniers «Calabre»
Gare de San Giovanni in Fiore (Cs)
Italie

À qui de droit,

Ceci est un “Supplément à ma” Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr Corcioni “du 14 novembre 2018 et du 22 mai 2019 (annexes 1 et 2) en référence au refus injustifié de l’autorisation nécessaire à la possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père qui remonte à l’époque de Napoléon. Ceci concerne également ma réponse à la question soulevée ce matin par le commandant des carabiniers au sujet du statut de l’ancien mousquet maintenant conservé par le commandement de notre ville.

 

Cet ancien et très précieux mousquet est un élément de preuve extrêmement important dans les enquêtes en cours et doit donc être formellement conservé comme tel. Après que le procureur de la République de Cosenza, comme il se doit, aura rétabli ma réputation jusque-là immaculée, je demanderai à nouveau le Nulla Osta, non pas parce que j’aime les armes à feu – je ne les ai jamais aimées pas plus que ne je n’aimais les voitures , et j’ai toujours été en faveur d’une législation stricte en la matière – mais simplement parce qu’en plus d’être un artéfact historique qui ne présente aucun danger, c’est l’un des rares objets qui me restent de mon défunt père que j’ai perdu quand je était encore très jeune, le 1er mai 1972.

Le 17 avril 2018, ayant trouvé dans les outils appartenant à mon défunt père cet ancien mousquet datant de l’époque de Napoléon et n’étant plus fonctionnel, je me suis immédiatement rendu au Commandement des Carabiniers pour leur demander conseils. Ledit mousquet a ensuite été transféré au commandement des carabiniers de San Giovanni in Fiore tandis que, conformément aux informations fournies par les carabiniers, je me dépêchais d’obtenir le Nulla osta c’est-à-dire l’autorisation de posséder une arme à feu; cette autorisation était nécessaire pour récupérer l’artéfact historique, le faire boucher avec du plomb et le restaurer dans une armurerie afin d’en conserver la possession conformément à la loi. Je revoie ici à mon « Exposé sur les procédures d’obtention du Nulla osta pour la possession de l’ancien mousquet de mon défunt père. En référence à ma plainte du 17 avril 2018 ” (pièce jointe 3)

À ma grande surprise, de manière professionnellement grossière et abusive car ceci fut fait sans la moindre justification hormis la présence dans mon dossier médical du diagnostic criminel et illégal de paranoïa émis par le dr Curcio en complicité avec le commandant de l’époque Pantano (annexe 4), le dr Nicotera a refusé l’autorisation ou Nulla osta, m’imputant gratuitement une « colère sociale » malgré ma nature strictement pacifique, civile et constructive. Je mets au défi quiconque de trouver la moindre colère dans mes réponses au test administré pour l’obtention de l’autorisation.

 

Le Procureur doit maintenant examiner ma « Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le Président de l’Ordre, le dr Corcioni» pour leur non-réponse à ma plainte précédente qui avait été déposée pour demander la radiation immédiate du criminel dr Curcio du Collège des médecins de Cosenza, et aussi pour avoir menti au ministère de la Santé en prétendant m’avoir informé. Ce sont des actes criminels de la plus grande gravité. Le refus du Nulla Osta à un citoyen respectueux des lois tel que moi, jouissant d’une réputation jusqu’ici immaculée, constitue une démonstration avérée des dommages professionnels, matériels et moraux qui m’ont été infligés. Tout d’abord, cela équivaut à une complicité avec le dépistage mis en scène pour classer mes plaintes contre des personnes connues, c’est-à-dire au moyen du diagnostic illégal et criminel de paranoïa concocté par le duo Curcio / Pantano selon la pratique policière-mafieuse consolidée dans nos régions martyrisées, une pratique justement conçue pour discréditer les citoyens respectueux des lois. Deuxièmement, le défaut de réponse de l’Ordre des médecins me prive de mon droit légal sacré de me défendre légalement alors que les crimes perpétrés contre moi se poursuivent dans une impunité totale – à savoir, violations répétées de mon domicile, altération de ma nourriture et de mes boissons, accompagnées par la surveillance intrusive utilisée aussi pour assurer l’impunité aux intrus criminels qui violent mon domicile.

C’est pourquoi je répète ce que j’ai écrit ci-dessus et ce que j’ai déjà souligné dans la plainte présentée ici en annexe 3, c’est-à-dire: ce vieux mousquet est un élément de preuve dans les enquêtes en cours et doit nécessairement être conservé en tant que tel. Sa destruction sera considérée par moi comme un vol, une expropriation indue et un dommage irréparable.

Je souligne une preuve que le procureur de Cosenza ne peut pas ignorer, c’est-à-dire le fait que le diagnostic illégal de paranoïa émis par le criminel et incompétent dr. Curcio en complicité avec le commandant criminel et incompétent Pantano, est le résultat d’une tentative de forger un cover up criminel destiné à masquer les actes criminels graves commis contre moi et rapportés à plusieurs reprises par moi au procureur de Cosenza. Le département de déontologie du Collège des médecins ainsi que le président de ce Collège, le dr Corcioni, se sont activement rendus complices de cette dissimulation et de ces crimes. Ils doivent en rendre compte au système judiciaire. Ma réputation doit être restaurée au plus vite et les crimes commis contre moi doivent être punis avec exemplarité, conformément à la loi.

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

Documents inclus:
Pièces jointes 1 et 2) Procès-verbal de ratification de l’exposé / dénonciation du 14-11-2018 et 22-05-2019
Annexe 3) Exposé sur les procédures engagées pour l’obtention du Nulla osta pour possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père. En référence à la plainte du 17 avril 2018, du 20 avril 2018
Pièce jointe 4) Plainte contre le service de déontologie du Collège des médecins de Cosenza et contre le président de l’Ordre, le dr Corcioni. 14 novembre 2018

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DOC 4. Communication d’enregistrement de la partie lésée 27-02-2020

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DOC 5 .a. Ministère de la Santé 11 mai 2018 Documento_Principale_0025477-11_05_2018-DGPROF-MDS-P

 

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DOC 5 .b. Documento_Principale_0046059-27_09_2018-DGPROF-MDS-P

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DOC 5 .c. Documento_Principale_0031044-13_06_2019-DGPROF-MDS-P RINALDI 13-06-2019

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DOC 5 .d Document_Principale_0044041-17_09_2018-DGPROF-MDS-P (De C Rinaldi)

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DOC 6 a. Exposé du professeur Paolo De Marco sur les violations graves et répétées du domicile, 17-05-2017

Exposé sur les violations graves et répétées du domicile:

Moi, Paul De Marco, né à San Giovanni in Fiore (CS) le 17 septembre 1953 et résidant à San Giovanni in Fiore (CS), expose ce qui suit.

Depuis environ 6 ans, depuis que je suis rentré en Italie après avoir séjourné au Canada et exercé le métier de professeur d’université spécialisé en économie politique internationale, j’ai fait l’objet de tentatives d’intimidation incompréhensibles à mon domicile, menées en mon absence. Dans le passé, peut-être avec des tons dictés par l’indignation et l’affliction, j’ai rapporté des épisodes spécifiques aux carabiniers de Cosenza, le 7 décembre 2014, et aux carabiniers de San Giovanni in Fiore (Cs), le 4 mai 2015, avec des ajouts des 23 et 30 novembre 2015 et 14 décembre 2017.

 

Malheureusement, j’ai eu quelques malentendus avec l’ancien commandant des carabiniers de San Giovanni in Fiore, à la suite desquels je me suis confronté, sans jamais avoir été informé au préalable, à un psychiatre de service au District de Santé dirigé par San Giovanni in Fiore, docteur Curcio, qui, partiale, m’aurait accusé à la hâte d’être un sujet « angoissé ». Je demanderai un accès formel aux documents, afin de rétablir le bon ordre des choses, car je suis d’une culture qui respecte les droits du citoyen et l’Etat de droit, ce qui m’a conduit à m’opposer avec véhémence aux suites mises en œuvre dans ce cas. Du résultat de l’accès susmentionné, j’informerai les carabiniers, en adition du présent exposé.

Pour confirmer mes plaintes, il suffisait et il suffit encore d’opérer une surveillance indépendante des entrées et sorties de ma maison et de mener l’enquête nécessaire avec l’analyse appropriée des empreintes digitales, l’analyse des boissons modifiées, l’analyse de la deux caméras de surveillance et celle des enregistrements téléphoniques.

Fondamentalement, je suis victime d’un effraction systématique et ininterrompue, avec altération de la nourriture et des boissons qui est suivie d’un malaise physique pendant plusieurs jours. Je répète que j’ai vu mon jeune voisin, Pasquale Oliverio, sortir de chez moi, ce dont j’ai déjà formellement évoqué les carabiniers.

Je précise que ma maison est contrôlée par un système d’alarme, qui est programmé pour appeler mon téléphone portable à chaque fois qu’il est activé ou désactivé. Je précise que le système susmentionné comprend deux caméras de surveillance qui captent le rez-de-chaussée et le deuxième étage, où se trouvent les deux entrées.

 

Malheureusement, malgré mon insistance et les références précises que j’ai fournies, le problème est resté à ce jour sans réponse. Comme vous pouvez le comprendre, je suis obligé de vivre dans la terreur pour ma sécurité.

Les dernières traces de violations avérées, c’est-à-dire des serviettes de bain tachées de peinture ou d’encre, sont:

Le 3 mai 2017, ce jour-là, je suis parti de 9h27 à 10h40 environ. A mon retour, j’ai trouvé une serviette de bain tachée. (Photo disponible).
5 mai 2017, au cours duquel pendant la nuit j’ai ressenti le phénomène dit “boiling body effect “, peut-être après avoir bu un peu de Vecchia Romagna, dont j’ai gardé un échantillon, toujours disponible pour toute analyse scientifique;
10 mai 2017, ce jour-là, je suis sorti aux environs de 11 heures à 12 heures;
le 11 mai 2017, j’ai quitté la maison vers midi pendant environ 30 minutes;
du 13 mai 2017, je suis sorti de 9h30 à 10h05;
du 14 mai 2017,  j’ai quitté la maison de 6 moins vingt à 19h30;
du 15 mai 2017, durant lequel je suis parti du 19.48 au 23.08.

Avec la certitude que les faits seront constatés et les criminels punis, ainsi que par une demande expresse d’être informé du résultat des enquêtes, veuillez accepter mes meilleures salutations.

San Giovanni in Fiore, 17 mai 2017

Paolo De Marco

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DOC 6 b. MISE À JOUR du rapport aux carabiniers de la SGF du 17-05-2017. Juillet 2017

Données historiques cruciales.

 

8 mai 2015: sorti de 16h59 à 17h10. Sur le chemin du retour, j’ai vu mon jeune voisin Pasquale Oliverio sortir de chez moi. Quelques jours auparavant, en supposant que mes voisins avaient été manipulés, j’ai tenté de faire comprendre à sa grand-mère Caterina Mazzei, à son père Mario et à lui-même que ces violations étaient des choses très graves avec le risque de se retrouver en prison pour les coupables. Puisqu’ils habitent juste en face de chez moi, j’ai demandé à être prévenu s’ils voyaient quelque chose d’étrange ou quelqu’un entrer chez moi. Pour lui faire comprendre la gravité de la situation, j’ai demandé personnellement à Pasquale ce qu’il ferait s’il était à ma place. Il a répondu: “Cela dépend si j’ai la force de combattre” ou quelque chose du genre. De toute évidence, ils ne voulaient pas comprendre la gravité des infractions car ils étaient persuadés d’être couverts par les autorités. Comme ils ne se sont pas arrêtés, j’ai fait installer le système d’alarme et les deux caméras. Voire la facture Towervision du 05-05-2015.

23 novembre 2015: j’ai dénoncé Pasquale Oliverio aux carabiniers. Ceux-ci refusent de prendre la Vecchia Romagna altérée que j’avais apportée avec moi.

24 novembre 2015. Document des Carabinieri dans lequel, cependant, la plainte est déposée contre  X.

30 novembre 2015: Menaces de l’étrange commandant Pantano, à qui j’avais demandé un rendez-vous, au cas ou  “je présenterais d’autres plaintes”. Sans me prévenir, il avait organisé la présence à cette réunion du dr Curcio, un incompétent et criminel, que je n’avais jamais rencontré auparavant. Au début, je pensais qu’il était un carabinier civil. Après mes explications, Pantano me dit que s’il y avait des caméras de surveillance, les violations rapportées par moi n’étaient pas possibles. J’ai protesté. Il s’est alors tourné vers ce Curcio, qui s’est aussitôt exclamé “Il est angoissé, il a besoin d’une pilule, il a besoin d’une pilule!” J’ai alors fermement et poliment demandé à ce criminel incompétent de ne pas intervenir et de faire attention à ce qu’il disait. J’ai alors prévenu le commandant Pantano que les crimes que j’avais dénoncés n’étaient pas une affaire de médecine mais une celle d’une enquête policière à mener avec rigueur dans le respect des règles et des protocoles – empreintes digitales, surveillance autonome par la police, analyse des boissons et des aliments altérés, etc. Je fis comprendre à cet étrange commandant que j’étais professeur et que je ne tolèrerais jamais la moindre complicité de la part des Carabinieri ou de n’importe qui d’autre. Après cela, le commandant a accepté de recevoir les preuves que j’avais apportées avec moi, à savoir une serviette de bain tachée et une boisson modifiée.

Il m’a alors dit de revenir le lendemain. Le lendemain, il y avait toujours le criminel incompétent Curcio mais le commandant ne s’est pas présenté, donc, du moins à mes yeux, ces menaces avaient pris fin là. Il reste que j’attends toujours les résultats de l’analyse de la serviette de bain tachée et des boissons livrées aux carabiniers ce jour-là.

16 mai 2016: je me suis rendu personnellement au Tribunal de Cosenza. Aucun magistrat n’a accepté de me recevoir. J’ai cependant demandé par écrit au procureur de s’enquérir du sort de mes plaintes. Je n’ai reçu aucune réponse.

7 avril 2017: Dans la Préfecture de Cosenza avec Emiliano Morrone. On m’a offert la protection de l’État italien. Sur le chemin du retour j’ai dit ironiquement à Emiliano « Je vais maintenant ouvrir une bouteille de Vecchia Romagna pour vérifier si l’empoisonnement continue ».

4-5 mai 2017: Le 4 mai au soir, j’ai bu un peu de la Vecchia Romagna ouverte le soir du 7 avril 2017. La nuit, j’ai fait l’objet du “boiling body effect “. J’ai refait l’expérience quelques jours plus tard avec le même effet puis j’ai gardé un échantillon. Un échantillon de cette Vecchia Romagna altérée a été conservé et livré aux carabiniers avec ce supplément.

Mise à jour des violations:

 

17 mai 2017: Je suis allé apporter la nouvelle intégration à ma plainte aux carabiniers, avec un témoin, le Sg. Foglia. Les carabiniers ont refusé de prélever l’échantillon de Vecchia Romagna pour analyse.

19 mai 2017: Les carabiniers sont venus chez moi vers 14h00. Ils n’ont fait aucune enquête mais ils m’ont dit d’apporter les extrapolations du disque dur des caméras avec les autres preuves – serviette de bain; Vecchia Romagna; documents. Ils prendront alors officiellement le contrôle de tous ces éléments à la fois. Mais il ne semble pas qu’ils veuillent prendre des empreintes digitales, ni vérifier les enregistrements téléphoniques du système d’alarme, ni analyser les caméras évidemment contrôlées à distance puisqu’à première vue elles ne montrent pas d’images des violations. Nonobstant l’occultation des caméras pour masquer les violations de mon domicile par les intrus qui tachent alors les serviettes de bain, personne ne peut nier que ces serviettes de bain sont bel et bien tachées de peinture rouge, etc. Les carabiniers doivent démontrer comment les serviettes de bain sont tachées et comment les boissons et ma nourriture sont altérées .

Également le 19 mai 2017: Je suis sorti de 17h06 à 17h17. J’ai trouvé une serviette de bain tachée à mon retour. Elle avait été délibérément placée sur la table du premier étage sous l’œil de la caméra. Regarder la photo.

21 mai 2017: sorti de 8h05 à 14h57. Serviette de bain tachée. Idem. V photo.

25 mai 2017: sorti de 10h11 à 10h41. Serviette de bain tachée. Idem. V. la photo.

26 mai 2017: M. Petrocelli de la société Sate est venu prendre l’unité de contrôle des caméras.

Je suis sorti de 10h43 à 11h31. Trouvé une serviette de bain tachée dans la salle de bain. Je n’ai pas pris de photos.

30 mai 2017: Je suis sorti de 19h42 à 22h22 pour rencontrer le Sg. Luigi Oliverio.

31 mai 2017: Prenant une douche ce matin j’ai vu les serviettes de bain tachées. V. la photo.

5 juin 2017. Je suis sorti de 8h45/10h39 puis de 16h41/18h42 puis de 19h59 à 20h01. Vu les serviettes de bain tachées vers 23h15. v photos

6 juin 2017. Cette nuit du 5 au 6 juin, un bourdonnement ou buzz provoquant une privation de sommeil a commencé à partir de 4 heures du soir. Le matin, Emiliano me dit d’aller chez les carabiniers pour livrer la serviette de bain d’hier. Les carabiniers refusent de la prendre; idem pour la Vecchia Romagna.

7 juin 2017. Buzz à partir de 2h30 du soir.

10 juin 2017. Je suis sorti de 13 h 00 à 18 h 08. J’ai trouvé une serviette de bain tachée malgré avoir changé le cadenas qui empêche l’accès du rez-de-chaussée aux étages supérieurs. Qui a autorisé son ouverture? Voir la photo. Serviette de bain livrée aux Carabinieri avec cette mise à jour.

11 juin 2017. Buzz toute la nuit du 10/11 juin. La serviette de bain tachée du 5 juin devient encore plus rouge sous l’effet de l’eau de javel lorsque j’ai essayé de la laver.

12 juin 2017: buzz toute la nuit le 11/12 juin. Email de plainte à la Préfecture (la privation continue de sommeil équivaut à une tentative de meurtre.)

13 juin 2017: Je suis allé à Cosenza pour accéder aux fichiers. Pendant que j’étais à Cosenza à 10 h 27, le système d’alarme a appelé mon téléphone portable; le système semble avoir été saboté les 13 et 14 juin. Il appelle mon téléphone portable avec beaucoup de retard lorsque je sors et quand je rentre chez moi, ce qui indique qu’il a été saboté – il n’appelle pas lorsque je le désactive pour entrer. Probablement, puisque l’unité de contrôle des caméras est dans la main de Petrocelli, il y eut une tentative d’occulter le contrôle de désactivation utilisé pour entrer pendant mon absence afin de s’assurer que le système d’alarme ne m’appellerait pas.) C’est la première fois que le système d’alarme a mal fonctionné de cette manière évidente.

 

14 juin 2017: Je suis sorti vers 8h20. Le système d’alarme appelle en retard à 8h39. A mon retour il est saboté et je dois procéder à un reset comme hier. Message à Petrocelli pour qu’il vienne reprogrammer le système en s’assurant qu’il n’appellerait qu’un seul numéro, le mien, avec un nouveau code, mais il ne me répondit pas.

15 juin 2017: sorti de 8h42 à 9h39. Trouvé serviette de bain tachée. V. la photo. Aujourd’hui, le système d’alarme fonctionne normalement.

16 juin 2017: Sorti pour une excursion en montagne sur le Pollino. Je suis sorti le 15 juin à 18 h 09 et je suis revenu le 16 juin à 20 h 44. Trouvé une serviette de bain tachée de rouge. v. photo.

27 juin 2017: Petrocelli est venu m’amener et réinstaller l’unité de contrôle des deux caméras. Il reviendra vérifier les fils, etc. Il a également reprogrammé le système d’alarme.

3 juillet 2017: Ce matin Petrocelli est venu vérifier les fils et les connexions des deux caméras de surveillance et reprogrammer les mots de passe des caméras et du système d’alarme. Je suis parti de 15h30 à 16h55 (le système d’alarme m’a appelé plusieurs minutes en retard; à mon retour le système a signalé un sabotage). Au cours de cette sortie je suis allé chez Petrocelli pour récupérer la clé USB avec les extrapolations des caméras de surveillance. (Voir la facture ci-jointe; je demande, en plus des autres frais et dommages, le remboursement de ces frais.) Malgré les vérifications de Petrocelli, à mon retour j’ai trouvé une serviette de bain tachée de rouge et j’ai immédiatement pris la photo que j’ai envoyée à Petrocelli. J’apporterai cette serviette de bain tachée avec moi à la police avec les autres preuves. Vers 19h00, Petrocelli est venu chez moi car je n’avais pas pu réinitialiser le système saboté. Même Petrocelli n’a pas réussi; il me dit que c’est sans doute une question de batteries et qu’il faut une semaine pour les changer.

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DOC 6 c Deuxième supplément à ma réclamation du 17-05-2017 relative à ma demande d’accès aux documents. 7 août 2017

 

Paolo De Marco
San Giovanni in Fiore (CS)

Date: 7 août 2017

Objet: Deuxième complément à ma plainte du 17-05-2017 relative à ma demande d’accès aux dossiers médicaux.

Légion des carabiniers «Calabre»
Gare de San Giovanni in Fiore (CS)

À qui de droit,

C’est avec la plus grande indignation, que je tiens à signaler la poursuite de la violation de mon domicile malgré ma dernière plainte du 17-05-2017. Après cette plainte, j’avais demandé à M. Petrocelli de la Société de télécommunications et de sécurité Sate de San Giovanni in Fiore de reprogrammer mon système d’alarme et de m’assurer que les deux caméras n’étaient pas connectées de manière incorrecte. Malgré cela, les violations de mon domicile continuent en toute impunité et avec la même occultation. Cela signifie que la complicité institutionnelle derrière cette monstrueuse manipulation mafia-policière se poursuit sans aucune intervention du Procureur pour y mettre fin.

Le dernier épisode remonte à hier matin. J’étais allé au district médical de San Giovanni in Fiore avec la copie des documents relatifs à ma demande d’accès aux documents. A mon retour à la maison, j’ai trouvé une chemise blanche souillée de peinture jaunâtre impossible à laver. (Dans ce cas également, je demande l’indemnisation due.) J’ai immédiatement envoyé la photo à M. Emiliano Morrone de l’Association pour la protection des citoyens La Voce di Fiore (CS).

 

Les carabiniers de San Giovanni in Fiore et le procureur de Cosenza savent déjà que j’ai été menacé par l’ex-commandant des carabiniers de San Giovanni in Fiore (cs) M. Pantano; cela s’est produit en présence d’un médecin criminel Curcio que je n’avais jamais vu auparavant. Avec ces menaces, on m’a demandé de ne plus déposer de plaintes. Évidemment, en tant que citoyen italien et en tant que professeur, j’ai refusé, mais je les ai mis en garde sur la gravité de ces intimidations inadmissibles et criminelles dignes d’un pays totalitaire.

J’ai appris plus tard, par l’intermédiaire de l’Association La Voce di Fiore, que les carabiniers de San Giovanni in Fiore avaient tenté de me discréditer sous prétexte que j’étais sujet au un “syndrome paranoïaque dans un état délirant aigu”, une accusation évidemment sans aucun fondement puisque je n’ai jamais été soumis à aucune analyse dans aucun pays. Je répète que je suis une personne respectueuse des lois, respectueuse de la loi et d’une réputation irréprochable. Il convient également de dire pour la défense de tous les autres victimes de ces délinquants criminels que, malgré l’état mental des sujets en question, la violation du domicile et les autres crimes doivent toujours faire l’objet d’une enquête impartiale par le système judiciaire et non par le système médical. Du moins dans un pays normal. Dans mon cas, cette fabrication policière-mafieuse a été utilisée pour mettre de côté toute forme d’enquête, y compris la prise des empreintes digitales, l’analyse des enregistrements téléphonique du système d’alarme, etc. Il sera également nécessaire d’expliquer pour quelles vraies raisons cela n’a pas été fait.

 

J’insiste sur le fait qu’ayant fait une demande d’accès aux documents le 13 juin 2017, je n’ai encore reçu aucune réponse. Ce défaut de réponse est en soi illégal et hautement criminel. Vous aurez donc compris la gravité de la manipulation dont je suis victime et l’étendue de la complicité impliquée.

Je demande donc aux carabiniers de San Giovanni in Fiore de prendre acte du manque de réponse et de sa signification. Je demande que le Procureur de Cosenza soit immédiatement informé. De plus, j’exige que justice soit faite: les coupables de ces crimes monstrueux, leurs contrôleurs et leurs patrons doivent être punis de manière exemplaire. J’insiste sur le fait que cette monstrueuse manipulation a ruiné 6 ans de ma vie en Italie uniquement; Je demande donc des dommages-intérêts moraux et matériels exemplaires. La justice est la même pour tous.

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco
Professeur de relations internationales – économie politique internationale.

Documents ci-joints:
1) Copie de la demande d’accès aux documents. 13 juin 2017
2) Autorisation du responsable du bureau de confidentialité / d’accès, Dr M. F. Lucanto
3) Intégration pour demander l’accès aux documents, du 13.06.2017

 

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DOC 6 d. La 3ème intégration à ma plainte du 17-05-2017 du 22 août 2017. Précisions sur le rôle criminel joué par le dr F. Curcio avec le commandant Pantano.

Prof. Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

Date: 22 août 2017

Objet: Clarifications sur le rôle criminel joué par le dr F. Curcio avec le commandant
Pantano et réitération de ma demande de la restauration immédiate de ma réputation.

Commandement des carabiniers
San Giovanni in Fiore (CS)
Italie

À qui de droit,

Ayant finalement obtenu avec beaucoup de retard les Actes médicaux par moi demandés, voici l’explication du rôle joué par le dr Francesco Curcio du Centre d’Hygiène Mentale de San Giovanni in Fiore (CS) par rapport à mes plaintes, en particulier celles pour le violation répétée de ma maison et autres crimes connexes. La violation extrêmement grave et criminelle de l’éthique médicale par le dr Curcio est évidente; elle est aggravé par des accusations fausses et diffamatoires contre moi. Celles-ci visaient toutes, en complicité avec le criminel commandant des carabiniers Pantano, à une tentative de dépistage. Je note que ma demande d’accès aux Actes soumise le 13 juillet 2017 n’a pas été suivie d’une réponse dans le délai normal de 30 jours légaux. La copie des Actes ne m’a finalement été remise le 17 août 2017 qu’après d’autres interventions personnelles et par courriels.

 

Sans jamais m’avoir rencontré auparavant, ce Curcio s’est permis, en complicité avec l’ex-commandant des Carabiniers de San Giovanni in Fiore, Pantano, de proposer un diagnostic de tendances paranoïdes à mon égard. Il ne l’a fait que pour créer un prétexte permettant de classer l’enquête sur les violations répétées de mon domicile – pendant presque toutes mes absences – et d’autres crimes liés à ces violations. Parmi ceux-ci, les tentatives policières-mafieuses d’intimidation, soutenues et impitoyables – en Calabre! – avec des serviettes de bain tachées de peinture rouge, l’altération de la nourriture et des boissons pour produire le soi-disant « boiling body effect », le refus d’envoyer les patrouilles de police pour mener les investigations nécessaires sur place, les menaces proférées contre moi si je déposait d’autres plaintes, etc. La preuve claire des crimes de ce Curcio et de ses acolytes réside dans le fait que l’enquête a été relancée le 17 mai 2017 et est maintenant en cours, bien qu’il semble que la magistrature et les carabiniers tentent toujours d’occulter toutes mes plaintes initiales. (Voir la liste ci-dessous)

Ce crime diffamatoire très grave commis par Curcio s’est produit le 30 novembre 2015 lors d’une réunion que j’avais personnellement demandée au commandant Pantano pour comprendre pourquoi, après toutes mes plaintes, les violations de mon domicile se poursuivaient en toute impunité. Au lieu de fournir les explications nécessaires, le criminel Pantano a imaginé un stratagème indigne: il m’a fait retrouver ce dr. Curcio dans son bureau sans m’en informer au préalable. Après m’avoir écouté, Pantano a nié les violations de ma maison et s’est tourné vers Curcio, qui s’est exclamé: «Il est angoissé, il a besoin d’une pilule, il a besoin d’une pilule! ». À ce moment-là, j’ai dit à ce Curcio que je ne savais pas qui il était ici et même pas pourquoi il était présent à cette réunion et lui ai dit de se taire et de ne pas se mêler de ma discussion avec le commandant. Puis je me suis tourné vers Pantano en lui expliquant qu’il ne pouvait pas refuser de faire les enquêtes nécessaires ni refuser d’accepter les preuves que j’avais apportées avec moi – serviette de bain tachée de peinture rouge et un échantillon de Vecchia Romagna altéré pour produire le soi-disant « boiling body effect ». Le commandant Pantano m’a alors menacé en disant que si je soumettais d’autres plaintes, il demanderait l’intervention de la commission médicale. En tant que citoyen né citoyen et en tant que professeur, j’ai rejeté ces menaces criminelles et j’ai mis en garde le commandant contre les conséquences légales de son comportement inacceptable. La rencontre s’est terminée par l’acceptation des preuves que j’avais apportées avec moi par ce Pantano, qui m’a dit de revenir le lendemain. Le lendemain, seul Curcio était présent et rien n’a été fait. J’étais convaincu que tout s’était terminé là et que mes preuves seraient examinées et que l’enquête serais enfin menée rigoureusement, comme l’exige la loi. Au lieu de cela aujourd’hui, je comprends que cette réunion du 30 novembre 2015 a été transformée en un prétexte permettant à Curcio et Pantano de fabriquer un diagnostic diffamatoire et sans fondement contre moi, pour permettre de classer l’enquête.

Cette fabrication criminelle ne s’est pas arrêtée là. Le 14 février 2017, ce Crucio, accompagné de l’infirmier G. Audia, s’est présenté sans être invité et sans rendez-vous chez moi. Il l’a fait sous prétexte de me féliciter pour mon travail, qu’il a dit « louable », en faveur des chômeurs de ma ville. En entrant dans ma maison, il m’a alors demandé “comment pouvons-nous vous aider”. À ce moment-là, l’ayant reconnu, je lui ai alors demandé, ainsi qu’à l’infirmier Audia, d’écrire leurs noms sur une feuille de papier et de quitter immédiatement ma maison. En partant, j’ai fait remarquer à Curcio que son comportement lors de la réunion dans la caserne des Carabinieri le 30 novembre 2015 était totalement inacceptable et constituait une violation impardonnable de l’éthique médicale. Aujourd’hui, je sais qu’en réalité, il avait été intentionnellement criminel. (Voir pièce jointe) Son prétendu diagnostic du 14 février 2017, en plus d’être un mensonge, représente une tentative aussi lâche que criminelle de dissimuler son crime du 30 novembre 2015. Personne n’a jamais autorisé cette prétendue « visite à domicile ». La lettre de la Digos – police d’Etat – du 13 février 2017 participe à cette fabrication criminelle de la manière la plus grotesque et post hoc possible.

En attendant, il est déjà clair que Curcio n’a jamais été autorisé par aucune autorité compétente, hormis le criminel Pantano, à poser son diagnostic initial du 30 novembre 2015. Ce comportement constitue une preuve suffisante pour le radier immédiatement du Collège des médecins pour violation grave du Code de déontologie médicale, et pour sa complicité avec une tentative criminelle et infâme de dissimulation, aggravée par une diffamation gratuite et inacceptable contre moi. Je précise que j’ai une réputation immaculée parce que je n’ai jamais été accusé d’aucun crime dans aucun pays, et que je n’ai jamais subi d’analyse nulle part. Ma réputation doit être rétablie le plus rapidement possible.

L’enquête sur les violations du domicile relève du pouvoir judiciaire et des carabiniers, non pas de la médecine.

Ce Curcio n’a même pas attendu la fin de l’enquête pour commenter. Cependant, il a le front de parler de « conspiration ». Par conséquent, nous sommes également en droit de nous demander combien de patients et de familles de patients il aura déjà détruits avec son comportement incompétent et criminel.

 

Pour le reste, je rappelle que malgré le fait que ces crimes aient été perpétrés contre moi pendant presque 6 ans en Italie, moi, en tant que citoyen respectueux des lois et en tant que professeur d’un certain calibre dans mes disciplines, j’ai toujours fait preuve d’un imperturbable calme et d’une sérénité olympienne. Malgré ces infamies répétées et pathologiquement cruelles, j’ai pour ma part essayé de mener une existence paisible et normale, en poursuivant mes lectures et mes recherches, en faisant divers voyages d’études en Italie et en Calabre et, par exemple, en faisant du trekking en montagne puisque je suis membre de la sous-section du CAI de San Giovanni in Fiore. À ma manière, j’ai également essayé d’être utile à ma Communauté. Durant toutes ces horribles 6 années, j’ai toujours assumé un comportement exemplaire en faisant confiance à la magistrature et à la justice de ma République italienne. J’appartiens à ces personnes qui croient qu’à la fin  Justice triomphe toujours.

Permettez-moi de souligner le fait que si une personne présentait des troubles psychologiques liés à la violation de son domicile, et si la justice et certains médecins, au lieu de faire les investigations policières nécessaires, classaient l’affaire sans suite en diffamant la personne en question, alors le crime deviendrait double, monstrueusement double. Les associations de patients finiront par témoigner.

Le magistrat Cozzolino du Tribunal de Cosenza devra également prouver que l’enquête est menée conformément aux règles. En particulier, l’enquête devra tenir compte du fait que j’ai vu mon jeune voisin Pasquale Oliverio – probablement un petit informateur de la police – sortir de chez moi un jour où je me suis absenté pendant moins de 10 minutes; il devra prendre les empreintes digitales et passer à d’autres tests similaires; il devra procéder à l’examen des relevés téléphoniques du système d’alarme programmé pour m’appeler sur mon téléphone portable à chaque fois qu’il est activé – lorsque je sors de chez moi – ou désactivé lorsque je rentre chez moi; il devra procéder à l’examen de l’occultation évidente des deux caméras faite pour couvrir la violation de mon domicile, occultation qui demande une grande complicité en haut lieu; il devra analyser les serviettes de bain tachées et les aliments et boissons altérés, etc. Il devra également enquêter sur les raisons de ces crimes. De plus, le magistrat Cozzolino, de préférence avec l’aide de personnes plus compétentes que ce Curcio devra également expliquer comment mes serviettes de bain finissent par être tachées, du moins s’il ne veut pas donner à ce fait répété et documenté une explication irrationnelle avec l’aide d’un complice égaré de la Digos incompétents et des services de sécurité.

Si encore une fois, la magistrature de Cosenza ne procède pas à toutes les enquêtes requises, et si celles-ci ne sont pas suivies de la punition exemplaire des criminels impliqués, petits ou haut placés, et des dommages moraux et matériels exemplaires qui me sont dus, y compris la restauration immédiate de ma réputation, cela représentera alors un sérieux déshonneur pour le procureur général et pour la République italienne elle-même. À ce stade, je n’aurai pas d’autre choix que de porter toutes ces affaires infâmes sur la place publique. En fait, dans le contexte contemporain, on pourrait aisément comprendre que les services de sécurité soient amenés à conduire diverses enquêtes, mais cela ne devrait jamais sortir du cadre juridique. Personne n’a le droit de manipuler des citoyens respectueux des lois sans raison valable, puis les diffamer pour couvrir ses propres crimes. En tant que citoyen et en tant que professeur d’un certain calibre, je souligne fortement qu’il s’agit-là e que cela doit demeurer une ligne rouge infranchissable. Les autorités investies du pouvoir de garantir les droits fondamentaux des citoyens ne devraient jamais l’oublier.

 

Je souligne que moi, Paul De Marco, je suis un citoyen italien, né en Italie, avec une licence, une maîtrise et une scolarité de doctorat en relations internationales – économie politique internationale. J’ai vécu et étudié en France de 1958 à 1972 et au Canada de 1972 à 2013. J’ai été un professeur exemplaire dans ma discipline au cégep de Montréal, Canada. Je suis une personne respectueuse des lois, pacifique et constructive et jouissant jusqu’ici d’une réputation immaculée qui doit le rester.

En juin 2013, j’ai effectué mon rapatriement à San Giovanni in Fiore (CS), la ville où je suis né et où je vis depuis. Avant de décider de mon rapatriement, je suis resté quelques mois à San Giovanni in Fiore (CS) en 2011 et 2012. A San Giovanni in Fiore, j’habite la modeste maison héritée de mes grands-parents et située à l’adresse indiquée ci-dessus, une maison qui m’est très chère car j’y suis né.

Je conclus en rappelant à toutes les personnes impliquées que le déni de justice est le pire des crimes possibles. C’est un crime contre la Constitution et contre la civilisation humaine.

Meilleures salutations,

Paolo De Marco
Ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

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DOC 6 e. Exposé sur les nouvelles violations de mon domicile, en référence à ma plainte du 17-05-2017 et à ses compléments. 17 avril 2018

Prof. Paolo De Marco
87055- San Giovanni in Fiore (Cs)

17 avril 2018

Objet: Exposé sur les nouvelles violations de mon domicile, en référence à ma plainte du 17-05-2017 et ses compléments.

Légion des carabiniers «Calabre»
Gare de San Giovanni in Fiore (Cs)
Italie

À qui de droit,

En référence à ma plainte du 17 mai 2017 et ses compléments, je souhaite, par la présente, signaler la violation continue de mon domicile. Ces violations s’accompagnent des crimes habituels, c’est-à-dire l’intimidation policière et mafieuse avec des serviettes de bain tachées et l’empoisonnement de ma nourriture et de mes boissons, entraînant ce qu’on appelle le « boiling body effect ».

Si, come l’exige la loi, le procureur mène une enquête sérieuse, la poursuite de ces crimes impardonnables semble difficile à expliquer. Ils mettent en cause l’éventuelle complicité des autorités compétentes. En tant que citoyen, je demande des éclaircissements urgents sur ces enquêtes et leur déroulement. En particulier, il appartient au procureur de Cosenza d’assumer la responsabilité d’expliquer comment mes serviettes de bain sont tachées de peinture rouge et comment ma nourriture et mes boissons sont altérées. J’ai le droit d’être informé ne serait-ce que pour des raisons de santé préventive. De plus, je demande comment ces crimes peuvent continuer à être perpétrés contre moi sans que personne ne se soit encore retrouvé en prison et pourquoi ma réputation, tachée par le criminel dr Curcio et son complice le commandant Pantano, n’a pas encore été établie.

 

La dernière violation de mon domicile que j’ai vérifiée remonte à la mi-mars 2018. Le mardi 13, j’avais adressé une nouvelle demande au Collège des médecins de Calabre pour savoir ce qu’il advenait de ma plainte contre le criminel dr. Curcio pour sa grave violation de l’éthique médicale. Le mercredi 14 mars 2018, j’ai quitté la maison de 12h10 à 12h35 l’après-midi. Le soir du 16 mars 2018, j’ai remarqué deux serviettes de bain tachées de peinture rouge. Le matin du 17 avril, j’ai pris une photo de ces serviettes de bain tachées. Cette photo a été envoyée le lundi 19 mars via PEC au magistrat Cozzolino du Tribunal de Cosenza.

Dans la nuit du 21 au 22 mars 2018, j’ai été victime du « boiling body effect ». Encore une fois, dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2018, je fus victime du  «boiling body effect ». La veille, j’avais bu une petite gorgée de whisky. Pour vérifier, le soir du 2 avril 2018, j’ai bu un peu de whisky de la même bouteille et dans la nuit du 2 au 3 avril 2018, j’ai de nouveau été victime du même effet, confirmant que la bouteille de whisky avait été empoisonné pour provoquer ledit effet. Au cours de la journée du 3 avril 2018, j’ai informé Emiliano Morrone en tant que membre de l’Association de protection La Voce di Fiore. J’ajouterais que j’avais ouvert cette bouteille plus d’un mois auparavant, la laissant sur la table à manger sous l’œil de la caméra de surveillance, histoire de vérifier si, malgré l’ouverture de la nouvelle enquête, les mêmes criminels oseraient la modifier. .

Les carabiniers de San Giovanni in Fiore savent que je suis une personne respectueuse des lois, pacifique et constructive, avec une sérieuse formation universitaire et avec une certaine éducation et un certain “savoir vivre” personnel. A mon arrivée en Italie, ma réputation était impeccable. Je n’ai jamais fait l’objet d’enquêtes pour le moindre crime dans aucun pays. Je ne permettrai à personne de tacher ma réputation et encore moins par des manipulations et des fabrications telles que celles concoctées par les criminels incompétents Pantano et Curcio avec pour objectif de classer les enquêtes et ainsi protéger les criminels.

 

Comme tout le monde le sait, peut-être parce que je fus un émigrant, je suis très attaché aux choses appartenant à ma famille. Voir, par exemple, ci-joint mes plaintes toujours non satisfaites, contre M. Mario Marra pour le vol de mon Libbro delle figure de Gioacchino da Fiore au Canada, ou le vol des deux commodes ou tables de chevet appartenant à la salle à coucher de mariés de mes parents, un vol perpétré par Mme Vincenza Foglia-Federico.

À cet égard, je souhaite informer les carabiniers que parmi les quelques choses anciennes dont j’ai hérité de mes parents, il y a une « arme ». Cela m’a toujours semblé être un artéfact de musée plutôt qu’une arme à feu. Mais je n’ai aucune connaissance à ce sujet. J’ai donc demandé aux carabiniers de l’examiner et de m’informer sur ce que je devais faire pour éventuellement régulariser cette situation. Je suis convaincu que cet objet appartenait à mon défunt père avant son émigration en France en 1957. Mais je ne suis pas sûr et je n’ai plus personne à qui demander. Dans le contexte actuel pervers, avec divers criminels comme Curcio et Pantano qui sont capables de forger de faux diagnostics médicaux pour protéger les criminels qui violent ma maison, je ne voudrais pas que cela soit exploité contre moi.

Je réitère ma détermination à obtenir justice. Je suis un citoyen italien, une personne bien éduquée, issue d’une famille exemplaire. Je demande à être traité avec tout le respect qui est dû à mes droits fondamentaux inscrits dans ma Constitution italienne. J’ai été élevé dans le strict respect de la justice. Pour moi, le respect et la confiance dans les procédures judiciaires, et en le « due process », est une question cruciale qui concerne la civilisation humaine.

Meilleures salutations,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

 

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DOC 6 f. Exposé sur les procédures engagées pour l’obtention du Nulla osta pour la possession de l’ancien mousquet de mon défunt père. En référence à ma plainte du 17 avril 2018. 20 avril 2018

Prof. Paolo De Marco
87055- San Giovanni in Fiore (Cs)

20 avril 2018

Sujet: Exposé sur les procédures engagées pour l’obtention du Nulla osta pour la possession de l’ancien mousquet de mon défunt père. En référence à la plainte du 17 avril 2018.

Légion des carabiniers « Calabre »
Gare de San Giovanni in Fiore (Cs)
Italie

À qui de droit,

En référence à ma plainte du 17 mai 2017 et à la plainte relative aux nouvelles violations de mon domicile du 17 avril 2018, je tiens à informer les carabiniers de San Giovanni in Fiore (Cs) de l’état des procédures engagées pour l’obtention de l’autorisation de la possession de l’ancien mousquet appartenant à mon défunt père qui a été emmené au commandement des carabiniers le 17 avril 2018. Le 18 avril 2018, je me suis rendu à la Questura de Cosenza. Le quartier général de la police m’a dit que le mousquet devait être conservé par le commandement des carabiniers de San Giovanni in Fiore jusqu’à la délivrance du Nulla osta. Mes procédures pour l’obtenir sont déjà avancées. J’attends les résultats des analyses de laboratoire pour passer à la dernière étape.

 

Je voudrais souligner le fait que cet objet très ancien a pour moi une double valeur inestimable. Premièrement, une grande valeur affective ayant appartenu à mon défunt père que j’ai perdu jeune en 1972. Deuxièmement, une grande valeur matérielle et historique. Je dois ajouter que cette arme de musée est sans munitions et qu’elle ne fonctionne plus comme une arme à feu.

Je souligne avec gravité que si jamais le Nulla osta m’était refusée, le mousquet devra être saisi et gardé par les carabiniers et la magistrature jusqu’à la conclusion des enquêtes en cours qui, d’après les faits, ne pourront rien faire, sinon restaurer ma réputation. J’ai déjà souligné que l’objectif du diagnostic forgé par les criminels Pantano et Curcio était de classer abusivement sans suite les enquêtes précédentes, qui sont rouvertes aujourd’hui par le bureau du procureur de Cosenza. Jusqu’à ce faux, ma réputation était intacte, étant une personne respectueuse des lois et scrupuleusement respectueuse des autres et de la loi. Mon attitude pacifique et légaliste n’a jamais changé malgré les longues manipulations quotidiennes à la Philip Zimbardo qui m’ont été imposées en Italie depuis mon rapatriement en 2013.

Je souligne à nouveau que je n’ai jamais été accusé d’aucun crime dans aucun pays. Je souligne et réitère que je ne permettrai à personne de tacher ma réputation de manière aussi lâche sans prendre en compte les conséquences très graves qui en découlent dans tous les aspects de ma vie professionnelle et sociale, et de ma vie tout court, conséquences causées par le diagnostic criminel du dr. Curcio. C’est un personnage inqualifiable que je n’avais jamais rencontré avant le jour où j’ai été incroyablement menacé par le commandant Pantano si j’osais déposer d’autres plaintes malgré la poursuite des violations de mon domicile accompagnées par l’intimidation policière-mafieuse habituelle et par l’altération de ma nourriture et de mes boissons! Je réitère ma confiance dans le processus judiciaire pour faire respecter mes droits fondamentaux et un minimum de décence et de loyauté dans le traitement des citoyens.

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco

 

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DOC 7. Annexe I = img20180903_09505998 Réponse de Cozzolino 03-09-2018

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DOC 8. Réponse à sa lettre du 3 septembre 2018. Au dr Cozzolino, en personne. 10 septembre 2018

Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Courriel: [email protected]

Date: 10 septembre 2018

Objet: Réponse à sa lettre du 3 septembre 2018. Au dr Cozzolino lui-même.

Dr Giuseppe F. Cozzolino, en personne
Procureur général de Cosenza Piazza Gullo, NN 87100 Cosenza
[email protected]
[email protected]

Cher dr Cozzolino,

Le 3 septembre 2018, j’ai reçu une réponse – pièce jointe 1 – dans laquelle vous m’informez qu’une procédure contre X était close le 18/11/2017. Cette réponse ne concerne en rien ma plainte du 17-05-2017 suivie, notamment, de la 3ème intégration cruciale du 22 août 2017 et de diverses autres, la dernière, la 5ème intégration, ayant été formulée le 20 avril 2018. (Annexe 3)

Ce ne sont pas des plaintes contre X – le code 44 qui apparaît dans votre réponse. Au lieu de cela, il s’agit de plaintes très spécifiques contre Pasquale Oliverio, un de mes jeunes voisins, et contre les criminels, le commandant Pantano et son complice, le dr Curcio. Je remarque également une confusion au sujet du code de la procédure qui, une fois écrit de votre main, apparaît sous la cote 3955/14, puis dans l’entête du document sous la cote 3955/17.

 

De plus, le samedi 8 septembre 2018, j’ai finalement réussi à vérifier un fait très sérieux avec l’actuel commandant des Carabiniers de San Giovanni in Fiore: de fait les preuves – clé USB, serviettes de bain tachées de peinture rouge et bouteille de Vecchia Romagne – saisies par les carabiniers le 4 juillet 2017 n’ont pas été transmis ni analysés par la magistature.

De nombreuses autres preuves similaires et irréfutables sont en ma possession. Aucune autre enquête n’a jamais été menée sur place – empreintes digitales etc. Les différentes intégrations documentent également la poursuite des violations de mon domicile entre le 17 mai 2017 et le 18 novembre 2017 et même après. Pour cette raison, je ne peux pas comprendre votre réponse, qui est cependant arrivée étrangement après de nombreuses autres demandes d’informations restées sans réponse. (Pièce jointe 1)

Les nouvelles plaintes mentionnées ici font suite à une réunion à la préfecture de Cosenza le 7 avril 2017 au cours de laquelle, en présence d’un célèbre journaliste de ma ville, Emiliano Morrone, j’ai obtenu la protection de l’État. Auparavant, il y avait aussi deux questions parlementaires présentées par le courageux député calabrais, l’honorable Paolo Parentela. En fait, il s’est avéré que d’une manière que je jugeais hautement criminelle, mes premières plaintes de décembre 2014 et de 2015 avaient été archivées sans jamais m’en avertir. La seule explication est celle d’une manipulation ou occultation mise en place avec trop de complicités.

 

Je désirerais éviter toute autre confusion possible. J’insiste, après consultation auprès des carabiniers, que leur code de transmission de ma plainte du 17-05-2018 et des différentes intégrations est le suivant: Prot. 45/18 – 2017. Sur cette base, le numéro de code de l’affaire pénale qui concerne spécifiquement ces plaintes devrait être vérifié et je devrais être notifié le plus rapidement possible. Peut-être que j’ai reçu de fausses informations et que vous n’êtes pas responsable de cette nouvelle affaire pénale.

En tant que citoyen italien, j’insiste sur la nécessité de respecter strictement le « due process ». J’insiste encore une fois sur ma demande d’intervention immédiate du parquet pour rétablir ma réputation lâchement tachée sans aucun fondement par le criminel dr. Curcio et son commandant Pantano. Les conséquences de cette lâcheté hautement criminelle sont multiples. Cela entraîne mon exclusion inévitable et permanente de tout poste professionnel et académique qui correspond minimalement à ma formation académique et à mes contributions scientifiques. Elle provoque une exclusion sociale inévitable et diffamatoire.

La dernière et typique conséquence remonte au 7 septembre 2018 lorsque le dr Nicotera de l’ASP de Cosenza m’a informé par téléphone de son refus d’autorisation de posséder une arme à feu. (Pièce jointe 2)

Ayant trouvé dans les outils de mon défunt père un très vieux mousquet historique qui n’est plus fonctionnel, je suis immédiatement allé en informer les carabiniers. Afin de ne pas perdre ce précieux objet familial, j’ai alors engagé la procédure judiciaire nécessaire pour obtenir l’autorisation de possession de ce type d’armes. J’ai demandé au dr Nicotera une raison écrite de son refus. Étant une personne honnête avec une réputation jusqu’ici immaculée, en plus d’avoir été un professeur exemplaire, je ne conçois pas comment un tel refus puisse s’expliquer en dehors du diagnostic criminel sans fondement du criminel dr Curcio. (Pièce jointe 3) Je signale humblement qu’en dépit d’être victime de ces horribles et lâches manipulations dignes d’un Philip Zimbardo dévoyé, depuis plus de 6 ans en Italie, moi, Paul De Marco, je n’ai jamais manqué de courtoisie envers personne et je n’ai jamais menacé personne, plaçant plutôt ma confiance dans le système judiciaire de mon pays.

 

Le procureur de Cosenza ainsi que les garants des droits fondamentaux dans ma République doivent comprendre que la réputation d’une personne respectueuse des lois comme moi ne peut être entachée pour couvrir des criminels nationaux et étrangers coupables des violations répétées de mon domicile et d’un cover up persistant. Je souligne à nouveau la protection de l’État offerte par la préfecture.

J’attends votre réponse avec impatience.

Meilleures salutations,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

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Trois PEC au procureur Dr Cozzolino

Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Courriel: [email protected]

Date: 3 avril 2018

Objet: Nouvelle violation de ma maison avec empoisonnement de mes boissons. Au dr Cozzolino lui-même.

Dr Giuseppe F. Cozzolino, en personne
Procureur général de Cosenza Piazza Gullo, NN 87100 Cosenza
[email protected]

Cher dr Cozzolino,

 

Le 19 mars, je vous ai informé des nouvelles violations de mon domicile et je vous ai envoyé une photo des deux serviettes de bain tachées de rouge. Aujourd’hui, je tiens à vous informer que dans la nuit du 31 mars au 1er avril et de nouveau dans la nuit du 2 au 3 avril, j’ai été victime du phénomène du “boiling body effect”. Dans l’après-midi du 31 mars, j’avais quitté la maison. Le soir du 31 mars à 21 heures, j’avais bu une gorgée de whisky qui était donc empoisonnée. Pour le vérifier, à 22 heures le 2 avril, j’ai à nouveau bu une gorgée du même whisky qui m’a causé le même effet.

Je crois que le renouvèlement de ces crimes a été déclenché par la PEC envoyée le 13 mars 2018 au Collège des médecins de Cosenza pour demander à nouveau une réponse urgente à ma plainte contre le criminel dr. Curcio, demandant sa radiation immédiate en raison de sa grave violation des normes les plus élémentaires de l’éthique médicale.

Dr Cozzolino, j’attends vos explications. Dans ces circonstances, veuillez avoir la courtoisie de me les faire parvenir le plus tôt possible.

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

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PEC 19 mars 2018

Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Courriel: [email protected]

Date: 19 mars 2018

Objet: Nouvelle violation de ma maison avec acte d’intimidation. Au dr Cozzolino lui-même.

 

Dr Giuseppe F. Cozzolino, en personne
Procureur général de Cosenza Piazza Gullo, NN 87100 Cosenza
[email protected]

Cher dr Cozzolino,

Vous trouverez ci-joint la photo de deux serviettes de bain légèrement tachées de peinture rouge identique à celle utilisée dans d’autres circonstances lors de la violation de mon domicile et déjà signalée à la magistrature. Je l’ai remarquée le vendredi 16 mars 2018 avant d’aller me coucher. Cette récente violation de mon domicile, ainsi que ce nouvel acte d’intimidation policière-mafieuse, doit avoir eu lieu pendant mes absences de chez moi le mercredi 14 mars 2018 de 12h10 à 12h35 de l’après-midi ou, avec moins de probabilité, le Lundi 12 mars 2018 de 16h15 à 16h21. Le matin du mardi 13 mars 2018, je vous avais adressé une PEC ainsi qu’à l’Ordre des médecins de Calabre pour demander une réponse et les éclaircissements nécessaires concernant mes plaintes.

Dr Cozzolino, vous avez le devoir impératif de m’expliquer comment de tels crimes contre moi peuvent encore être perpétrés sans l’intervention de la police et sans que la justice n’ait encore arrêté les auteurs de ces crimes. J’ai déjà souligné, et vous le savez mieux que moi, que les services de sécurité corrompus impliqués dans cette affaire ne peuvent pas être hors de portée de la loi. Je souligne à nouveau qu’en plus d’être une personne respectueuse des lois et d’une réputation irréprochable, je suis un citoyen italien qui jouit de tous les droits fondamentaux garantis par la Constitution.

J’attends toujours des nouvelles sur le résultat de vos enquêtes bien que je ne puisse cacher ma surprise sur le manque de mesures correctives, par exemple la prise d’empreintes digitales sur le lieu, les analyses des boissons et des aliments altérés, etc. Je souligne que mes plaintes sont nominatives: elles nomment expressément mon voisin Pasquale Oliverio, l’ancien commandant des carabiniers, le criminel Pantano et son vil acolyte le docteur Curcio.

 

J’attends toujours d’être informé des mesures prises par le procureur de Cosenza pour restaurer ma réputation en ce qui concerne le diagnostic criminel dressé par le vil dr Curcio avec le criminel commandant Pantano et d’autres au-dessus de lui. Les plaintes qui ont suivi et dont vous êtes responsable, démontrent, sans l’ombre d’un doute, que ces viles fabrications ont été conçues comme un dépistage pour permettre le classement de mes premières plaintes et la perpétuation, en toute impunité, des crimes perpétrés contre moi.

Dr Cozzolino, ne sous-estimez pas le fait que cette persécution perverse et illégale déclenchée pathologiquement contre moi, a déjà produit, outre la destruction de ma carrière universitaire, de ma vie privée et de ma vie sociale, l’anéantissement de ma famille et de ma lignée. (1) Cette persécution filo-sémite nietzschéenne haineuse mais typique et quotidienne dure depuis le début des années 1980 lorsque j’ai rédigé ma thèse de maîtrise réhabilitant le statut scientifique de la loi de la valeur de Karl Marx. La justice doit être exemplaire. Il n’y a pas de crime plus grave que le déni de la justice. Je répète que j’ai demandé les excuses et la punition des coupables ainsi que les dommages pécuniaires et moraux exemplaires qui me sont dus.

J’attends votre réponse,

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

 

1 ) Vous avez déjà tous les documents relatifs au meurtre médical de mon frère aîné Giuseppe De Marco. Dans le lien suivant, vous trouverez la publication de quelques documents choisis essentiels qui établissent la preuve irréfutable de ce meurtre médical gratuit et monstrueux, voir: http://rivincitasociale.altervista.org/self-separation-the-united-states-and-israel-leave-unesco-good-riddance/

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PEC du 12 juin 2018

Paolo De Marco
87055 – San Giovanni in Fiore (CS)
Courriel: [email protected]

Date: 12 juin 2018

Objet: Demande urgente sur l’état de mes plaintes. Au dr Cozzolino lui-même.

Dr Giuseppe F. Cozzolino, en personne
Procureur général de Cosenza Piazza Gullo, NN 87100 Cosenza
[email protected]

Cher dr Cozzolino,

Nous sommes arrivés au 12 juin 2018. En tant que citoyen, je ne peux pas être traité ainsi par les institutions de ma République, née de la Résistance. L’Italie est toujours un État où l’État de droit doit prévaloir. J’attends toujours des nouvelles sur les résultats des enquêtes que vous avez menées, même si je ne peux pas cacher ma surprise quant à l’absence de mesures appropriées, par exemple la prise d’empreintes digitales sur place, l’analyse des boissons et des aliments altérées, etc. J’insiste sur le fait que mes plaintes sont nominatives: elles incluent mon voisin Pasquale Oliverio, l’ex-commandant des carabiniers, le criminel Pantano et son vil acolyte dr. Curcio.

 

J’attends toujours d’être informé sur les mesures prises par la magistrature de Cosenza pour restaurer ma réputation en ce qui concerne le diagnostic criminel émis illégalement par le vil dr Curcio avec le commandant criminel Pantano et d’autres au-dessus de lui. Les plaintes qui ont suivi, et dont vous êtes responsable, démontrent, sans l’ombre d’un doute, que ces viles fabrications ont été conçues comme une manœuvre de dépistage pour permettre le classement de mes premières plaintes et la perpétuation, en toute impunité, des crimes perpétrés contre moi.

Dr Cozzolino, ne sous-estimez pas le fait que cette persécution perverse et illégale déclenchée pathologiquement contre moi, a déjà produit, outre la destruction de ma carrière universitaire, de ma vie privée et de ma vie sociale, l’anéantissement de ma famille et de ma lignée. (1) Cette persécution filo-sémite nietzschéenne haineuse mais typique et quotidienne dure depuis le début des années 1980 lorsque j’ai rédigé ma thèse de maîtrise réhabilitant le statut scientifique de la loi de la valeur de Karl Marx. La justice doit être exemplaire. Il n’y a pas de crime plus grave que le déni de la  justice. Je répète que j’ai demandé les excuses et la punition des coupables ainsi que les dommages pécuniaires et moraux exemplaires qui me sont dus.

J’attends votre réponse,

Sincèrement et respectueusement,

Paolo De Marco, ancien professeur de relations internationales – économie politique internationale.

 

1 ) Vous avez déjà tous les documents relatifs au meurtre médical de mon frère aîné Giuseppe De Marco. Dans le lien suivant, vous trouverez la publication des quelques documents choisis essentiels qui établissent la preuve irréfutable de ce meurtre médical gratuit et monstrueux, voir: http://rivincitasociale.altervista.org/self-separation-the-united-states-and-israel-leave-unesco-good-riddance/


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Documents essentiels:

DOC E Diagnostic illégal et criminel du dr. Curcio

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DOC F Avis négatif du dr Nicotera sur l’autorisation du Nulla osta.

Il s’agit d’un avis subordonné au diagnostic illégal et criminel du dr Curcio. Même ainsi, cependant, l’accusation de « colère sociale » ne peut pas être expliquée étant donné que la critique sociale fait partie intégrante de ma spécialisation académique. Mes critiques ont toujours été civiles et constructives, par exemple la contribution scientifique cruciale qui forme la base du programme politique que j’avais proposé à la « gauche » italienne dans la lointaine année 2005; il est traduit “en italien” dans le “Brani scelti de mon Keynésianisme, Marxisme, Stabilité Economique et Croissance, disponible dans la section Italie de mon ancien site jurassique www.la-commune-paraclet.com . Aucun esprit objectif ne saurait nier que si un tel programme avait été mis en place, mon pays ne se trouverait pas dans les pitoyables conditions dans lesquelles il se trouve aujourd’hui du fait de trop nombreux « pitres » aujourd’hui avérés comme tels.

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DOC G CAM12308 Photo prise le 02-02-2017

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DOC H Note du Député Sapia sur l’affaire du Professeur De Marco

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DOC I Rapport sur la consignation de l’ancien mousquet 17 avril 2018

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DOC J Résultat des analyses de laboratoire pour l’autorisation du Nulla osta, 27 avril 2018

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