Commenti disabilitati su SARS-CoV-2 = Vaccins occidentaux, nouveaux faits sur le désastre quasiment annoncé pour plaire à Big Pharma, 27 déc. 2020.

(Je dois répéter que je ne suis pas docteur en médecine. Cependant, je prends au sérieux le prof. Testart sur le rôle nécessaire des citoyens.)

(Ajouté le 29 décembre 2020 dans la version anglaise :

(a ) Voir “Le responsable scientifique de l’OMS met en garde contre “l’absence de preuves que le vaccin COVID prévient la transmission du virus”. , par Tyler Durden, mardi 29 décembre 2020 – 5h44, https://www.zerohedge.com/covid-19/who-chief-scientist-warns-no-evidence-covid-vaccine-prevents-viral-transmission. Dans de telles circonstances, les gouvernements, comme le gouvernement italien, qui parlent trop facilement de vaccination obligatoire lorsqu’il s’agit de thérapies génétiques non testées, s’exposent à des poursuites pénales, y compris devant la Cour pénale internationale, pour avoir sciemment mis en danger la vie de personnes et pour crime contre l’Humanité en imposant des thérapies génétiques de masse indument testées et potentiellement dangereuses. Tout le monde devrait lire sa Constitution en même temps que l’Accord de Nuremberg. Les citoyens devraient avoir un accès gratuit à des tests fiables et aux traitements médicaux existants. Les vaccins non testés et surtout les thérapies géniques non testées pourraient au mieux faire l’objet d’un consentement individuel explicite mais exprimée en toute connaissance de cause, du moins tant qu’ils ne violent pas les codes d’éthique de la médecine et de la recherche scientifique.

b ) 29 décembre 2020 : La nouvelle technologie a ARNm basée sur les plates-formes est censée s’adapter aux changements pour faire face aux mutations. Mais étant donné le mécanisme d’évasion des anticorps, s’il était confirmé, tout ceci deviendrait très dangereux. La variante britannique a été déclarée 70 % plus dangereuse que les souches initiales présentes avant mars de cette année. A quels nouveaux Rt voulons-nous être confrontés, de surcroît en séries rapides espacées de quelques mois ? C’est-à-dire, “Nous, le peuple” pas Big Pharma …

c) 29 décembre 2020 : La variante italienne actuelle est aussi dangereuse ou plus dangereuse que la variante britannique, voir : https://www.msn.com/it-it/notizie/tecnologiaescienza/coronavirus-scoperta-la-variante-italiana-%c2%abcircola-da-agosto-il-vaccino-dovrebbe-contrastarla-ma-gli-studi-sono-in-corso%c2%bb/ar-BB1cilDf?ocid=SL5MDHP&li=BBqfWMR )

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Clivage, délétion, mécanismes d’échappement, interruption-suppression de la synthèse protéinique : Comme disent les Anglais « The writing is on the wall ».

Nous avons noté dans les posts antérieurs le scandale du remdesivir. Les drugs pushers en charge et les autres n’hésitèrent pas à en faire la promotion malgré les informations qui commençaient à circuler au sujet de son inefficacité et surtout de sa toxicité, en particulier pour les reins des patients.

En ce qui concerne les vaccins occidentaux, surtout ceux a ARNm, cela s’annonce pire.

Nous avons déjà mentionné le fait qu’à supposer que ces vaccins protègent et guérissent les vaccinés – ce que l’on ignore encore – ils ne les mettront pas à l’abris de réinfections et ne garantiront pas que les personnes vaccinées ne contamineront pas les autres. Malgré les affirmations contraires personnes ne sait encore combien de temps durera la couverture des anticorps de ces vaccins et de ces thérapies géniques. Personne n’a le recul clinique pour affirmer, par exemple, que cette couverture sera de 6 à 7 ou 12 mois. Les nouveaux variants et les nouvelles mutations renforcent toutes ces appréhensions légitimes.

Nous avons souligné le fait que, dans ces conditions, l’immunité grégaire par le ou les vaccins reste illusoire – certains ont proposé sans rire de vacciner chaque personne avec deux vaccins pour en renforcer les effets !!! Ceci explique pourquoi une analyse mécanique de la logique du Ro, qui laissent de côté nombres de variables intervenantes comme les allergies etc. , estime à juste titre que les pourcentages de personnes à vacciner pour atteindre ces seuils immunitaires risquent d’augmenter en flèche. On comprend donc pourquoi quelqu’un comme le dr. Fauci estime désormais que ce n’est plus 60 % ou 70 % mais près ou plus de 90 % des personnes qu’il faudrait vacciner … si toutefois le taux d’efficacité des vaccins est bien en dessus de 90 %, et non de 62 % …. (voir l’analyse du seuil ici : https://www.lemonde.fr/planete/video/2020/12/27/covid-19-le-vaccin-va-t-il-nous-sauver-rapidement-de-l-epidemie_6064589_3244.html . Pour les frasques du dr. Fauci voir « Did Fauci Just Admit He Lied About Herd Immunity To Trick Americans Into Vaccine? », by Tyler Durden, Thursday, Dec 24, 2020 – 15:15, https://www.zerohedge.com/covid-19/did-fauci-just-admit-he-lied-about-herd-immunity-trick-americans-vaccine )

C’est pourquoi le volontariat en suffira pas et le Marteau philosémite Nietzschéen sous forme de la dérive totalitaire du passeport vaccinal enfreignant la mobilité des citoyennes et citoyens – palestinisation des peuples gentils ? – semble le seul recours à nos dirigeants dévoyés. Ceci en cachant le manque de données sur les conséquences – cancers, transmission de déformations par les gamètes – pouvant émerger de ces expériences de masse de thérapies géniques non dument vérifiées mais dignes de l’Island of Dr. Moreau.

Il se trouve que nous pouvons préciser les problèmes les plus évidents qui vont se poser et qui se posent déjà avec les variants connus – GB en particulier. Mais nous savons déjà qu’il existe un variant sud africain et une mutation nigérienne. Les dirigeants qui cherchent à imposer les vaccins ne les ignorent pas puisque ils vont répétant que les personnes vaccinées devront continuer à porter le masque et à respecter toutes les mesures de distanciation sociale. A quoi servent donc ces vaccins, à part faire mousser les profits de Big Pharma et `propager l’illusion d’une solution à la crise sanitaire pour la consommation des masses gentilles et crédules ?

Ainsi dans un très bel article sur le variant britannique nous trouvons des informations biologiques essentielles. Le Sars-CoV-2 est le coronavirus plus long connu – plus ou moins 30 000 séquences. Les variations et les mutations produisent un clivage facilité sur la cellule à infecter et les variations des acides aminés favorisent les mécanismes d’échappements aux anticorps. Si cette évasion survient en relation avec les nouveaux anticorps plus récents que ceux des vaccins confectionnés sur les premières souches du virus publiées au tout début de la crise, alors cela se présente très mal. Or, chronologiquement, cela ne peut quasiment pas être autrement.

En outre, le mécanisme de délétion des acides aminés qui seraient devenus moins efficaces pour la survie et la propagation du virus est aggravé par celui de l’interruption et de la suppression de la synthèse des protéines selon la même stratégie darwinienne virale.

Ce virus est très proactif et nous savons qu’il contient des fragments opérationnels du virus du VIH pour lequel il n’existe aucun vaccin à date, justement à cause de ces mécanismes d’échappement. Ceci est potentiellement encore plus grave que tout le reste puisque ces mécanismes peuvent mettre en jeu des cellules autres que les cellules pulmonaires. Les symptômes sur le cerveau – odorat et gout –, sur la peau et sur les riens sont déjà connus. Outre les problèmes inconnus mais potentiels de la transcription inverse, il semblerait prudent de surveiller de près les données cliniques autres que les atteintes aux poumons.

Comme cela fut le cas pour le VIH, il faudrait donc en venir très rapidement aux traitements pour éradiquer le virus et le confiner dans des cas géographiquement très localisés afin de les traiter immédiatement dès les premiers symptômes, à la chinoise ou à la marseillaise.

Pour ne pas perdre la face, les gouvernements occidentaux devraient tout simplement donner légalement accès aux citoyennes et aux citoyens ainsi qu’à leurs médecins aux traitements de leurs choix soi le traitement par le protocole Raoult ou l’ivermectine soi celui impliquant les vaccins. Celles et ceux qui recevront les vaccins doivent impérativement être mis au courant de la dramatique réduction temporelle des phases I, II et surtout III et des études de vérification successives ainsi que des dangers potentiels ; surtout, elles et ils devront jouir d’une surveillance médicale rigoureuse et gratuite. Il convient de réduire au maximum la catastrophe annoncée. Sans cela les citoyennes et citoyens devront se préparer à exiger des comptes électoraux et légaux puisque la responsabilité directes des dirigeants est engagée et ne peut pas être couverte par des avis d’experts peu démocratiques car ne prenant pas en comptes des faits connus et les critiques qui leur sont adressées.

De surcroît, ce variant anglais risque d’échapper aux PCR. Ce qui est potentiellement le cas pour d’autres, par ex, que sait-on à ce sujet de la mutation nigérienne ?

Pour les arguments énoncés ci-dessus, voir: « Royaume-Uni : un variant du coronavirus SARS-CoV-2 porteur de nombreuses mutations », Publié le 21 décembre 2020 par Marc Gozlan, https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/12/21/royaume-uni-un-variant-du-coronavirus-sars-cov-2-porteur-de-nombreuses-mutations/

 

Ajoutez que l’ARNm auto-réplicatif ne dure pas plus de 2 mois maximum dans les modèles animaux d’où la tentative de le rendre auto-amplifiant. Ce qui voudra dire, au mieux, quelques semaines ou quelques mois de plus pour les vaccins. Cependant, entre alors en ligne de compte l’ADE. On nous dit que ces thérapies n’impliquent pas la neutralisation des anticorps. Mais justement cela n’est pas garanti.

Supposons un instant que cela soit vrai. On sait déjà par les variants du genre GB que ces anticorps peuvent être neutralisés. Donc les vaccins ne serviront à rien car ils ne permettront pas de supprimer cette faille mais au contraire ils vont l’amplifier. Du coup, les mécanismes de délétion et d’interruption-suppression de la synthèse protéinique risquent de mener à des transcriptases inverses comme le craint le prof. Perronne.

Voir : « Cet ARN messager est encapsulé dans des nanoparticules lipidiques. Une étude publiée en juillet 2020 dans la revue Nature Communications a montré que ce vaccin prototype entraînait chez la souris la production robuste d’anticorps neutralisants spécifiques ainsi qu’une réponse cellulaire immunitaire. Les chercheurs précisent par ailleurs ne pas avoir observé la production in vitro d’anticorps facilitants, via un phénomène baptisé ADE (antibody-dependent enhancement). Il convient en effet de s’assurer en laboratoire que certains anticorps non neutralisants ne facilitent pas la pénétration du virus dans les cellules. Cet ARN messager auto-réplicatif codant la protéine Spike du SARS-CoV-2 est en essai clinique de phase I dans le but d’évaluer sa sécurité chez des volontaires sains. » L’aventure scientifique des vaccins à ARN messager – Réalités Biomédicales (lemonde.fr)

Resterait à mieux analyser l’action de la Vitamine D qui fait la différence à toutes les phases de cette maladie virale mais surtout à la fin dans les cas graves. Car, d’évidence, elle agit sur le système immunitaire – probablement, durant la dernière phase, par des mécanismes qui réduisent la tempête immunitaire.

Paul De Marco

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