Commenti disabilitati su Rimangano 3 anni prima della catastrofe o la folle irrazionalità della neutralità carbone, 19 giungo 2022. (Version française incluse)

(La version française suit.) Ecco un breve riassunto dell’intervista al professore F. Gervais disponibile in questo video: « Urgence Climatique: Les Gouvernements Vous Mentent-Ils Sur Le Climat ? » , https://www.youtube.com/watch?v=KwLoBXfMVlg

(Vedi pure/Voir aussi : Le nouveau livre de François Gervais,  https://www.climato-realistes.fr/lettre-dinformation-n-127/ 

L’IPCC avrebbe accorciato ulteriormente i tempi: mancano solo 3 anni alla catastrofe! François Gervais, fisico e revisore esperto dell’IPCC, mette le cose in chiaro. Non c’è nulla del genere nella sintesi dell’IPCC destinata ai decisori, una sintesi che in realtà fu da politici e non da scienziati. Basandosi sulle affermazioni dell’IPCC, smonta le affermazioni dei climatologi. Gli obiettivi della neutralità carbone- “net zero” – sono scientificamente validi?

Supponiamo che un’auto che emette 200 g di CO2 per km percorra in media 100.000 km. Quale sarebbe l’impatto termico di 1 milione di queste auto che percorrono 100.000 km ciascuna secondo i parametri dello stesso IPCC? Secondo l’IPCC, ogni 1.000 miliardi di tonnellate di CO2 rimaste nell’atmosfera riscalderebbero il pianeta di 0,45 gradi Celsius. Il riscaldamento sarebbe solo di 4 milionesimi di grado. La neutralità carbone è un obiettivo assurdo.

La Cina, il più grande emettitore al mondo, consuma la metà del carbone mondiale. Entro il 2050 – data prevista per l’obiettivo zero – secondo i dati dell’IPCC, la Cina potrebbe riscaldare il pianeta di 1/10 di grado. Per la Francia, sarebbe 1/1000 o 2/1000 di grado. Non c’è nulla di cui spaventarsi.

Nello scenario più catastrofico dell’IPCC, che anche ai suoi occhi rimane il più improbabile – ovvero, oltre il 2100, le emissioni di CO2 sarebbero aumentate di 12 volte rispetto a tutte le emissioni dall’inizio dell’era industriale – il riscaldamento previsto entro 20 anni sarebbe di 1/10 di grado in più. Tutto questo è prossimo allo zero in termini di impatto termico. Si tratta infatti di un valore inferiore alla soglia di misurabilità, che attualmente è di 7 centesimi di grado.

Senza CO2 non ci sarebbe vegetazione sulla Terra. Infatti, l’aumento della CO2 favorisce le rese agricole, ad esempio del riso. Oggi sappiamo anche che le emissioni di CO2 fluttuano a seconda che l’anno sia caldo o freddo (la CO2 segue, non precede, il cambiamento climatico).

Gli Americani, che ora sono i campioni dell’IPCC, nel frattempo sono diventati i maggiori produttori di combustibili fossili. Non esitano ad abusare di questa posizione. (Anche oggi, con le sanzioni e l’extraterritorialità.) Considerati i metalli coinvolti, lo sviluppo dell’elettricità come sostituto dei combustibili fossili porterebbe a un saccheggio globale del pianeta. E ad una ingente perdita di posti di lavoro.

Possiamo sospettare, dice il prof., una considerevole convergenza di obbiettivi e di interessi. Ad esempio, secondo le previsioni della Banca Mondiale, sarebbe necessario spendere 89.000 miliardi di dollari in 5 anni (più del debito sovrano mondiale, che attualmente ammonta a quasi 60.000 miliardi di dollari).

(Aggiungo da parte mia, per deplorarlo amaramente, le devastazioni provocate da questa stupida narrazione nelle file della “sinistra” e nelle teste dei giovani sottoposti, fin dalla prima infanzia, a un indottrinamento mai eguagliato, se non con le Crociate dei Pastorelli del Medioevo, anche se oggi si fa loro svolgere il ruolo di piccoli inquisitori moralisti che non hanno alcun interesse alla minima verifica scientifica dei fatti. La sinistra autentica, o semplicemente le forze autenticamente repubblicane, non possono e non devono mai fondarsi su qualcosa di diverso dalla scienza e dal suo rispetto per la metodologia e per i fatti. Oggi, troppe persone, di tutte le età, sono state ingannate da queste narrazioni. Questo è l’aspetto più grave di queste nuove narrazioni filo-sioniste nietzschiane e neo-malthusiane. Lo stesso vale per la dittatura sanitaria e l’attacco al genoma umano con terapie sperimentali a base di mRNA. Per il resto, rimando alla categoria “Ecomarxismo” di questo medesimo sito).

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Le GIEC aurait encore raccourci les temps : il ne resterait plus que 3 ans avant la catastrophe. François Gervais, physicien et expert reviewer au GIEC, remet les pendules à l’heure. Il n’y a rien de tel dans le résumé du GIEC destiné aux décideurs et d’ailleurs écrit par des décideurs politiques et non pas par des scientifiques. En se fondant sur les affirmations du GIEC lui-même, il démonte les affirmations des climatologues. Est-ce que les objectifs de la neutralité carbone – « net zero » – sont scientifiquement fondés ?

Supposons qu’une voiture qui émet 200 g de CO2 par km circule en moyenne 100 000 km. Quel serait l’impact thermique de 1 million de ces voitures circulant chacune 100 000 km selon les paramètres du GIEC lui-même ? Selon cet organisme chaque 1000 milliards de tonnes de CO2 qui resterait dans l’atmosphère réchaufferait la Planète de 0,45 degré Celsius. Le réchauffement ne serait que de 4 millionième de degré. Le net zero est un objectif absurde.

La Chine, premier émetteur mondial, consomme la moitié du charbon produit mondialement. D’ici à 2050 – date butoir pour l’objectif « net zero » –, selon les chiffres du GIEC, la Chine pourrait réchauffer la Planète de 1/10ème de degré. Pour la France ce serait 1/1000ème ou 2/1000ème de degré. Pas de quoi fouetter un chat.

Le scénario le plus catastrophique du GIEC, qui même à ses yeux reste le plus improbable – soit, au-delà de 2100, les émissions de CO2 auraient été multipliées par 12 comparées à toutes les émissions depuis le début de l’ère industrielle – le réchauffement attendu d ’ici 20 ans  serait de 1/10ème de degré de plus. Tout ceci frise le zéro en terme d’impact thermique. Ce qui est, en fait, inférieur au seuil de mesurabilité qui se situe actuellement à 7/100ème de degré.

Or, sans CO2, il n’y aurait pas de végétation sur terre. En fait, l’augmentation de CO2 favorise les rendements agricoles, par ex., ceux du riz. On sait également aujourd’hui que les émissions de CO2 fluctuent selon que l’année est chaude ou froide. (Le CO2 suit, il ne précède par les changements climatiques.)

Les Américains, aujourd’hui chantres du GIEC, sont entre-temps devenus le premier producteur d’énergies fossiles. Ils ne se gênent pas pour abuser de cette position. (Y compris aujourd’hui avec les sanctions et l’extraterritorialité) Vu les métaux impliqués, développer l’électrique en substitution des énergies fossiles mènerait à un pillage mondial de la planète.

On peut soupçonner, dit le prof. F. Gervais, une convergence d’objectifs et d’intérêts considérables: Par exemple, selon la Banque Mondiale il faudrait dépenser USD  89 000 milliards en 5 ans (plus que la dette souveraine mondiale qui se chiffre actuellement à près de USD 60 000 milliards)

(J’ajoute pour ma part, pour le déplorer amèrement, les ravages causés par cette narration débile dans les rangs de la « gauche » et dans la tête des jeunes gens soumis, depuis leur plus tendre enfance, à un endoctrinement jamais égalé avant, sinon avec les Croisades des Pastoureaux du Moyen-âge, encore qu’aujourd’hui on leur fait jouer le rôle de petits inquisiteurs moralistes n’ayant cure pour la moindre vérification scientifique. La gauche authentique ou tout simplement les forces authentiquement républicaines ne peuvent et ne doivent jamais être fondées sur autre chose que la science et son respect pour la méthodologie et pour les faits. Aujourd’hui, trop de gens de tout âge se sont laissés dévoyés par ces narrations. C’est-là l’aspect le plus grave de ces narrations nouvellement philo-sionistes nietzschéennes et néomalthusiennes. La même chose vaut pour la dictature sanitaire et l’attaque contre le génome humain avec des thérapies expérimentales à mARN. Pour le reste, je renvoie à la Catégorie « Ecomarxismo » de ce même site.)

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