Commenti disabilitati su LETTRE OUVERTE AU GOUVERNEMENT ITALIEN sur la très grave absence de réponse de l’Ordre des médecins de Cosenza. 21 avril 2019

Voir l’annexe intitulée « En mémoire de mon frère aîné Giuseppe De Marco, médicalement assassiné par des juifs avec la complicité de Canadiens, d’Italiens et de plusieurs autres personnes. * » dans http://rivincitasociale.altervista.org/self-separation-the-united-states-and-israel-leave-unesco-good-riddance/

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La lettre adressée ici à la Ministre de la Santé, Mme G. Grillo, est également adressée au Président du Conseil Monsieur G. Conte et à tous les ministres de son gouvernement. Tous ont déjà été contactés, en vain, à maintes reprises et pour l’heure leur silence et leur inaction les rendent complices des crimes perpétrés contre moi.

En ce qui concerne le criminel diagnostique du Dr. Curcio, qui fut fabriqué pour permettre le classement de mes plaintes sans la moindre enquête, voici ce qu’écrit le député M. Sapia dans son exposé aux Autorités concernées : « Il est évident, sur le fond, que tertium non datur: ou bien une commission l’a examiné selon les procédures établies, ou De Marco est victime d’abus. » 

CONTENU :

  1. Courriel certifié à la ministre Mme Giulia Grillo du 8 avril 2019 – avec rappel du 15 avril 2019.
  2. Pièce jointe 1: Plainte pour la radiation immédiate du Dr. Francesco Curcio de l’Ordre des Médicis et le rétablissement immédiat de ma réputation.
  3. Pièce jointe 2: Les conséquences incalculables de la non-réponse illégale de l’Ordre des médecins de Cosenza, 10 septembre 2018
  4. Pièce jointe 3: Dr. Rossana Ugenti, Ministère de la santé, 13/11/2018
  5. Pièce jointe 4: Note de l’honorable Sapia : « exposé sur la violation du domicile du professeur Paolo De Marco, à San Giovanni in Fiore ».
  6. Pièce jointe 5: La réponse de la préfecture et ma lettre au député, l’Honorable Sapia, 28 mars 2019

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1 ) Courriel certifié à la ministre Mme Giulia Grillo du 8 avril 2019 – avec rappel du 15 avril 2019.

Paolo De Marco

87055-San Giovanni in Fiore (CS)

Date: 8 avril 2019

La ministre Giulia Grillo,

Ministère de la santé [email protected]

Urgent: Au ministre Grillo, en personne Objet: La très grave non-réponse de l’association médicale de Cosenza.

Madame la ministre G. Grillo,

Je vous demande respectueusement, ainsi qu’à votre ministère, des explications sur la très grave absence de réponse de l’Ordre des médecins de Cosenza à la plainte que j’ai portée contre le criminel et incompétent Dr. F. Curcio. (Pièce jointe 1)

Vous de même que votre ministère êtes déjà au courant des faits énumérés dans mon courriel certifié du 27 août 2018 (pièce jointe 2). Mme Rossana Ugenti sait déjà que je n’ai reçu aucune réponse malgré diverses interventions du ministère, y compris celle de Mme Cristina Rinaldi (pièce jointe 3). Dernièrement, en tant que Ministre de la Santé, vous avez pu mesurer l’état calamiteux, le pitoyable niveau de gestion ainsi que tant d’autres manifestations d’incompétence, aggravées par un clientélisme généralisé et par la corruption mafieuse, qui caractérise le système de santé en Calabre. Je serais presque tenté de mentionner mon analyse du sujet. (1) Dans le cas qui me concerne, il s’y ajoute la monstrueuse complicité des services de sécurité italiens en dépit de toute légalité. Ils tentent désormais de faire du dépistage pour couvrir leur propre incompétence criminelle, en profitant de la corruption générale. Ceci explique pourquoi les institutions ne répondent ni aux citoyens, ni aux demandes du ministère – Rinaldi et Ugenti – ni à celles qui leur sont adressées par un député de la République italienne, tel que l’Honorable Sapia (pièces jointes 4 et 5).

Tout cecis n’est pas acceptable et il est certain que je ne l’accepterai pas. J’ai déjà souligné le fait que moi, Professeur Paolo De Marco, avec une réputation jusqu’ici immaculée, je ne permettrais pas que de tels voyous politico-mafieux inqualifiables puissent souiller mon nom de famille et ma réputation. Mes plaintes concernent des faits très graves en eux-mêmes mais également, et peut-être surtout, à cause de la complicité criminelle généralisée au sein de toutes les institutions. Le Président du Conseil, ainsi que les autres ministres concernés, dont ceux de la Justice, de la Défense et de l’Intérieur, ont déjà été informés à maintes reprises par l’intermédiaire de courriels certifiés. Comment un bureau du Procureur de la République digne de ce nom peut-il classer sans suite une affaire aussi grave en ignorant sciemment les preuves saisies par les carabiniers eux-mêmes? A quoi sert le Copasir?

Avec votre réponse, je sollicite respectueusement votre intervention immédiate.

Paolo De Marco

1) Voir : « La Sanità tra tagli e corruzione: una vittima eccellente del federalismo fiscale », in http://rivincitasociale.altervista.org/la-sanita-tra-tagli-e-corruzione-una-vittima-eccellente-del-federalismo-fiscale/ . L’un des problèmes majeurs de la corruption systémique réside dans les montants des contrats qui sont exemptés de tout contrôle, seuils que le gouvernement a relevés dernièrement au lieu de les abaisser ou même de les supprimer, du moins dans des régions telles que la Calabre.

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2) Pièce jointe 1:  Plainte pour la radiation immédiate du Dr. Fancesco Curcio de l’Ordre des médicins et le rétablissement immédiat de ma réputation

Prof. Paolo De Marco

87055 – San Giovanni in Fiore (CS) Italie
Date: 25 septembre 2017
Objet: Plainte pour la radiation immédiate du Dr. F. Curcio de l’Ordre des médicins et le rétablissement immédiat de ma réputation.   Ordine Provinciale dei Medici-Chirurghi e degli Odontoiatri di Cosenza e Provincia (OMCeOCS)

Via Suor Elena Aiello, Palazzo Lucchetta S.n.c. 87100 – Cosenza – Italie
A qui de droit,

Je demande la radiation immédiate de la FNOMCeO du Dr Francesco Curcio du Centre de santé mentale de San Giovanni in Fiore (CS) pour son très grave manquement criminel à la déontologie professionnelle et pour ses accusations fausses et diffamatoires à mon sujet. Celles-ci relèvent toutes de sa complicité avec le criminel commandant des carabiniers, Pantano, dans leur tentative de forger une manœuvre de dépistage. Je constate que ma demande d’accès aux dossiers me concernant qui fut présentée le 13 juillet 2017 n’a pas été prise en compte dans  les 30 jours légaux. La copie des Actes m’a finalement été transmise le 17 août 2017, après plusieurs interventions personnelles et par courrier électronique.

Ce monsieur Curcio, sans jamais m’avoir rencontré auparavant et avec la complicité de l’ancien commandant des carabiniers de San Giovanni in Fiore, Pantano, s’est permis de poser un diagnostic de tendances paranoïaques à mon égard. Il a fait cela uniquement pour créer un prétexte permettant le classement sans suite de l’enquête sur les violations répétées de mon domicile – violations commises pendant presque toutes mes absences – ainsi que sur d’autres crimes liés à ces violations. Parmi ceux-ci, il y a les tentatives persistantes et sans merci d’intimidation exercées par des forces de police mafieuses – de surcroît, en Calabre!. Elles consistent à tacher des serviettes de bain avec de la peinture rouge, à altérer de la nourriture et des boissons pour produire ce que l’on appelle le « boiling body effect », à refuser systématiquement d’envoyer des patrouilles de carabiniers pour procéder aux enquêtes nécessaires, sur place. A ceci s’ajoutèrent des menaces proférées par le commandant Pantano contre moi si je portais de nouvelles plaintes, etc. La preuve claire des crimes de ce monsieur Curcio et de ses acolytes réside dans le fait que l’enquête a été officiellement relancée le 17 mai 2017 et qu’elle est en cours, bien qu’il semble que le pouvoir judiciaire et les carabiniers tentent toujours de dissimuler toutes mes plaintes initiales. (Voir la liste ci-dessous)

Ce grave crime diffamatoire de ce Curcio fut commis le 30 novembre 2015, lors d’une réunion que j’avais moi-même sollicitée au commandant Pantano pour comprendre la raison pur laquelle, malgré toutes mes plaintes, les violations de mon domicile continuaient en toute impunité. Au lieu de fournir les explications nécessaires, le criminel Pantano a imaginé un stratagème indigne: il me fit trouver ce Dr. Curcio dans son bureau. Après m’avoir écouté, ce Pantano a nié les violations de mon domicile et s’est tourné vers Curcio, lequel déclara: « Il est angoissé, il a besoin d’une pilule, il a besoin d’une pilule ». J’ai alors déclaré à ce Curcio que je ne savais pas qui il était, ni pourquoi il était présent à cette réunion et je lui demandai de ne pas se mêler de ce qui ne le concernait pas. Je me suis ensuite tourné vers le commandant Pantano pour lui expliquer qu’il ne pouvait en aucun cas refuser de mener les enquêtes nécessaires ni même refuser d’accepter les preuves que j’avais apportées avec moi – soit une serviette de bain tachée de peinture rouge et un échantillon de Vecchia Romagna adultéré pour produire ce que l’on appelle le « boiling body effect ». Pantano m’a alors menacé en me disant que si je portais encore plainte il demanderait l’intervention de la Commission pour me faire examiner. En tant que citoyen et en tant que Professeur, j’ai rejeté ces menaces criminelles et j’ai mis en garde le commandant sur les conséquences légales de son comportement inacceptable. La réunion s’est terminée par l’acceptation des preuves que j’avais apportées par ce Pantano, qui me dit de revenir le lendemain. Le lendemain, seul le Dr. Curcio était présent et aucune réunion n’eut lieu. J’étais convaincu que la chose s’était terminée là, que les preuves seraient examinées et que les enquêtes légalement dues seraient finalement menées à bien conformément à la loi. Au lieu de cela, je suis obligé de conclure aujourd’hui que cette réunion du 30 novembre 2015 a permis à Curcio et à Pantano d’établir illégalement un diagnostic infondé et diffamatoire contre moi, à seule fin de classer l’enquête.

Cette fabrication criminelle ne s’est pas arrêtée là. Le 14 février 2017, le criminel Crucio, accompagné de l’infirmier G. Audia, s’est présenté chez moi sans être invité et sans rendez-vous. Il l’a fait sous prétexte de venir me féliciter pour mon travail, selon lui « louable », en faveur des nombreux chômeurs de ma ville. Entrant dans ma maison, il m’a demandé « comment il pourrait m’aider ? ». À ce moment-là, l’ayant finalement reconnu, je lui ai demandé, ainsi qu’au sieur Audia, d’écrire leurs noms sur un papier que je leur tendis et de quitter immédiatement ma maison. Alors qu’il sortait, j’ai expliqué à Curcio que son comportement lors de la réunion du 30 novembre 2015 avec le commandement des carabiniers était totalement inacceptable et constituait une violation impardonnable à la déontologie médicale. Aujourd’hui, je sais qu’en réalité, son comportement était intentionnellement criminel. (Voir pièce jointe) Son diagnostic présumé du 14 février 2017, outre le mensonge, représente une vile tentative criminelle pour couvrir son crime du 30 novembre 2015. Personne n’a jamais légalement autorisé cette prétendue « visite à domicile ». La lettre de la Digos du 13 février 2017 participe à cette même tentative de dépistage, et ce de la manière la plus grotesque et post-hoc possible.

Entre-temps, il est déjà clair que Curcio n’a jamais été autorisé par une autorité compétente, à l’exception du criminel Pantano, à poser son diagnostic initial du 30 novembre 2015. Cette conduite est un élément suffisant pour le radier immédiatement en raison d’un manquement grave à la déontologie et pour sa complicité avec une tentative criminelle et infâme de dépistage, aggravée par une calomnie gratuite et inacceptable contre moi. Je souligne que je jouis jusqu’ici d’une réputation immaculée, n’ayant jamais été accusé d’aucun crime dans aucun pays et que je n’ai jamais subi d’analyse nulle part. Ma réputation doit être rétablie sans le moindre délai.

Les violations du domicile relèvent du pouvoir judiciaire et des carabiniers, elles ne relèvent pas de la médecine. Ce Curcio n’a même pas attendu la fin de l’enquête pour se prononcer. Mais il a le front de parler de « complotisme ». En l’occurrence, nous sommes également en droit de nous demander combien de familles auront été détruites par un comportement aussi incompétent que criminel.

Pour le reste, je note que, malgré le fait que ces crimes contre moi soient perpétrés depuis près de six ans en Italie, personnellement, en tant que personne respectable et en tant que professeur d’un certain niveau dans mes disciplines, j’ai toujours fait preuve de sérénité, de persévérance et d’un calme olympien. Malgré ces infamies répétées et ce  harcèlement sans merci, j’ai essayé, envers et contre tout, de mener une existence normale et paisible, en poursuivant mes lectures et mes recherches, en effectuant divers voyages d’études en Italie et en Calabre et, par exemple, en faisant des excursions en montagne depuis que je suis membre du CAI de ma ville, San Giovanni in Fiore. À ma façon, j’ai aussi humblement tenté d’être utile à ma communauté. Pendant toutes ces horribles six années, j’ai toujours adopté un comportement exemplaire en faisant confiance au pouvoir judiciaire et à la justice de ma République italienne. Je suis de ceux qui croient que la justice finit toujours par triompher.

Je voudrais souligner le fait que si une personne présente des troubles psychologiques liés à la violation de son domicile et si le pouvoir judiciaire et certains médecins, au lieu d’enquêter, classent l’affaire sans suite tout en diffamant la personne en question, alors le crime est double, monstrueusement double. Les associations de patients pourront éventuellement en témoigner.

Le magistrat Cozzolino de la Procurature générale de Cosenza devra également prouver que l’enquête est menée conformément aux règles. L’enquête devra en particulier tenir compte du fait que j’ai vu de mes yeux mon jeune voisin Pasquale Oliverio – probablement un petit informateur payé par la police – quitter mon domicile un jour où je suis sorti pendant moins de 10 minutes; elle devra procéder à la prise d’empreintes digitales et à d’autres tests similaires; elle devra examiner les enregistrements téléphoniques de mon système d’alarme qui est programmé pour m’appeler sur mon téléphone portable chaque fois que l’on insert la commande « sortie » ou « entrée » ; elle devra examiner la prise de contrôle des deux caméras qui es de manière évidente effectuée pour couvrir la violation de mon domicile sans laisser de trace, ce qui nécessite des complicités haut placées; elle devra procéder à l’analyse des serviettes de bain tachées et des aliments et boissons altérés, etc. L’enquête devra également porter sur les raisons qui ont motivé ces crimes. De plus, le magistrat Cozzolino, certainement avec l’aide de personnes plus compétentes que le criminel Curcio, devra aussi expliquer comment mes serviettes de bain sont souillées, à moins de vouloir donner à ce fait répété et documenté une explication irrationnelle avec l’aide d’un complice criminel provenant de la Digos ou/et des services de sécurité.

Je souligne, une fois encore, que si le Procureur général de Cosenza ne procèdera pas à toutes les enquêtes requises, et si elles ne sont pas suivies des peines exemplaires qui doivent être infligées aux criminels impliqués, qu’ils soient haut placé ou pas, et si elles ne sont pas suivies par l’indemnisation morale et matérielle qui m’est due, y compris le rétablissement immédiat de ma réputation, alors ceci représentera un grave déshonneur pour le Procureur général et pour la République italienne elle-même. À ce stade, je n’aurais d’autre choix que de porter toute cette affaire infâme sur la place publique. Pour ma part, dans le contexte contemporain, je suis prêt à comprendre que les services de sécurité puissent mener diverses enquêtes, mais jamais en dehors du cadre fixé par la Constitution et par la loi. Les citoyens ne peuvent être harassés par les institutions surtout pas sans aucune raison tout en étant, de surcroît, diffamées pour couvrir ces crimes. En tant que citoyen et en tant que professeur d’un certain niveau, j’insiste sur le fait que ceci est et doit rester une ligne rouge infranchissable. Les Autorités en charge de garantir les droits fondamentaux des citoyens ne devraient jamais l’oublier.

Je souligne que moi, Paolo De Marco, je suis un citoyen italien, né en Italie, titulaire d’un BA, d’un MA et d’une formation au niveau du doctorat en Relations Internationales – Economie Politique Internationale. J’ai étudié en France et au Canada. Dans le passé, j’étais un professeur exemplaire dans ma discipline dans un cégep de Montréal, au Canada. Je suis une personne à la respectabilité reconnue, d’une nature pacifique et constructive et jusqu’ici avec une réputation immaculée et qui doit le rester.

En juin 2013, je suis retourné à San Giovanni in Fiore (CS), ma ville natale où je vis depuis. Avant de décider de mon rapatriement, j’ai séjourné durant quelques mois en 2011 et 2012 à San Giovanni in Fiore (CS). À San Giovanni in Fiore, je vis dans la modeste maison de mes grands-parents  à l’adresse indiquée ci-dessus, maison que je possède et qui m’est chère parce que j’y suis né.

Je conclus en rappelant à tous que le déni de justice est le pire crime qui puisse se concevoir. C’est un crime contre la Constitution et contre la civilisation humaine.

Cordialement,

Paolo De Marco Ancien professeur de Relations Internationales – Économie Politique Internationale.

NB:

1) Pièces jointes du pseudo-diagnostic de Curcio et de la demande illégale formulée par la Digos en date du 13 février 2017. 2) Courte liste de mes principales plaintes initiales et actuelles. Voir copie ci-jointe. 2a) plainte du 7 décembre 2014 2b) plainte relative à la première plainte contre M. Mario Marra du 7 juillet 2014, 2c) plainte concernant le vol des tables de chevet de la chambre de mes défunts parents, datée du 12 août 2014, vol perpétré par Mme Vincenza Foglia-Federico.

2d) plainte adressée aux carabiniers de San Giovanni in Fiore (CS) du 4 mai 2015 pour violation continue de mon domicile avec altération de nourriture et de boissons et prise de contrôle du système d’alarme et des deux caméras de surveillance pour masquer les crimes commis et couvrir les criminels. Plusieurs suppléments ont suivi cette plainte jusqu’au 30 novembre 2015, date à laquelle j’ai été menacé par le criminel commandant Pantano, en présence de Curcio – que je n’avais jamais rencontré auparavant.

Au cours du mois d’avril 2017, j’ai pris conscience du stratagème criminel et diffamatoire imaginé par Pantano et Curcio pour classer mes plaintes sans suite de manière à se couvrir ainsi que les autres criminels et leurs complices institutionnels, à savoir l’invention d’un diagnostic de paranoïa sans le moindre prétexte et sans jamais m’avoir rencontré auparavant. La découverte de cette fabrication diabolique a donc conduit à une autre série de plaintes, notamment:

2e) l’exposé / plainte du 17 mai 2017 spécifiquement contre mon jeune voisin Oliviero Pasquale et contre d’autres inconnus, une plainte qui comprend essentiellement toutes les plaintes précédentes. 2f) le premier complément à cet exposé / plainte déposé à la caserne des carabiniers accompagné par les extrapolations des vidéos effectuées par caméras, un échantillon de la Vecchia Romagna altérée et deux serviettes de bains tachées de peinture rouge, preuves qui ont été mises sous séquestres par les carabiniers, pour examen. 2g) le deuxième supplément du 7 août 2017 à ma plainte du 05-17-2017 relative à ma demande d’accès aux lois.

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3) Pièce jointe 2: Les conséquences incalculables de la non-réponse illégale de l’Ordre des médecins de Cosenza, 10 septembre 2018

Paolo De Marco 87055-San Giovanni in Fiore (CS) Date: 10 septembre 2018   La ministre Giulia Grillo, Ministère de la santé [email protected]
Objet: Les conséquences incalculables de la non-réponse illégale de l’Ordre des Médecins de Cosenza, 10 septembre 2018.

Madame la ministre G. Grillo,

Je réitère mon appel du 27 août 2018 en sollicitant respectueusement votre urgente intervention. J’ai de nouveau demandé au ministre de la Justice, A. Bonafede, de mener une enquête indépendante sur la procédure inacceptable et incompréhensible du Procureur général de Cosenza. Pour le moment, il semble uniquement préoccupé de protéger les criminels qui ont violé mon domicile et altéré mes boissons et ma nourriture, secondant ainsi la protection des criminels par le commandant des carabiniers, Pantano, et son complice, le criminel docteur Curcio.

Voici les faits les plus récents et les plus dramatiques. Ils ne se seraient jamais produits si l’Ordre des médecins de Cosenza avait minimement respecté la déontologie médicale et si votre ministère était intervenu sans délais. Je répète que les diagnostics illégaux du Dr Curcio, qui sont sans le moindre fondement, constituent un crime perpétré avec le seul et unique objectif de couvrir les auteurs des actes criminels commis contre moi, en Italie. (Pièce jointe IV) Probablement dans le but de préempter l’intervention du ministère de la Justice, le procureur Cozzolino a finalement répondu à mes demandes le 3 septembre dernier. Mais sa réponse fait allusion au dépôt de plaintes contre des inconnus. (Pièce jointe 1) Pour éviter les répétitions inutiles, je reproduis ici ma réponse au Dr Cozzolino:

« Cette réponse ne concerne en rien ma plainte du 17/05/2017, suivie notamment de la 3ème intégration cruciale datée du 22 août 2017 et de plusieurs autres, la dernière, la 5ème intégration, ayant été formulée le 20 avril 2018. (Pièce jointe 3)

Ce ne sont pas des plaintes contre des inconnus –  contrairement à ce qu’il appert du code 44 mentionné dans votre réponse. Au contraire, il s’agit de plaintes très spécifiques contre Pasquale Oliverio, un jeune voisin, et contre le commandant Pantano et son complice, le docteur Curcio. Je note également une confusion sur le code de procédure qui, lorsqu’il est écrit de votre main, apparaît avec le numéro 3955/14, puis en haut du document avec le numéro 3955/17.

De plus, le samedi 8 septembre 2018, j’ai enfin réussi à vérifier auprès du responsable actuel des carabiniers de San Giovanni in Fiore un fait très grave: en réalité, les preuves  – clé USB, serviettes de bains maculées de peinture rouge et bouteille Vecchia Romagna – qui furent saisies par les carabiniers le 4 juillet 2017 n’ont pas été transmises ni analysées par les magistrats. De nombreuses autres preuves similaires et irréfutables sont en ma possession. Aucune autre enquête n’a jamais été menée sur place – relevés des empreintes digitales, etc. Les divers ajouts documentent également la poursuite des violations de mon domicile entre le 17 mai 2017 et le 18 novembre 2017 et même plus tard. C’est pourquoi je ne parvient pas à m’expliquer votre réponse, qui de toute façon est arrivée étrangement le 3 septembre après que de nombreuses autres demandes d’information restèrent sans réponse. (Pièce jointe 1)

Les nouvelles plaintes mentionnées ici font suite à une réunion à la préfecture de Cosenza le 7 avril 2017 au cours de laquelle la protection de l’Etat me fut accordée, en présence d’un journaliste renommé de San Giovanni in Fiore, Emiliano Morrone. Auparavant, le courageux jeune député calabrais, l’Honorable Paolo Parentela, avait également procédé à deux interpellations parlementaires. En fait, il s’est avéré que d’une manière que je considère hautement criminelle, mes premières plaintes remontant à décembre 2014 et à 2015 ont été classées sans que personne ne jugea bon de me prévenir ou même de répondre à mes requêtes d’information. La seule explication possible d’un tel comportement est celle de la mauvaise gestion ou du dépistage actif mis en place avec trop de complicités.

Je aimerais par conséquent éviter d’autres confusions possibles. Je souligne, après avoir consulté les carabiniers, que le code de transmission de ma plainte du 05-17-2018 et des diverses intégrations qui suivirent est le suivant: Prot. 45/18 – 2017. Sur cette base, il est possible de déterminer le numéro de code des poursuites pénales qui concernent spécifiquement ces plaintes et me les communiquer au plus vite. A moins que j’ai été mal renseigné ou bien que vous ne soyez pas responsable de cette nouvelle procédure pénale.

En tant que citoyen italien, j’insiste sur la nécessité de respecter scrupuleusement les procédures – due process. J’insiste une nouvelle fois sur ma demande d’intervention intempestive des magistrats pour rétablir ma réputation entachée par le criminel Dr. Curcio et son commandant Pantano. Les conséquences de cette lâcheté extrêmement criminelle sont multiples. Cela entraîne mon exclusion inévitable et permanente de tout poste professionnel et universitaire à la hauteur de ma formation et de mes contributions scientifiques. Cela provoque une exclusion sociale inévitable et infâme.

La dernière et typique conséquence remonte au 7 septembre 2018 lorsque le Dr Nicoterra de l’ASP de Cosenza m’a informé par téléphone du refus de l’autorisation de possession d’armes à feu. (Pièce jointe 2) Voici les faits : Ayant retrouvé dans les outils de mon regretté père un très vieux mousquet historique remontant au temps de Napoléon mais qui ne fonctionnait plus, je suis immédiatement allé informer les carabiniers. Afin de ne pas perdre ce précieux objet de la famille, j’ai alors entamé la procédure judiciaire pour obtenir l’autorisation de possession d’armes à feu. J’ai demandé au Dr Nicoterra une raison écrite de son refus. Étant une personne respectable avec une réputation jusqu’à présent immaculée, ayant été en outre un professeur exemplaire, je ne conçois pas comment un tel refus puisse s’expliquer en dehors du diagnostic criminel sans fondement du criminel Dr Curcio qui se trouve dans mon casier médical. (Pièce jointe 3) Je note humblement que, malgré le fait que je sois victime, depuis plus de 6 ans en Italie, d’un harcèlement hideux et vil, digne d’un Philip Zimbardo pathologiquement dévoyé, moi, Paolo De Marco, je n’ai jamais manqué de courtoisie envers quiconque et n’ai jamais menacé qui que ce soit, ayant au contraire toujours maintenu ma confiance dans la justice de mon pays.

Le bureau du procureur général de Cosenza ainsi que les instances garantes de la République doivent comprendre que la réputation d’une bonne respectable telle que moi ne peut être entachée uniquement pour couvrir les criminels nationaux et étrangers coupables des violations de mon domicile et des autres crimes par moi dénoncés. J’insiste à nouveau sur la protection de l’État qui me fut concédée par la Préfecture. »

Madame Grillo, vous aurez compris l’extrême gravité de la situation. Etant donné les conséquences dramatiques et injustes du criminel diagnostique rédigé en violation flagrante de la déontologie médicale par le vil Dr Curcio, je vous réitère mon appel en votre capacité de ministre de la Santé afin que l’Ordre des médecins de Cosenza ne soit pas autorisé à ignorer ma demande de radiation immédiate du criminel Curcio. (Pièce jointe 4).

En attendant, vous-même, ainsi que le ministre de la Justice, vous ne pouvez pas permettre que la justice soit piétinée de la sorte. Vous ne pouvez pas permettre à la réputation d’une personne telle que moi d’être irrémédiablement entachée par un diagnostic fabriqué illégalement par deux complices criminels qui m’ont menacé dans la caserne des carabiniers de ma ville natale. Rendez-vous compte, le commandant Pantano m’a menacé de faire appel à la Commission pour obtenir un avis médical si je continuais à porter plainte! Entre-temps, sans aucun mandat de la part de la Commission susmentionnée et à mon insu, ce Pantano et son complice Curcio n’ont pas hésité à fabriquer illégalement un fameux diagnostic – de paranoïa  – qui a pour seul objet de permettre que mes plaintes soient classées sans procéder à la moindre enquête. C’est un crime très grave qui ne peut rester impuni. Je ne puis croire que ma République italienne soit déjà devenue un régime totalitaire.

Je vous prie d’intervenir avec fermeté. Je vous prie, en outre, de me fournir une réponse au plus vite.

Cordialement,

Paolo De Marco, ancien professeur de Relations Internationales – Economie Politique Internationale.

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4) Pièce jointe 3: Dr. Rossana Ugenti, Ministère de la santé, 13/11/2018

Ugenti 1

Ugenti 2

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5) Pièce jointe 4: Note de l’Honorable Sapia « exposé sur la violation du domicile du professeur Paolo DE MARCO, à San Giovanni in Fiore ».

 

Député Francesco Sapia

Comité des affaires sociales [email protected] [email protected] 0039.389.549.27.39

Dott.ssa Paola GALEONE Préfet de Cosenza [email protected]

Dr. Mario SPAGNUOLO Procureur de la République de Cosenza [email protected]

Dr. Rossana UGENTI Dg Dir gen. professions de la santé et ressources humaines du SSn [email protected]

Commandement des carabiniers provinciaux à Cosenza [email protected]

Dott Raffaele MAURO Directeur général de Asp of Cosenza [email protected]

Et p. c. Député Paolo PARENTELA Société mère M5S au Comité de l’agriculture [email protected]

Paolo DE MARCO [email protected]

Objet: Exposé sur la violation du domicile du professeur Paolo DE MARCO, à San Giovanni à Fiore.  

Depuis 2013, le professeur Paolo De Marco, qui fut durant un temps professeur de relations internationale, économie politique et internationale, au Canada , est retourné à San Giovanni in Fiore (Cs), commune dont il est originaire et dans laquelle il réside aujourd’hui.

Dans l’interrogation parlementaire avec réponse ci-jointe écrite No. 4-14927 du 6 décembre 2016, signée par mon collègue le député Parentela, l’enseignant mentionné est décrit comme « particulièrement actif dans la critique du système capitaliste dominant », en particulier sur le Web ; on y résume l’histoire des violations répétées de son domicile, avec demande faite aux ministres de l’Intérieur et de la Justice de prendre toutes les initiatives relevant de leurs compétences « visant à protéger la sécurité du professeur susmentionné », également connu à San Giovanni in Fiore – et au-delà – pour sa proximité avec un groupe d’une centaine de chômeurs qui en février 2016, occupèrent pacifiquement la mairie, en demandant le droit au travail, qui est le fondement même de la République conformément à la Constitution. Il s’agit donc d’un personnage doté d’un engagement intellectuel et politique manifeste, et non d’un sujet “naïf”.

En bref, à plusieurs reprises, De Marco a signalé la violation de son domicile par un voisin, désigné nommément, lequel, selon ce que l’on peut lire dans plusieurs de ses notes, serait entré illégalement dans son logement. En outre, le même De Marco – qui, bien qu’il habite en Calabre depuis un certain temps, est issu d’une culture différente des relations avec les institutions – a officiellement informé – y compris avec fermeté et indignation – ces institutions au sujet de l’altération dans le logement où il vit, de la nourriture et des boissons contenant des substances susceptibles de provoquer une dangereuse surchauffe corporelle.

En particulier, dans une de ses notes, ci-jointe, De Marco fait référence à un évènement qui eût lieu en 2015 dans la caserne des carabiniers de San Giovanni in Fiore, où il s’était rendu pour obtenir des informations sur les conclusions des carabiniers concernant ses plaintes détaillées et sur le fait qu’il y trouva un psychiatre de garde au centre de santé mentale local, lequel parla d’un besoin d’anxiolytiques pour le plaignant mentionné. La réunion dans la caserne, a écrit De Marco, qui n’est pas de langue maternelle italienne, « s’est terminée par l’acceptation des preuves » qu’il avait amenées avec lui par le commandant de la station locale, lequel lui demanda de  «  de revenir le lendemain », mais le lendemain « rien ne fut fait ».

En résumé, dans la lettre jointe à cette lettre, le professeur De Marco se plaint que les enquêtes résultant de ses plaintes n’aboutissent à rien, même en raison d’un manquement – selon lui – des autorités à tenir compte des éléments de preuve fournis aux enquêteurs, pire, qu’elles ont été classées sans suite comme plainte contre X alors qu’il avait nommément indiqué un des sujets qu’il vit entrer dans son domicile.

De plus, dans une demande d’accès aux documents – datée du 13 juin 1017 – adressée à la direction générale de Cosenza (CS), De Marco a déclaré que le centre de santé mentale lui attribuait arbitrairement un « syndrome de paranoïa dans un état délirant aigu », bien que, tel que signalé, il n’avait jamais été soumis, à cet égard, à aucune visite collégiale spécifique. Il est évident, sur le fond, que tertium non datur: ou bien une commission l’a examiné selon les procédures établies, ou De Marco est victime d’abus.

Actuellement, la situation dans laquelle se trouve le professeur De Marco inquiète le représentant parlementaire, car elle pourrait être alimentée par une série de malentendus durant les diverses interlocutions qu’il a eu jusqu’à présent à divers niveaux; peut-être à cause de la terminologie employée, peut-être à cause de différences relatives à la procédure mise en œuvre.

Par conséquent, il serait nécessaire de vérifier – une fois pour toutes – si quelqu’un est entré dans son appartement et, en l’occurrence, qui en est responsable, étant donné que De Marco a fait des références explicites et directes à cet égard.

Il serait alors nécessaire de vérifier, pour en revenir à l’épisode du psychiatre et la pathologie qui aurait été diagnostiquée ou imputée à De Marco – lequel a, conformément aux pièce jointes, demandé que le psychiatre en question soit radié de l’Ordre des médecins – comment se sont déroulés les faits et quelles initiatives relevant de sa compétence l’Asp de Cosenza a mises en place. À la lumière de ce qui précède, je vous demande d’agir, chacun en fonction de vos compétences, afin que le professeur Paolo De Marco, citoyen italien, soit protégé.

Dans l’attente de votre réponse, je vous adresse mes salutations distinguées.

Rome, le 23 octobre 2018 Francesco Sapia Membre de M5s
XXX
6) Pièce jointe 5: La réponse de la préfecture et ma lettre à l’honorable Sapia du 28 mars 2019

Transcription de la réponse en format PDF de la préfecture de Cosenza à l’Honorable Sapia.
Objet: Prof. Paolo De Marco de San Giovanni in Fiore
En référence aux demandes formulées dans la note datée du 23 octobre 2018 concernant la personne en question, il est fait référence aux informations fournies par la direction provinciale locale des Carabiniers.

Paolo De Marco, ancien professeur d’économie politique internationale, a présenté à partir de 2013 plusieurs exposés et plaintes à la caserne des carabiniers de San Giovanni in Fiore pour des violations présumées de son domicile mises en œuvre, tel que rapporté par l’intéressé, par des « services secrets » italiens et étrangers.
Les actes constatés par M. De Marco ont été transmis au parquet près le tribunal de Cosenza et fusionnés dans la procédure 1154/2016, les faits ne constituant pas un crime.

Pour compléter les informations, il est rapporté que le commandement provincial des carabiniers de Cosenza a indiqué que, d’après les faits à ce jour, il ne semble pas que M. De Marco soit exposé à des risques particuliers.

Le préfet,

Galeone.
xxx

Paolo De Marco 87055 – San Giovanni in Fiore (CS) Italie
Date: 28 mars 2019
À l’honorable Sapia Député de la République italienne,   Cher Monsieur Sapia,

Hormis la réponse inacceptable et complice de la préfecture – ci-jointe – je n’ai reçu aucune autre réponse. La procurature générale de Cosenza, également complice active, ne me répond pas comme le prouve ma énième demande adressée au Procureur général M. Spagnuolo, reproduite ci-dessous.

J’ai déjà eu l’opportunité de vous faire par de mes conclusions selon lesquelles nous sommes de toute évidence en présence ici d’une manipulation malhonnête des services de sécurité italiens, initialement sous l’influence de services de sécurité étrangers. Aujourd’hui, face au pur crétinisme dont témoignent ces manipulations criminelles à la Zimbardo, ils tentent de se protéger, notamment avec le dépistage criminel effectué par le commandant Pantano et son acolyte, le criminel et incompétent Curcio.

A ce stade, vous aurez compris que la Procurature de Cosenza étant criminellement complice, l’intervention directe du Président du Conseil et des ministres compétents s’impose, en particulier celle des ministres de la Justice, de la Défense, de l’Intérieur et de la Santé. Comme vous le savez déjà d’après les documents que je vous ai transmis, tous sont déjà au courant de l’affaire.

Certes, une telle injustice doit être corrigée au plus vite. Hormis tous les autres dommages causés, il est inconcevable que mon nom de famille soit souillé par des voyous policiers et mafieux de cette espèce. Lesquels, de surcroît, font fi des questions posées par un représentant parlementaire du peuple italien. Moi, Paolo De Marco, je suis un citoyen italien, né en Italie et un professeur dont la réputation est jusqu’ici immaculée.

Je vous prie de me tenir au courant.

Avec  mes chaleureuses et respectueuses salutations,

Prof. Paolo De Marco
xxx
Paolo De Marco 87055 – San Giovanni in Fiore (CS) Italie

Date: 18 mars 2019
Objet: Plainte contre le service de déontologie de l’ordre des médecins de Cosenza et contre le président de l’ordre, le Dr Corcioni.
Au Procureur Dr. Spagnuolo, Procureur général de Cosenza, République italienne

 

Cher Dr. Spagnuolo,

En ce qui concerne mon courriel certifié 6 mars 2019, je vous écris à nouveau en qualité de représentant légal de moi-même pour solliciter une réponse rapide. Le 14 novembre 2018, j’ai déposé auprès du Carabinieri Commando une plainte intitulée « Plainte contre le service de déontologie de l’ordre des médecins de Cosenza et contre le président de l’Ordre, le Dr Corcioni. ». (Voir pièce jointe)

En tant que citoyen italien, mes droits fondamentaux étant reconnus par la Constitution et par la loi, je demande à la Procurature de la République à Cosenza et vous-même, de m’informer personnellement de l’état actuel de ma plainte.

Cordialement,

Prof. Paolo De Marco

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