Commenti disabilitati su Émission des zones humides, croissance du méthane, OH et quelques questions personnelles, 19 décembre 2022.

Nous savons tous désormais que tous les modèles du GIEC – à l’exception du modèle russe – sur le réchauffement climatique sont erronés et très éloignés des données « d’observation ». Il y a des années, j’ai souligné, entre autres choses, que le pergélisol n’était pas inclus dans les modèles et que les 410-420 PPM de CO2 dans l’atmosphère ont été mesurés sur le Mauna Loa, l’un des volcans les plus grands et les plus actifs de la Planète.

L’article cité ci-dessous fait le point sur la relation entre les zones humides et la croissance du méthane. Les activités industrielles ont diminué avec les fermetures – lockdowns –  en 2020. Pourtant, le méthane a augmenté et la majeure partie de cette augmentation était due aux émissions des zones humides. L’article fait le lien entre les émissions de NOx – combustion d’hydrocarbures sous une forme ou une autre, dans les voitures et dans la combustion de combustibles fossiles – et OH – radical hydroxyle (OH). La chimie atmosphérique peut induire la formation d’OH à partir de NOx. Étant donné que l’OH agit comme un puits de méthane, moins d’activités industrielles conduisent finalement à moins d’OH, donc à plus de méthane dans l’atmosphère.

À mes yeux de néophyte, cela ressemble à une étude révolutionnaire. D’abord, puisque l’on sait déjà que le pergélisol, la tourbe, la végétation et le phytoplancton ne sont pas ou très mal intégrés dans les modèles actuels du GIEC, ce constat prouve largement, une fois de plus, que les variations naturelles non anthropiques des gaz à effet de serre sont tellement colossales que les émissions humaines en deviennent marginales. Soit dit en passant, il a été démontré depuis longtemps que la concentration de CO2 dans l’atmosphère suit et ne précède pas le changement climatique. Nous avons maintenant une raison de croire que c’est également vrai pour le méthane – sans parler des nuages, de loin le plus grand gaz à effet de serre. Nous verrons plus tard que cela peut aller plus loin, en particulier lorsque nous examinons le rôle de OH. Pour en revenir à l’article, la tentative de clarification de la relation entre NOx et OH est éclairante. Bien sûr, ceci est au cœur de l’argument principal de l’article, mais il souligne également la complexité même et l’importance d’affiner les connaissances disponibles sur la très complexe chimie atmosphérique. Les météorologues seront sans doute intéressés par la relation globale corrélant l’accumulation de méthane et le réchauffement dans l’hémisphère nord et l’augmentation des précipitations dans l’hémisphère sud.

Voici le lien vers cet article : « Wetland emission and atmospheric sink changes explain methane growth in 2020 », Shushi Peng, Xin Lin, Rona L. Thompson, Yi Xi, Gang Liu, Didier Hauglustaine, Xin Lan, Benjamin Poulter, Michel Ramonet, Marielle Saunois, Yi Yin, Zhen Zhang, Bo Zheng & Philippe Ciais , Nature volume 612, pages 477–482 (2022), https://www.nature.com/articles/s41586-022-05447-w

Cité dans  : https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/12/14/les-scientifiques-ont-decouvert-pourquoi-le-methane-a-connu-une-hausse-spectaculaire-dans-l-atmosphere-en-2020_6154426_3244.html

Quelques questions et arguments personnels:

La nullité fabriquée de la plupart des modèles du GIEC est exposée ici: « Le-GIEC cuisine-t-il ses-données ?» 12 décembre 2022 in http://rivincitasociale.altervista.org/le-giec-cuisine-t-il-ses-donnees-12-decembre-2022/ 

J’ai personnellement quelques doutes sur les échelles utilisées : si le CO2 est bénéfique pour la végétation, le phytoplancton etc., alors dire que le méthane est 28 fois ou 82 fois plus « nocif » sur respectivement 100 ou 20 ans, n’a pas de sens. Ces échelles doivent être reformulées de manière véritablement scientifique. De plus, le transport de méthane d’un endroit à un autre – méthaniers, etc. – provoque une grande dispersion dans l’air ; la dispersion semble plus importante lorsqu’on utilise des modes de transport autres que les gazoducs, car elle se produira alors à chaque manutention. Ainsi, le rôle de ces zones humides, couches de pergélisol, etc. est probablement encore plus important qu’on ne le dit : et c’est une bonne nouvelle car ce sont des causes non anthropogène. Par conséquent, le GIEC devrait être démantelé et la communauté des Nations Unies ainsi que les Agences spécialisées devraient se concentrer sur la protection de la santé et de l’environnement sans prêchi-prêcha régressif, surtout lorsque cela se produit en partenariat avec des entreprises privées et des fondations.

De tels partenariats débilitants et dangereux ont été développés après que Reagan et ses équipes de néoconservateurs aient lancé leur attaque contre l’UNESCO qui négociait alors un Nouvel Ordre Mondial de l’Information et de la Communication plus démocratique et pluraliste. Cela ne correspondait pas à leur agenda qui visait le contrôle américano-occidental de tous les moyens de communication. En effet, les États-Unis étaient alors sur le point de mondialiser la technologie intra-net avec Internet et le World Wide Web. L’intention était d’imposer un contrôle strict des « flux d’information autorisés » de l’Empire putatif exclusiviste, susceptible d’instiller une nouvelle « déférence envers l’autorité (auto-conférée) », qui serait encore renforcée par le « retour » au Marteau philosémite nietzschéen dans les formes de la censure – politiquement correct, accusations gratuites de complotisme, etc. – ainsi que dans les formes de l’ostracisme et de l’exclusion, le tout étant soutenu par le Patriot Act-Homeland Security et ses séquelles, y compris sous leurs oripeaux européens.

Les agences onusiennes doivent revenir à un strict mode intergouvernemental et public. Avant tout, lorsqu’il s’agit d’enjeux mondiaux, il est nécessaire de mobiliser une planification intergouvernementale adossée à des fonds et des crédits publics. Ce n’est qu’ainsi que seront menées à bon terme les recherches et les infrastructures publiques nécessaires en lieu et place du prêche usuel qui est destiné à culpabiliser et qui est bien en phase avec la recherche du profit des firmes transnationales, de Big Pharma, de Monsanto et consorts…

J’ai ressenti le besoin de vérifier •OH et j’en suis venu à regretter de ne pas être plus jeune à cause des fenêtres qu’il ouvre sur la chimie atmosphérique et peut-être sur la couche d’ozone… Je ne fournirai donc que quelques citations – traduites ici – recueillies sur Wikipedia sur le radical hydroxyle et j’ajouterai quelques commentaires personnels:

« Comprendre le rôle de •OH dans le processus d’oxydation du méthane (CH4) présent dans l’atmosphère en monoxyde de carbone (CO) puis en dioxyde de carbone (CO2) est important pour évaluer le temps de séjour de ce gaz à effet de serre, le bilan carbone global de la troposphère, et son influence sur le processus de réchauffement climatique » (…)

« Les radicaux hydroxyles sont créés dans l’atmosphère par deux réactions chimiques principales :

• Pendant la journée, une réaction photochimique se produit dans l’atmosphère où différentes longueurs d’onde de lumière interagissent avec l’eau et les terpènes (sécrétés par les plantes) dans l’air pour produire des sous-produits plus simples connus sous le nom d’espèces réactives de l’oxygène (ROS). L’un des principaux types de ROS est le radical hydroxyle.

• De plus, pendant tout le cycle de 24 heures, OH se forme par la réaction entre les terpènes et l’ozone. » dans https://en.wikipedia.org/wiki/Hydroxyl_radical  )

Concernant la couche d’ozone : Il se pourrait bien que l’air plus chaud, par exemple de la zone chaude de l’océan Pacifique, atteigne des altitudes plus élevées et que l’OH appauvrisse alors davantage la couche d’ozone. La configuration des vents et la force de Coriolis provoqueront alors la formation du « trou » d’ozone à son emplacement principal actuel – à l’instar des courants océaniques qui provoquent la terrible accumulation connue sous le nom d’« océan de plastiques ».

Voici les masses moléculaires de quelques acteurs importants de la chimie atmosphérique :

Méthane = 16,043 grammes/mol

Radical hydroxyle (OH) = 17,0073

Oxygène = 15,9994 u

Monoxyde de carbone = 28,010 g/mol

Dioxyde de carbone = 44,01 g/mol

Une chaîne possible ressemblerait à ceci : OH est libéré par la végétation – les terpènes – dans l’atmosphère ; en remontant, il transforme le méthane en monoxyde de carbone puis en dioxyde de carbone ; plus haut, il appauvrit la couche d’ozone. Une grande partie du CO2 issu de cette transformation du méthane finit par retomber sur Terre pour nourrir la végétation, et le cycle continue avec toutes les variations que l’on peut imaginer ne serait-ce que si l’on se contente de jeter un coup d’œil sur l’histoire du changement climatique et si l’on garde à l’esprit l’extraordinaire complexité des processus chimiques encore mal connus qui se déroulent à tous les niveaux.

Concernant les virus également – rappelant que l’article souligne que le corps humain a développé des moyens pour se protéger, afin que l’OH ne passe pas dans la circulation sanguine… :

« Effets sur les pathogènes

Les radicaux hydroxyles sont connus pour jouer un rôle important dans l’activité de certains désinfectants, car ils attaquent les composants cellulaires essentiels des bactéries (à la fois gram -ve et +ve) et oxydent les structures de surface des virus. Les radicaux hydroxyles perturbent l’enveloppe lipidique et/ou la capside autour du virus, provoquant une lyse. Ils pénètrent également à l’intérieur du virus et perturbent le génome. Ces actions inactivent le virus. Les propriétés désinfectantes du peroxyde d’hydrogène découlent de ces mécanismes.[9] »

Conclusion. Nous devons en savoir plus sur la chimie de l’atmosphère à toutes les altitudes. Cependant, les variations naturelles non anthropogènes du CO2 et du méthane sont si importantes que l’impact humain a été et continue d’être négligeable sur le changement climatique. La priorité doit donc être donnée à la protection de la santé humaine et de l’environnement lui-même – santé de la végétation, des cultures et des sols et des espèces animales… C’est finalement ce qui assurera la meilleure protection pour nous tous sur l’ensemble de la Planète. Pour le reste, nous savons que seules les infrastructures publiques construites avec une planification gouvernementale soutenue par des financements publics permettront à l’Humanité de faire face aux changements inéluctables, quels qu’ils soient.

Après avoir bénéficié de milliers de milliards de QE et d’autres liquidités, les capitaux à court terme et spéculatifs veulent maintenant des milliers de milliards de plus sous forme d’obligations vertes ; celles-ci seront imprimées au prix de dettes publiques croissantes qui seront finalement remboursées par les contribuables. Néanmoins, le capital spéculatif à court terme est incapable de procéder à la construction des infrastructures nécessaires à l’intérêt général et au renforcement de la compétitivité macro-économique qui constitue la base même sur laquelle repose toute productivité micro-économique. La logique des rapports trimestriels et des versements de dividendes ne laisse aucune place à l’immobilisation à long terme d’énormes quantités de capital. Pire encore, cette forme de capital vit comme un parasite en privatisant les infrastructures existantes. Le fiasco d’Enron n’était qu’un exemple. On est ici renvoyé au chapitre « Biens publics : sauvons ce qui peut encore être sauvé » dans mon Tous ensemble librement accessible dans la section Livres-Books de www.la-commune-paraclet.com .

Je crois personnellement que les mots comptent, mais surtout pour leur contenu. (« Pour le Grand Manitou/Le mot n’est rien du tout » Georges Brassens). Les biens publics offerts par les entreprises publiques sont à l’opposé des biens privés offerts par les entreprises privées. Dans nos Constitutions, les deux sont légitimes. La constitution italienne, qui brille par le mépris qu’en ont les classes dirigeantes péninsulaires, reconnaît une économie mixte publique-privée mais oblige l’État à intervenir chaque fois que le secteur privé s’avère incapable de fournir des biens sociaux et publics essentiels. « Commons » est une notion qui a été idéologiquement réintroduite après la défaite retentissante de l’esprit public aux mains de Reagan et de ses néocons, plus particulièrement avec leur attaque contre l’UNESCO et la Conférence sur le droit de la mer. Reagan a suspendu le financement américain de l’Unesco et a exigé des réformes. La part américaine était alors la principale source de financement de l’Unesco, qui chercha rapidement un compromis.

Les communs sont un piètre compromis dans la mesure où ils contribuent à enterrer le secteur public, noyau de l’État social et de ses circuits vertueux du capital, au profit d’un partenariat avec le secteur privé : on se retrouva ainsi rapidement avec les services sociaux et publics essentiels payés par l’État, sur deniers publics, mais administrée à profit par le secteur privé, choix ruineux s’il en est. Pourtant, on connaît la force des effets de mode : la gauche et tous les citoyens de bonne volonté seraient donc bien inspirés de parler clairement de biens publics offerts par les entreprises publiques à but non lucratif et, ce faisant, ils devraient s’assurer que tout le monde comprend le concept de cette façon même lorsqu’ils choisissent d’utiliser le terme « communs » comme synonyme.

A noter que la plupart des pathétiques stars médiatiques du climat adoptent une logique yo-yo accumulative pour le CO2, ainsi que pour les autres gaz à effet de serre… Comme les stars médicales Covid médiatiques, elles évoquent rarement leurs conflits d’intérêts. Dans leurs présentations, les polluants rebondissent du sol vers l’air et ne font que s’accumuler, d’où l’inévitable réchauffement climatique. C’est au mieux puéril. Ni la végétation – sur terre et sur l’océan – ni la chimie atmosphérique ne sont vraiment prises en compte, d’où les rapports effrayants et culpabilisants dans lesquels ils se spécialisent, afin d’imposer aisément leur programme régressif à des masses trop confiantes et crédules. Pendant ce temps, un simple regard de néophyte sur l’OH raconte une autre histoire scientifique beaucoup plus intéressante, mais qui en est encore à ses balbutiements.

Quelques réflexions sur les mesures de température. Nous avons indiqué plus haut que les modèles du GIEC sont tous grotesquement faux par rapport aux données d’observation, à l’exception du modèle russe. Nous voulons maintenant nous intéresser aux « mesures » elles-mêmes. Comme on le sait, les stations au sol ont toujours été mal réparties sur la Planète, peu étaient situées dans l’Hémisphère Sud. Aujourd’hui, sous prétexte de mesures satellitaires, de plus en plus de stations au sol sont fermées. À mon avis, cela s’avère être une « erreur » fatale, peut-être voulue pour obtenir les données souhaitées. D’une part, les températures satellitaires de surface des terres et des océans ne peuvent être relevées que lorsqu’il n’y a pas de nuages ! Et pourtant, pour les évènements climatiques – extension des calottes glaciaires, pluies, sècheresses etc. – réels – donc non inférés – les températures de surface relevées par des stations au sol me semblent primordiales ; des mesures en basse, moyenne et haute altitudes sont nécessaires pour juger de la dynamique des variations et des changements climatiques : les premières recueillent des témoignages statiques au sol, les secondes tentent de comprendre la dynamique de leur genèse. Sans données fiables sur les premières, vous ne pouvez pas comprendre les secondes. Les deux sont liées mais distinctes.

Si ceci ne suffisait pas, voici qu’un des meilleurs scientifiques dans le domaine note que les modèles du GIEC réchauffent deux fois plus rapidement qu’ils ne devraient. Voir :

«« Data shows there’s no climate catastrophe looming – climatologist Dr J Christy debunks the narrative »,  ,BizNewsTv , https://www.youtube.com/watch?v=qJv1IPNZQao, 12 dic 2022

(Traduction) Le Dr John Christy, éminent professeur de sciences atmosphériques et directeur du Earth System Science Center de l’Université de l’Alabama à Huntsville, est une voix convaincante de l’autre côté du débat sur le changement climatique depuis des décennies. Christy, un “nerd du climat” autoproclamé, a développé un désir inébranlable de comprendre le temps et le climat dès l’âge de 10 ans, et reste toujours aussi dévoué à la compréhension du système climatique à ce jour. En utilisant des ensembles de données construits à partir de zéro, Christy, avec d’autres scientifiques, dont le scientifique de la NASA Roy Spencer, a testé les théories générées par les modèles climatiques pour voir dans quelle mesure elles résistent à la réalité. Leurs trouvailles ? En moyenne, les derniers modèles de la couche profonde de l’atmosphère se réchauffent environ deux fois trop vite, présentant une représentation profondément erronée et irréaliste du climat réel. Dans cette longue interview, Christy – qui ne reçoit aucun financement de l’industrie des combustibles fossiles – fournit une clarté étayée par des données sur une foule de questions, réfutant davantage le récit de la crise climatique.»

On pourrait vouloir regarder cette entrée : « Satellite temperature measurements », https://en.wikipedia.org/wiki/Satellite_temperature_measurements

On y apprend que les mesures de surface doivent être effectuées lorsque le ciel est « sans nuage » !!! Et quel est le plus grand gaz à effet de serre ? La vapeur d’eau, bien sûr, c’est-à-dire des nuages… Pour la troposphère on utilise de l’oxygène – et, bien entendu, il y en a moins au fur et à mesure que l’on monte en altitude où il a tendance à se refroidir… Ensuite, dans la stratosphère, ils utilisent du dioxyde de carbone. Et cela devient potentiellement intéressant puisqu’on a appris qu’à cette altitude, la plus grande partie provient probablement – voir les masses moléculaires respectives – du méthane décomposé par l’OH en monoxyde de carbone puis en dioxyde de carbone ; une grande partie de cette dernière, du fait de sa masse moléculaire, va probablement descendre pour être absorbée par la végétation, le phytoplancton, le pergélisol, la tourbe…

Voici quelques citations sur les mesures de surface. Voir aussi: : Sea surface temperature § Weather satellites

(Traduction) « Anomalies de température de surface terrestre pour un mois donné par rapport à la température moyenne à long terme de ce mois entre 2000-2008.[7] Anomalies de la température de surface de la mer pour un mois donné par rapport à la température moyenne à long terme de ce mois de 1985 à 1997.[8] Le rayonnement infrarouge peut être utilisé pour mesurer à la fois la température de la surface (en utilisant des longueurs d’onde “fenêtres” auxquelles l’atmosphère est transparente) et la température de l’atmosphère (en utilisant des longueurs d’onde pour lesquelles l’atmosphère n’est pas transparente, ou en mesurant les températures au sommet des nuages dans fenêtres infrarouges). Les satellites utilisés pour récupérer les températures de surface via la mesure de l’infrarouge thermique nécessitent en général des conditions sans nuages. Certains des instruments comprennent le radiomètre avancé à très haute résolution (AVHRR), les radiomètres à balayage longitudinal (AASTR), la suite de radiomètres d’imagerie infrarouge visible (VIIRS), le sondeur infrarouge atmosphérique (AIRS) et le spectromètre à transformée de Fourier ACE (ACE‐FTS ) sur le satellite canadien SCISAT-1.[9] (…)

Mesures de la stratosphère Les mesures de la température stratosphérique sont effectuées à partir des instruments de l’unité de sondage stratosphérique (SSU), qui sont des radiomètres infrarouges (IR) à trois canaux.[20] Puisque cela mesure l’émission infrarouge du dioxyde de carbone, l’opacité atmosphérique est plus élevée et donc la température est mesurée à une altitude plus élevée (stratosphère) que les mesures par micro-ondes.»

CONCLUSION:

Quoi qu’il en soit, les modèles du GIEC sont faux et il est exclu qu’ils soient tous légitimement faux. Le GIEC doit donc être démantelé en tant qu’agence onusienne régressive et indigne de l’ONU car il mène une véritable guerre contre les États membres et contre la population mondiale. Quant aux autres agences intergouvernementales de l’ONU, aujourd’hui pour la plupart vendues à leurs partenaires privés illégitimes, comme l’OMS l’est à B. Gates et Big Pharma, elles devraient rompre leurs liens avec le secteur privé afin de rétablir leur respect absolu de la déontologie et de la méthodologie scientifiques. A défaut de quoi, les BRICS+ devraient envisager la création rapide d’agences mondiales alternatives strictement intergouvernementales dans les différents domaines.

Paul De Marco

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