Commenti disabilitati su La banalisation du mal par le démantèlement de la démocratie industrielle et économique : la mise à mort des travailleurs défendant leurs conditions de travail et leur dignité comme en témoigne le cas du camarade Mathieu Poli, 24 octobre 2022.

Plan :

Vidéo : « Ils ont tué l’un des nôtres : le suicide de Mathieu, ex-gréviste de RTE, révolte des collègues ». Verbatim partiel .

Extraits portant sur le Code du travail et sur la Loi de modernisation sociale de janvier 2002 concernant le harcèlement moral.

Commentaire : Urgence de consolider ces lois dans les négociations à venir et au Parlement.

Renvoi à mon texte : « Réquisition des personnels et démocratie industrielle et sociale, le droit de grève et les négociations syndicales sont pourtant le meilleur remède contre les inflations » 12 – 13 octobre 2022

http://rivincitasociale.altervista.org/requisition-des-personnels-et-democratie-industrielle-et-sociale-le-droit-de-greve-et-les-negociations-syndicales-sont-pourtant-le-meilleur-remede-contre-les-inflations-12-13-octobre-2022/ 

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Vidéo : « Ils ont tué l’un des nôtres : le suicide de Mathieu, ex-gréviste de RTE, révolte des collègues ». Verbatim partiel.

Avec mon admiration pour les camarades de Mathieu, leur indignation et leur juste révolte.

 “ILS ONT TUÉ L’UN DES NÔTRES” : LE SUICIDE DE MATHIEU, EX-GRÉVISTE DE RTE, RÉVOLTE SES COLLÈGUES

Le Média , 19 octobre 2022, https://www.youtube.com/watch?v=pYIA-UNsUyE

C’est une nouvelle triste qui a glacé une partie de l’opinion publique, celle qui en a déjà été informée. Avant-hier, on apprenait en effet le décès par suicide de Mathieu Poli, agent de RTE, filiale d’EDF qui gère le transport d’électricité en France. Un décès survenu dans une atmosphère particulière de répression syndicale. En effet, Mathieu Poli avait participé à Saumur, dans la région d’Angers, à une grève de trois mois pour gagner une revalorisation de 5% des salaires et une révision des reconnaissances de qualification. Par la suite, il avait dû subir un entretien préalable à sanction, et avait été le premier parmi ses camarades à être convoqué au commissariat d’Angers. Hier, il y a eu un peu de confusion autour de cet épisode tragique. Et nous avons voulu aujourd’hui donner la parole à Cédric Liechti de la CGT Energie Paris, pour qu’il clarifie certaines choses, et surtout pour rendre ensemble hommage à ce jeune travailleur qui avait son avenir devant lui. Un jeune travailleur dont il est écrit, dans un communiqué de la CGT Énergie 49, qu’il avait “très mal vécu” la “période de mépris, d’humiliation puis de répression en tout genre” consécutive à des faits de grève qui datent de juin dernier. »

Verbatim partiel : Le contexte est celui de la revendication pour la hausse des salaires initiée dès début de l’année 2022 – selon moi comme conséquence inévitable des inepties de l’Accord de Paris (1). Mathieu Poli fut convoqué au commissariat d’Anger en septembre dernier. Convocation mal vécue par Mathieu qui s’était alors mis en congé maladie ; il venait de reprendre le travail la semaine dernière, donc une semaine avant de mettre fin à ses jours.  Il ne supportait plus la répression ni le mépris de la direction.

Dans sa région une grève au début de l’année avait duré près de 3 mois. Les grévistes firent l’objet de plaintes, de pressions, du déferlement de la police – CRS et gendarmes mobiles – sur les piquets de grève et de convocations dans les différents commissariats.  La RTE occupe une position stratégique au niveau national ; leurs grévistes firent donc l’objet de très fortes pressions pour empêcher que leur action ne fasse tache d’huile. A l’issue du mouvement, les grévistes refusèrent de signer le protocole proposé, ce qui déclencha un mouvement de répression partout en France. Le responsable de la RTE est un ancien gendarme, celui-là même qui enquêta sur l’assassinat de Rémi Fraisse (2) et classa l’enquête sans suite. Question : qui met-on dans les entreprises publiques et quels profiles ont-ils, leur rôle étant de gérer le personnel. Des enquêtes sont en cours pour Mathieu.  

Un autre camarade gazier, Moussa, qui était également intervenu dans le cadre du mouvement pour les salaires au printemps-été 2022, suite à une action sur le réseau gaz, a été perquisitionné chez lui cet été devant sa femme et ses enfants, menotté devant ses gamins, emmené au commissariat du quartier en garde à vu, passé devant la justice et condamné à 90 heures de travaux d’intérêt général. Ceux qui œuvrent pour l’intérêt général au quotidien dans le cadre de leur mission de service, ou dans le cadre d’un combat pour redonner de l’électricité aux usagers et augmenter le salaire des agents qui font le service public 24h-24h, 7 jours sur 7, 365 jours sur 365, qui se trouvent traités comme de vulgaires bandits et qui sont y compris (brimés ) parce qu’il y a une volonté de les cramer socialement dans leur intimité, c’est-à-dire au sein même de leur foyer ; parce que voir débarquer des policiers qui fracassent tout dans l’appartement, qui saisissent, comme pour les copains du RTE Nord, les tablettes des enfants, toutes les installations numériques, qui vous crament socialement dans un quartier, parce que vous imaginez la réaction du voisinage quand vous voyez votre voisin se faire lever vers 6 heures du matin comme un grand bandit par les policiers, les conséquences pour les gamins au niveau scolaire, par rapport à leurs copains etc., etc., il y a une vraie volonté de briser : 1) le mouvement social mais aussi 2 ) de briser des individus pour en faire des exemples pour que le reste des collègues se taisent et marchent la tête baissée.  

Peut-on dire que la répression syndicale peut tuer dans la France de 2022 ? Moi je le dis répond Cédric Liechti, CGT. En tout cas, elle peut contribuer à des choses extrêmement graves. En tout cas, il y a une constante, c’est que tous les collègues  qui passent par là ou qui subissent des actes complètement hallucinants, vous les retrouvez touchés à plus ou moins de degrés selon la personnalité, l’environnement familial ou autre, et de toute façon, il faut bien comprendre que quand vous faites un mouvement social de grève, et on l’a vu récemment avec les raffineurs, il y a quand même un des raffineurs dont la gendarmerie a débarqué chez lui pour l’amener au travail devant femme et enfants. Donc ce sont des choses qui sont incroyables ; on décrirait ça en Russie ou autre, on aurait tout le monde qui hurlerait ; en France, aujourd’hui, pour le Pouvoir et les tenants du capital, c’est normal, c’est-à-dire qu’aller chez des grévistes, des syndicalistes, ou des agents qui font valoir un droit constitutionnel et qui se battent pour l’intérêt collectif, c’est normal d’utiliser les moyens répressifs de l’Etat pour les traumatiser, donc  effectivement toutes les copines et les copains qui subissent et qui passent par ces moments là de répression, effectivement ça touche à l’intime, à la famille, au mental, au moral, et que cela provoque des dégâts considérables et qui peuvent amener à des gestes ultimes malheureusement comme pour notre camarade Mathieu.

Les camarades furent d’abord sidérés mais maintenant prédomine la rage sociale, le sentiment est de dire « ils ont tué un des nôtre (..) les directions ont leur responsabilité et il y aura des répercussions au niveau national. »

En ce qui concerne les contacts syndicaux avec les directions et le gouvernement  : les directions menacent tout le personnel du même traitement que pour Mathieu et les autres en cas de reprise en main de l’outil de travail par les grévistes.

Qu’est-ce que « la reprise en main de l’outil de travail » ? Il existe plusieurs formes, par exemple, remise du courant chez des usagers coupés ; basculement en heures creuses de quartiers entiers – pour qu’ils payent moins cher – ou coupures ou prises de contrôle passive d’un poste, donc sans agir sur le réseau.

Or, dans la période actuelle « ils » ont besoin de tout leur réseau. Ceux qui privent les citoyens et réduisent à la précarité énergétique 13 millions de citoyens traitent les travailleurs du service public de « terroristes ».

Lorsque le système était public, on exportait aux pays étrangers, aujourd’hui la France importe de l’électricité et ferme ses centrales, dont Fessenheim etc.

Extraits portant sur le Code du travail et sur la Loi de modernisation sociale de janvier 2002 concernant le harcèlement moral.

CODE DU TRAVAIL : Le harcèlement moral , https://travail-emploi.gouv.fr/droit-du-travail/egalite-professionnelle-discrimination-et-harcelement/article/le-harcelement-moral#:~:text=D%C3%A9fini%20par%20le%20Code%20du%20travail%2C%20le%20harc%C3%A8lement,ou%20mentale%20ou%20de%20compromettre%20son%20avenir%20professionnel 

(Voir aussi «Harcèlement moral au travail » , https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2354 )

Extraits « Défini par le Code du travail, le harcèlement moral se manifeste par des agissements répétés qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte aux droits de la personne du salarié au travail et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel. Son auteur : un employeur, un collègue de la victime, quelle que soit sa position hiérarchique,… (…)

«Qui organise la prévention en matière de harcèlement moral ?

L’employeur est tenu envers ses salariés d’une obligation de sécurité de résultat en matière de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs dans l’entreprise, notamment en matière de harcèlement moral. Il doit prendre toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les agissements de harcèlement moral. Il a, pour cela, une totale liberté dans le choix des moyens à mettre en œuvre. Dans les entreprises et les établissements employant habituellement au moins 50 salariés, les dispositions relatives à l’interdiction de toute pratique de harcèlement moral doivent figurer dans le règlement intérieur.

Les membres de la délégation du personnel au CSE disposent d’un droit d’alerte en cas d’agissements constitutifs de harcèlement moral. Ils peuvent saisir l’employeur qui doit procéder sans délai à une enquête et mettre fin à cette situation. À défaut, le salarié ou le membre de la délégation du personnel au CSE, si le salarié intéressé averti par écrit ne s’y oppose pas, peut saisir le bureau de jugement du conseil de prud’hommes qui statue selon la procédure accélérée au fond.

Par ailleurs, dans les entreprises d’au moins 50 salariés, le CSE peut susciter toute initiative qu’il estime utile et proposer notamment des actions de prévention du harcèlement moral, du harcèlement sexuel et des agissements sexistes ; le refus de l’employeur doit être motivé.

(…)

L’employeur doit également répondre des agissements des personnes qui exercent, de fait ou de droit, une autorité sur les salariés ; pour une illustration, voir l’arrêt de la Cour de cassation du 1er mars 2011 »

Recours Médiation, prud’hommes, justice

LOI DE MODERNISATION SOCIALE DU 17 Janvier 2002, https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_modernisation_sociale

Spécifiquement sur le « Harcèlement psychologique ou moral » :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Harc%C3%A8lement_psychologique

« On distingue deux types de violence au travail :

  • Une violence externe : le préjudice est causé par une personne extérieure à l’entreprise. Cette violence peut concerner tous les individus qui occupent des métiers dans les entreprises de services, qui ont un rôle social : banques, commerces, transports de fond, poste, police, sécurité sociale, transports urbains… Les agressions engendrent des traumatismes psychiques et/ou physiques.
  • Une violence interne : exercée par une personne ou un groupe de personnes de l’entreprise. Sous le terme de violence interne, on rassemblera aussi bien le mobbing que le harcèlement moral et sexuel. Le harcèlement peut par exemple être utilisé pour pousser des salariés à la démission (une méthode a été décrite en détail par Gernot Schieszler, directeur du personnel de Telekom Austria3).
    On n’est plus ici dans un traumatisme violent et unique, survenant brutalement, mais face à des agressions répétées et durables, qui ont une finalité.
    On[Qui ?] distingue[réf. souhaitée] :
    • le « harcèlement institutionnel » qui participe d’une stratégie de gestion de l’ensemble du personnel : la violence ne relève pas d’un problème épisodique ou individuel mais d’un problème structurel qui relève d’une stratégie.
    • le « harcèlement professionnel » organisé à l’encontre d’un ou plusieurs salariés précisément désignés, destiné à contourner les procédures légales de licenciement ;
    • le « harcèlement individuel » pratiqué dans un but « gratuit » de destruction d’autrui et/ou de valorisation de son propre pouvoir ; »

Commentaire : Urgence de consolider ces lois dans les négociations à venir et au Parlement.

 Avec la Loi travail,  les attaques contre les travailleuses et les travailleurs reprennent des formes anomiques et barbares que l’on avait oubliées – on se croirait du temps du « syndicaliste » J. Hoffa et de Hoover, dirigeant du FBI, chez les dockers de NY avec les conséquences psychiques mis en scène par Tennessee William dans Un tramway nommé désir …, références presque obligées puisque la droite et la pseudo-gauche libéristes s’acharnent à vouloir évacuer les référents sociologiques républicains en réhabilitant le monde désorienté de Seymour Lipset et de Sindey Verba pour qui il n’existe ni gauche ni droite en politique, tout comme celui de Ed. Burke, Nietzsche et compagnie. Or, que cela plaise ou moins, ces inepties sont encore aujourd’hui a-constitutionnelles et illégales chez nous. Il est vrai que depuis un certain temps nos Constitutions et les lois qui en découlent sont piétinées au nom de principes et de référents culturels et civilisationnels qui leurs sont étrangers, même dans la répression et les formes exclusivistes qu’elle assume, sans le moindre état d’âme. C’est ce qu’il faut documenter, par devoir de mémoire et de justice. Les intellectuels doivent également réapprendre la valeur scientifique de la « pratique théorique » républicaine. (3)

Outre le Code du travail – en tout cas ce qu’il en reste – les avancées sociales furent re-codifiées dans les Lois Auroux (4) puis dans la Loi de modernisation sociale voulue par la « gauche plurielle ». Elles incluent la pise en compte du stress et du harcèlement moral. Pourquoi, les oublieraient-on ?

Les directions et le gouvernement prennent prétexte des formes de résistance passives comme la prise de contrôle de l’outil du travail pour accabler les travailleuses, les travailleurs et tous les militants – un peu moins le raccordement des foyers coupés s’agissant d’un service public qui ne peut pas être légalement coupé ni réduit, comme le font pourtant certaines directions, par exemple pour l’électricité ou l’eau.

Les perquisitions, les gardes à vue et le harcèlement moral dans le cadre de ces actions pacifiques sont contraires aux droits acquis sur le harcèlement moral des travailleurs, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’entreprise. Ils ne peuvent être motivés que par des actions intentionnellement criminelles – ou mettant la vie d’autrui en danger, ce qui n’est jamais le cas dans ce genre d’action qui entrent dans l’exercice du droit de grève, droit démocratique constitutionnel par excellence. Celles et ceux qui se souviennent de la différence entre Locke et Montesquieu le savent : la démocratie politique et les droits fondamentaux sont d’autant plus réels qu’ils sont activement soutenus par les différents groupes de la société civile, en premier lieu les syndicats.

Il faut également mettre au clair le droit de l’employeur de surveiller ses employés hors de son entreprise. C’est illégal, Mais c’est courant. Les perquisitions des tablettes et des téléphones etc. le démontrent. Y compris ceux des enfants, ce qui est doublement criminel. Le fait est que ces surveillances mènent à des profiling – comme cela semble le cas pour les faux dossiers S cuisinés pour les faire passer à l’acte et faire de la démagogie à l’heure de pointe. En période de stress et de vulnérabilité financière allant bien au-delà de l’environnent immédiat – ceci peut avoir des conséquences terrifiantes que personne ne comprend vraiment de l’extérieur, car on viole l’intimité des gens. Les militant.e.s doivent en être conscients pour mieux résister. Dans la forme « normale » désormais institutionnalisée cela prend la forme des bracelets Amazon ou encore celle du suivi online avec feedback algorithmique des travailleurs en télétravail – ex les employé.e.s des call-centers – ou diversement uberisés.

Ceci doit donc faire l’objet de toutes les négociations à venir. Il faut réaffirmer les Lois Auroux et la Loi de modernisation sociale et parfaire les protections. Ce qui signifie qu’aucune perquisition sauvage ne saurait être admise ni aucune conduite au commissariat sans une motivation signée et sans la présence d’un avocat lorsque celle présence est requise par la ou les personnes concernées. Nonobstant le retour de l’exclusivisme, nos pays restent des Etats de droit, et ceci vaut pour les droits sociaux fondamentaux inscrits dans nos Constituions.   

Bref, il faut examiner ceci de très près en tenant compte a ) des nouvelles technologies souvent très intrusives – ainsi que de la complicité du patronat et du gouvernement contre la lettre et l’esprit le modèle tripartite constitutionnalisé ; e b ) de la régression légale et comportementale, les dirigeants se permettent aujourd’hui des comportements dont tout le monde, eux y compris, aurait eu honte peu d’année auparavant ; voir par exemple l’attitude du Président Chirac face aux protestations de la rue contre certaines réformes mal reçues. Son idéologie ne lui fit pas renier la lettre et l’esprit de la Constitution que sa culture lui avait fait intériorisé à l’instar de la majorité des autres citoyennes et citoyens.  

Nous sommes malheureusement entraîné dans un cadre néo-nietzschéen (philo-sioniste nietzschéen, pour dire toute la vérité ) qui n’a rien avoir, ni avec notre culture, ni avec l’ordonnancement constitutionnel et légal de nos pays.

Renvoi à mon texte : « Réquisition des personnels et démocratie industrielle et sociale le droit de grève et les négociations syndicales sont pourtant le meilleur remède contre les inflations » 12 – 13 octobre 2022, http://rivincitasociale.altervista.org/requisition-des-personnels-et-democratie-industrielle-et-sociale-le-droit-de-greve-et-les-negociations-syndicales-sont-pourtant-le-meilleur-remede-contre-les-inflations-12-13-octobre-2022/ 

Paul De Marco

Notes

1 ) Accord de Paris et hausse des prix inévitable, mais voulue par la narration dominante qui revoie aux Lois de Manu remises à jour.  1 ) Sur l’Accord de Paris voir http://rivincitasociale.altervista.org/accord-de-paris-climat-decarbonisation-et-problemes-du-ets-le-crime-climatologique-contre-les-pays-emergents-et-la-grande-majorite-de-lhumanite-a-congeler-au-niveau-inegalitaire-de-1990/  2 ) Sur les Nouvelles Lois de Manu voir a ) mon essai « Nietzsche et le retour du cauchemar éveillé » dans http://rivincitasociale.altervista.org/nietzsche-et-le-retour-du-cauchemar-eveille/ ;  et b ) l’attaque criminelle contre le génome humain et le cadre épidémiologique général par la dictature sanitaire et les thérapies à mARN données comme « vaccins », voir : http://rivincitasociale.altervista.org/sars-cov-2-brevesflash-newsbreve/  ( utilisez un traducteur online comme www.deepl.com au besoin)

2 ) « Mort de Rémi Fraisse : l’État condamné à indemniser la famille », Par Le Figaro avec AFP,  Publié le 25/11/2021 à 12:13, Mis à jour le 25/11/2021 à 13:53,https://www.lefigaro.fr/actualite-france/mort-de-remi-fraisse-l-etat-condamne-a-indemniser-la-famille-20211125

3 ) Sur Althusser voir mon essai en anglais dans Download Now, Section Livres-Books de mon vieux site expérimental www.la-commune-paraclet.com  

4 ) Sur les Lois Auroux, voir cet utile résumé : https://www.cse-guide.fr/guide-reforme-code-travail/lois-auroux/

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