Commenti disabilitati su La fin de la mobilité citoyenne avec le passe vignette après le passe vaccinal, le tout avec le traçage 24 heures sur 24 dans le cadre de la mise en place du « continuum de surveillance », 15 septembre 2021

Dans sa tentative d’effacer les acquis républicains et démocratiques de la Révolution française, le Congrès de Vienne de 1814-1815 restaura les forces de la réaction en Europe. Parmi celles-ci, le régime ultraréactionnaire des Bourbons qui régna de nouveau sur le royaume des Deux-Siciles. Il fut à la pointe des pires tentatives de renversement dans tous les domaines de toutes les valeurs humanistes héritées des Lumières, ouvrant la voie aux théories exclusivistes modernes. Outre celles des exclusivistes propageant  la fable raciste-théocratique à fortes pulsions génocidaires de leur race élue de droit divin, furent mises en scène celles qu’elles enfantèrent avec Nietzsche, Houston Stewart Chamberlain, Wagner, Carl Schmitt, Heidegger et tant d’autres serviteurs de l’idéal sulfureux de l’inégalité humaine.

Pour éradiquer la Marche de l’Humanité vers son émancipation générale, ils se livrèrent au nettoyage idéologique le plus cynique tout en remettant en selle les théories sociales les plus archaïques avec l’appui du clergé catholique et des autres dirigeants religieux. La technologie et l’idéal du progrès social ne furent pas épargnés. Ainsi les Bourbons de Naples disposaient de la plus grande industrie métallurgique européenne à Mongiana mais, contrairement à la GB, elle ne contribua pas à l’essor de l’industrie moderne ; tout au plus servit-elle à fabriquer les armes et autres divers objets courants nécessaires, dont ceux destinés à la Marine qui était alors la plus puissante en Méditerranée. Ceci nous valut alors l’appui intéressé de la GB à l’unité de l’Italie puisqu’elle permettait de détruire cette rivale à mesure que les routes commerciales menant de l’Asie à Londres via le Moyen Orient prenaient de l’importance. Les Bourbons de Naples construisirent une des premières lignes de chemin de fer en Europe continentale mais l’utilisèrent surtout pour le déplacement des élites entre leurs palais et le port de Gaeta. En effet, ces dirigeants ultraréactionnaires empêchèrent soigneusement le développement des liens de communication routiers et ferroviaires donnant la priorité au cabotage maritime. La géographie montagneuse aidant, ils empêchaient ainsi, ou à tout le moins rendaient malaisé, la communication commerciale et culturelle des populations entre elles à l’intérieur du pays, réduisant ce dernier à l’état de hinterland le plus pauvre du continent. On reconnaît-là, appuyé sur la domination narrative et le rattachement de la majorité de la population à la glèbe, l’essentiel du système de domination féodal dans sa pire expression.

La mise à jour de ce système de contrôle se met en place désormais dans notre Occident nouvellement philosémite nietzschéen.

Il y a, bien entendu, l’horizon totalitaire annoncé par le passe sanitaire inscrit dans le « continuum de surveillance » qui supprime par décrets non seulement tous les droits fondamentaux en matière de santé – droits de refuser ou de choisir les traitements, santé et pôle pharmaceutique publics etc. – ou bien en matière de protection de la vie privée, mais il impose également la prise de contrôle par le grand capital spéculatif et par Big Pharma du génome humain. Ceci est sans précédent.

Sans un prompt renversement de cette poussée ultra-fasciste modernisée, avec son Apartheid diversement décliné, les dirigeants, soumis à une pathologique pensée acquisitive sans frein, sont en train d’inventer et d’imposer une nouvelle et dangereuse narration pseudo-médicale à ses autres narrations croisées de « choc de civilisation » et de « guerre » au « terrorisme » etc.

En bref, après le néolibéralisme, une narration qui supprima la réalité de la valeur d’échange reposant sur le travail et le surtravail humains au profit dune utilité marginale fallacieuse car purement subjective, voici que ce met en place une néo-médecine fondée sur une narration niant la méthodologie ainsi que la déontologie et le code d’éthique médicaux, dont le Serment d’Hippocrate.(1) Les seuls « faits » acceptables sont ceux établis par cette narration. Par exemple, la nécessité urgente de vacciner les enfants de bas âge au prétexte que le Covid-19 les met en danger et qu’ils seraient contagieux. Bien entendu ceci est contraire à toutes les évidences accumulées jusqu’ici puisque les enfants sont surtout asymptomatiques et peu contagieux et que, depuis le début de cette syndémie, l’âge moyen des décès Covid-19 reste autour de 80 ans pour les personnes souffrant de graves comorbidités.    

Si un tel régime se mettait durablement en place, cela constituerait un changement d’Ère civilisationnelle susceptible de remettre en cause les acquis et les fondements mêmes des valeurs éthico-morales matérialisant la loi naturelle dans ses expressions institutionnelles les plus achevées à date, à savoir l’égalité des membres de l’Espèce humaine et, par voie de conséquence, la souveraineté du Peuple, mais également le destin de son fondement générique en tant qu’Espèce. (*) Monsieur Joël de Rosnay a parfaitement raison d’opposer l’hyperhumanisme et transhumanisme. Le premier vise à compléter les conquêtes civilisationnelles de notre Espèce, se respectant en tant qu’Espèce douée de conscience et se reproduisant le plus harmonieusement possible au sein de la Nature et de l’Histoire. Le second haït le genre humain et  vise au contraire la création d’un surhomme – et donc de sous-hommes – en ignorant, de la manière la plus niaise qui soit, le fait que la pensée, donc la conscience, et le cerveau – donc ses déterminants géniques – ne sont pas la même chose. Il n’y a pas de gène de l’intelligence car si cette dernière repose sur l’appareillage physique et cérébral humain, elle reste toujours, sur cette base, un acquis social et culturel. Par chance – pace Rosalind Franklin … – il est impossible de cloner un être frauduleux, voleur et raciste dans l’âme comme James Watson ou certains grands prêtres rabbiniques ou moins. J’avais tenté d’aborder cette question de nouveau dans le chapitre « Devenir de l’espèce humaine et principe de précaution »  de mon essai « Mariage, unions civiles et institutionnalisation des mœurs » dans la partie rose de mon vieux site www.la-commune-paraclet.com )

La dérive totalitaire qui était prédictible par celles et ceux encore capables de distinguer les narrations, et particulièrement les narrations exclusivistes non-socratiques (2), de la Science tente inexorablement à se mettre en place. C’est une question de vie ou de mort pour un système d’exploitation et d’aliénation aux abois du fait de ses contradictions. A l’obligation vaccinale a-constitutionnelle aggravée par le chantage à l’emploi, à la mobilité et à la sociabilité, s’ajoute la dérive pseudo-écologique. Les effets anti-civilisationnels de cette stratégie du grand capital se propagent avec l’appui peu surprenant du pape jésuite, également en faveur des pseudo-vaccins, et de chantres du régime tels Larrouturou et Gaël Giraud, hérauts d’un Giec jouant son va tout à Glasgow etc. Ils prennent notamment la forme de la taxe carbone avec les ETS ce qui entraînera la destruction des coûts de production de nos Formations sociales. S’y aoutent les effets de la hausse des prix de l’électricité et du chauffage ainsi que ceux  de la restriction de la mobilité par le biais du passe vignettes nécessaire pour circuler dans les zones à faible émission, vite destiné à s’imposer sur tout le territoire. Ce ne sont plus uniquement les Gilets jaunes qui sont concernés !

Voici les dernières dérives en date.

En juillet 2021, l’UE durcissait ses directives pour atteindre ses seuils de réduction des émissions de CO2. Au prix bien entendu de compensations et de mitigations diverses, la plus intéressante étant celle qui vise à calculer en terme « d’équivalent CO2 ». Cette politique est aussi pernicieuse que l’était l’Accord de Montréal sur les CFCs, puisque il s’agit toujours d’imposer de nouvelles normes et de nouveaux paramètres qui rendent obligatoire le remplacement des parcs de marchandises existants dans des économies matures où les marchés externes sont grugés par les nouveaux concurrents des pays émergents et où les marchés internes sont soumis au rythme lent du renouvèlement des parcs existants en tenant compte, au mieux, de l’aubaine procurée par l’obsolescence programmée et autres « juppettes » automobiles. On tente de lever ainsi les limites à l’accumulation du capital, ne serait-ce que de manière transitoire. A la différence près que, cette fois-ci, contrairement à l’Accord de Montréal ce ne sont plus les pays occidentaux qui contrôlent les technologiques de pointe ni les marchés les plus prometteurs. De ce fait, la politique climatologique européenne et occidentale, met en place les instruments de sa ruine, dont la taxe carbone et la bourse des certificats verts. Nous avons déjà traité ce sujet à fond. (3)

Aujourd’hui l’UE et ses Etat membres poussent cet harakiri beaucoup plus loin en planifiant la fin de la voiture thermique et donc de la mobilité citoyenne. Or cette dernière, en tandem avec le droit d’association, représente un des espaces démocratiques essentiels conquis par le peuple souverain autrement soumis aux limitations de la représentation parlementaire et à de la justice de classe. (4) «  Le sens de l’histoire s’accélère. La Commission européenne s’apprête en effet à donner un coup d’accélérateur au processus de décarbonations de l’industrie automobile, en proposant de durcir significativement les contraintes CO2 à horizon 2030 avant de les réduire à néant en 2035.»

La bourgeoisie apatride applique sans le moindre état d’âme sa politiquement hautement inégalitaire et exclusiviste de la désincitation économique. La désincitation touche évidement moins celles et ceux qui peuvent se payer des alternatives … et 5 fruits et légumes frais au minimum par jour …

Avec l’augmentation des prix de l’électricité – qui n’est qu’une petite partie de l’énergie nécessaire aux ménages et au système socioéconomique – , avec la fin programmée de la voiture thermique, on nous sert également les zones à faible émission de CO2, c.-à-d., le début de la mobilité conditionnelle qui s’étendra très vite à tout le territoire.

Voici une vidéo essentielle sur le sujet :  « La moitié des voitures interdites de circuler en France – Êtes-vous concerné ? », 12 set 2021, https://www.youtube.com/watch?v=y1Ft_O7i7ws&t=629s

On nous y apprend que l’autonomie des voitures électriques est assez vaguement définie, la clef résidant dans l’interprétation élastique du terme « jusqu’à » tant de km – un peu comme le trucage de Volkswagen ?

S’ajoutent les zones à faible émission : elles ne concernent pas uniquement Paris mais les 11 plus grandes régions métropolitaines. Pour y circuler il faut un passe vignette-critère– qui vérifie et trie – mot décidément signifiant dans cette nouvelle Ère anti-humaine  – le  type de voiture pouvant circuler dans la zone. Près de 60 % des véhicules sont d’ores et déjà concernés en France sur une très grande partie du territoire. Puis pour 2024/2006, mettant donc en cause 80 % du parc roulant, se sera le tour des agglomérations de plus de 150 000 h.  Tous les véhicules diésel d’avant 2011 et essence d’avant 2006 sont concernés. Les horaires de circulation pour l’instant varient d’un lieu à l’autre. Un des commentateurs déclare avec lucidité qu’il n’y a guère que deux moyens de mettre fin à cette folie, soit le bulletin de vote, soit les ronds-points Gilets jaunes à la puissance 10. Comment lui donner tort ?

Le « laissez faire, laissez passer » renvoie à une révolution libérale désormais enterrée par un néo-corporatisme néo-mercantile alors qu’il convenait de compléter son aspect révolutionnaire libertaire par le biais de la socialisation des grands moyens de production et d’échange et par la planification. Ceci concerne également le niveau international avec la substitution du « fair trade » multilatéral au « free trade » impérialiste, ce qui nous renvoie à l’adoption urgente d’une nouvelle définition de l’anti-dumping permettant de garantir le niveau du salaire individuel ainsi que celui du salaire différé. Ce dernier finance par ses cotisations les programmes sociaux publics d’accès universels, ainsi que le champ fiscal permettant de financer les infrastructures et les services publics. (5) Ces trois composants sont essentiels pour comprendre le concept théorique et opérationnel de « revenu global net » des ménages avec ses circuits vertueux du capital qu’il faut substituer au concept creux de « revenu disponible » marginaliste. Ce dernier baissa récemment aux USA puisque ( !) la hausse vertigineuse du nombre de chômeurs dû à la crise éco-sanitaire fut accompagnée par le versement de l’allocation chômage. C’est ainsi que, dans l’indifférence et l’incompréhension cultivée de tous les économistes – dissonance cognitive et groupthink caractéristiques – le « revenu disponible»  médian s’éleva et le taux de pauvreté s’abaissa, alors que le taux de chômage atteignait des records inconnus depuis la Grande Dépression.

La fin de la mobilité citoyenne se double de la fin de la citoyenneté tout court puisque l’augmentation des prix de l’énergie nécessaire aux ménages, par ailleurs soumis à une précarité, voire à une paupérisation, croissante, nie les conditions matérielles minimales de l’exercice de cette citoyenneté.

Ainsi beaucoup sont ceux qui s’alarment de la montée des prix, en particulier ceux de l’énergie et des métaux. Nous avions déjà annoncé le fait que cette hausse, qui ne met pas le moindrement en cause l’inflation monétaire à proprement parler, risquait de ne pas être temporaire n’étant pas liée uniquement aux effets de la crise sanitaire et socioéconomique qui bouleversent les flux d’approvisionnent dans le contexte instable des « flux tendus » ou la gestion du « just-in-time ». L’aspect le plus destructeur vient de la débile narration écologique du Giec et Cie, qui diabolise CO2, pourtant bénéfique pour la végétation et les cultures, en sachant que son augmentation dans l’atmosphère a toujours suivi le réchauffement et non l’inverse. (6) On sait, par exemple, qu’avec l’exception du modèle russe, tous  les modèles du Giec sont très éloignés des faits observables et qu’ils ne tiennent pas compte du permafrost entre autres choses.

Nous avions déjà souligné la débilitante hypocrisie qui se met en place dans le cadre de la conférence de Glasgow. Nous écrivions :

«L’hypocrisie de toute cette démarche est résumée dans le premier article cité plus haut au point 2, avec un typique hommage non-dit de M. Alock Sharma à Nicholas Stern et aux réserves de pétrole et de gaz de la Mer du Nord, voire aux mines de charbon anglaises.

Citation : « En effet, l’exécutif britannique, et notamment Alok Sharma, a défendu le projet controversé du Royaume-Uni d’autoriser de nouvelles explorations de gisements de gaz et de pétrole, alors que l’Agence internationale de l’énergie a averti en mai que le monde devrait renoncer dès à présent à tout nouveau projet pétrolier ou gazier s’il veut encore pouvoir limiter le réchauffement climatique à 1,5°C. »

Le déferlement de la pathologique mentalité acquisitive désormais sans frein devient évident. Pour elle ni la société ni le génome de l’Espèce humaine en tant qu’Espèce ne saurait exister hors de leur contrôle finalisé au profit individuel de quelques « auto-élus » apatrides. Il sera sous peu ressenti dans leur chaire par tous les peuples soumis au nouveau philosémitisme nietzschéen et à ses narrations toujours plus nocives. Voyez par exemple cette vidéo sur Le Média Flambée des prix de l’énergie : les Français en colère » , 7 set 2021, https://www.youtube.com/watch?v=-0E4THwwsCE&t=40s

On sait que cette attaque contre le standard de vie général va de pair avec la poursuite « coûte que coûte » des réformes plus régressives que jamais visant à démanteler ce qui reste des conquêtes populaires de l’Etat social, droit du travail, négociations collectives, rémunérations, assurance-chômage, les 4 piliers de la Sécurité sociale dont la santé et les retraites et ainsi de suite.

Il reste à montrer la stratégie de communication visant à répéter en boucle le crédo climatologique qui vise à culpabiliser les gens pour leur faire accepter les hausses des prix conçues cyniquement comme des mesures de désincitation tout en prenant soin de masquer les causes réelles de ces augmentations. Gramsci avait déjà attirer l’attention sur la « pédagogie coercitive » des classes dominantes et leur cynisme à manipuler les instincts les plus primaires des « foules ». Ceci se fait comme toujours avec l’appuis des nouveaux bas-clergés encore plus ineptes que les pitres enrôlés dans les nouvelles croisades et la « guerre » (!) contre le terrorisme après le 9/11.

L’Italie demeure le grand laboratoire de toutes ces inepties fascisantes. Ainsi depuis 2013, en témoigne mon expérience personnelle, la facture d’électricité a plus que doublé. Celle de l’énergie – gaz, essence etc. – a naturellement précède ce mouvement. Ces hausses viennent directement de la constitution légale du marché libre de l’énergie et du financement par les citoyens, en particulier par celles et ceux qui, gagnant trop peu, ne peuvent pas déduire de leur impôt sur le revenu le coût des énergies alternatives, surtout le solaire et l’éolien, qui bénéficient de surcroît de très onéreuses subventions gouvernementales.

Les prix de l’électricité et du gaz flambent aujourd’hui. Le ministre italien prend donc tactiquement les devants sans attendre car bientôt d’autres mauvaises nouvelles pour les travailleurs et pour 80 à 90 % des ménages vont s’accumuler dans le cadre de la réforme fiscale annoncée dans le cadre du PNRR et de la préparation des textes budgétaires à soumettre à la Commission selon les mécanismes du Semestre européen. Or ni l’Italie ni la France ne sont plus en mesure de respecter le Fiscal compact qui s’imposer de nouveau dès le 1 janvier 2023 grâce aux Ricovery Fund. Rappelons qu’il impose une réduction annuelle de 1/20 de la dette publique au-dessus des 60 % permis par le Traité de Maastricht. Qui propose alors  de passer à 1/30 – Arthuis –, qui propose de ne pas compter les liquidités mises à disposition par la BCE sous forme de Green bonds, dans la dette publique. Mais personne ne propose la seule mesure séreuse et opérante, à savoir le retour au crédit public pour financer la dette publique et parapublique …    

“La facture d’électricité augmentera de 40% au prochain trimestre”, selon le ministre Cingolani : nous devons faire face à la situation “Le trimestre dernier, la facture d’électricité a augmenté de 20%, le trimestre prochain elle augmentera de 40%, ces choses doivent être dites, nous avons le devoir de les affronter”. C’est ce qu’a prédit le ministre de la Transition écologique Roberto Cingolani à Gênes lors d’une conférence organisée par la CGIL. (…)

Cela arrive, a déclaré le ministre Cingolani, parce que le prix du gaz au niveau international augmente, cela arrive parce que le prix du CO2 produit augmente aussi”. » affirme-t-il.

Bien entendu il n’omet pas de souligner le rôle du CO2 mais ceci vient du fait que lui et son gouvernement pensent pouvoir en tirer partie en prétextant que le gouvernement fait tout ce qui est en son pouvoir pour protéger les ménages en leur reversant une partie des revenus fiscaux encaissés au titre des certificats verts. Bien entendu, en occultant la désastreuse politique de subvention des énergies alternatives intégrées aux factures et sans remettre en question le moins du monde le rôle néfaste du démantèlement des anciens monopoles naturels publics EDF-GDF qui garantissaient des prix bas et stables, ni celui de l’ouverture du marché énergétique à la concurrence au sein de l’UE. Le dieu marché ne peut être remis en question. Si le prix du gaz et du pétrole augmente, c’est une fatalité qui relève de la loi naturelle !!! C’est ce que disent les textes officiels. (9)   

Pourtant seuls quelques rares commentateurs dénoncent l’absurdité du système d’inepties intégrées répandue par la climatologie officielle qui comprend les subventions aux alternatives et l’ouverture déstabilisante au marché soi-disant « libre et non faussé». Et pourtant plus que les aléas du prix du pétrole et du gaz dans le cadre de l’augmentation onéreuse de la part des alternatives dans les bouquets énergétiques nationaux, le déclencheur de la flambée actuelle des prix relève directement de la énième panne de vent dans la Mer du Nord qui contraignit l’achat en catastrophe d’énergie et d’électricité par la GB. (10)

Sur les marchés spéculatifs, malgré les ineptes lubies de Mises, Hayek, Friedman, voire de disciples de second ordre comme des Sorman ou des Pascal Salin en France, l’ouverture des marchés ne produisit pas plus de stabilité mais, au contraire, des crises récurrentes de plus en plus graves, mal dissimulées par les bailouts, les QE et les autres liquidités injectées à flux continus par les Banques centrales. Ces crises récurrentes sont aujourd’hui sous les yeux de tous. De même, l’ouverture du marché de l’énergie crée une instabilité chronique que la soi-disant « smart grid »  a bien du mal à conjurer. Comme toujours avec le capitalisme, les crises se conjurent in fine sur le dos des travailleurs et des peuples.

Mais tant va la cruche à l’eau …

La narration économique marginaliste prend l’eau de toute part : le marginalisme dans toutes ses variantes ne sait pas ce qu’est la valeur, ses prix déterminés par l’offre et la demande souffrent d’une contradiction létale ex ante/ex post qui mène à substituer la macroéconomie par une microéconomie subjective et totalitaire. Avec un J. Tirole on assiste même à la loufoque suppression de toute macroéconomie, comme si le monde économique se résumait aux Gafam et aux autres transnationales uniquement soumises à leur propre  « gouvernance globale privée », et tant pis pour la logique élémentaire ! Ce paradigme archaïque et fallacieux ne fait pas la différence n’être intérêt et profit, entre intérêt classique et intérêt spéculatif, entre monnaie et crédit, entre crédit public et crédit privé , entre crédit classique et crédit spéculatif dans le cadre d’un système fractionnaire etc.,etc. Ceci vaut pour le fallacieux PIB marginaliste. (11) Aujourd’hui, les Banques centrales sont aux prises avec toutes ces contradictions qui prennent la forme d’une hausse des prix non monétaire qui n’a donc rien à voir avec l’inflation – structurelle – bien que les indices à la disposition des banques centrales, CPI, CPE et CPP, ne permettent pas le moins du monde d’appréhender la situation. Mettre en œuvre des mesures monétaristes contre une inflation qui n’en est pas une, le tout en refusant de hausser le salaire minimum, ne peut mener qu’à une désastreuse fuite en avant vers plus de spéculation et de crises, une fuite en avant pire que celle qui suivit la crise de 2007-2008 menant à l’hégémonie définitive de facto du « crédit sans collatéral » .(12) M. J. Powell et Mme Ch. Lagarde en savent quelque chose ainsi qu’il est détaillé dans mon texte cité dans la note 3 ci-dessous. Ils ont beau répéter que la politique de la Banque centrale ne peut pas tout … Les gouvernements, empêtrés dans leur catéchisme idéologique, ne suivent pas ou bien ils font le contraire de ce qu’ils devraient faire. Il en fut ainsi avec la réforme fiscale inégalitaire de Trump qui coupa l’herbe sous les pieds de J. Powell alors qu’il tentait patiemment de re-normaliser le cadre bancaire et financier, processus également connu comme « reset ».

Par contre en France subsiste, quoique dans une forme très diminuée, un mécanisme d’ajustement des prix.  J’en suis arrivé dernièrement à réévaluer ma compréhension du SMIC. Le Smic ne fonctionne plus comme il était supposé fonctionner à l’origine, à savoir, que malgré qu’il fut horaire, il s’inscrivait dans un cadre où le salaire de base servant au calcul correspondait à un système où le plein-temps accompagnait un quasi plein-emploi – bien entendu évalué structurellement de manière marginaliste à la hausse par l’OCDE, de sorte qu’il ne correspond plus au taux de chômage frictionnel classique de 2 % à 3 % mais plutôt à un fallacieux taux de chômage structurel fixé à 8 % déjà en 1987 et aujourd’hui à 11% et plus pour des pays comme l’Italie … Comme on l’observe pour la crise sanitaire les statistiques officielles servent surtout à légitimer le système. 

Dans un tel contexte plus vertueux caractérisé par un quasi plein-emploi, la mécanique de l’augmentation du Smic le premier janvier ainsi que l’éventuel ajustement au premier octobre pour tenir compte des flambées inflationnistes, bien que ne remplaçant pas l’ancienne indexation des salaires, ou même la prise en compte de tous les composants non monétaires de l’Indice CPI – à preuve l’ajout des « coups de pouce » – permettait néanmoins d’amortir les effets les plus néfastes sur le standard de vie. L’impact positif sur le « coût de la vie » se répercutait également sur la tenue de toute l’échelle salariale puisque le salaire de base restait le fruit de la négociation collective.

Avec la précarisation croissante de la force de travail, le SMIC développe des mécanismes pervers favorisant la précarité et les emplois atypiques, voire de gré-à-gré. Lorsque l’inflation est basse, c’est surtout l’impact sur la structure de la force de travail plutôt que sur la structure des prix qui devenait délétère. Reste que le mécanisme d’ajustement automatique des prix a encore son rôle à jouer et pourrait le jouer d’autant mieux que : a ) on tiendrait compte des hausses non monétaires par le coup de pouce et b ) que le SMIC soit de nouveau réinscrit dans un cadre vertueux fondé sur la RTT et sur le temps partiel choisi. (13)

Bref, la bourgeoisie spéculative préparent des lendemains qui vont déchanter d’importance avec ses pathologiques narrations liberticides socioéconomiques, culturelles et sanitaires. Il serait bon que la gauche et les syndicats non-gompéristes en prennent rapidement la mesure. A commencer par la relégation des pseudo-vaccins anti-Covid-19 au tas de fumier de l’Histoire auquel ils sont destinés du fait de leur lamentable faillite, doublée de la mise en danger de la population par une obligation de fait et par la mise au ban des soins médicaux précoces plus efficaces et moins nocifs car fondés sur des molécules connues depuis des décennies et peu onéreuses mais repositionnées avec science, en particulier le protocole du prof. Raoult et l’ivermectine etc.

Personne ne peut plus soutenir que les pseudo-vaccins sont efficaces lorsque leur efficacité n’est plus que de 39% ou 42 % – en présence d’une courbe déclinante du variant dominant, de sorte qu’avec la monté vers le pic du Delta cette efficacité devint nulle, à preuve le fait que la majorité des hôspitalisations et surtout des morts est constituée par des vaccinés double dose.  

Personne ne peut sans fraude scientifique prétendre que cette efficacité demeure pour les formes graves lorsque, selon l’officiel Technical briefing 22, les vaccinées double dose on 293 % plus de chance de mourir que les non-vaccinés. En creusant un peu les statistiques en provenance d’autres régions, on aboutit au même constat avec quelques variations nationales, tant en Californie qu’en Italie. Retournez ce résultant de 293 % dans le sens que vous voudrez, aucun effet positif n’est détectable. Et, pour confirmer cette affirmation réfléchie, il suffit de comparer avec la situation existant avant la généralisation de ces nocifs pseudo-vaccins ou bien, mieux encore, avec les résultats exemplaires obtenus par l’IHU de Marseille, ce qui peut être très rapidement vérifié en jetant un coup d’œil aux tableaux comparatifs procurée dans cet article : « Evaluation of Strategies to Fight COVID-19: The French Paradigm » , p 6 of 17, in Journal of clinical medicine Evolution of strategies to fight COVID-19 : The French paradigm (https://www.mdpi.com/2077-0383/10/13/2942 .

Et tout ceci sans même tenir compte du fait que les variants plus contagieux comme le Delta peuvent être moins mortels, affichant un pic moins haut, indépendamment des mesures prises au niveau sanitaire. ( voir par ex., Prof. Raoult : Vie et mort des variants du SARS-COV-2, https://www.youtube.com/watch?v=-ADM4mSW06w .)

Ce qui est grave, voire criminel pour parler clair, c’est que la CDC manipule les données en se livrant à un « under-reporting » pour les hospitalisations et les décès parmi les double doses, ce que le CDC a d’ailleurs récemment admis. Mais les faits finissent toujours par percer. Par exemple ceci : « L’étude a révélé que de mars 2020 à janvier 2021, 36 % des cas de Covid recensés à l’hôpital étaient légers ou asymptomatiques. De janvier 2021 à juin 2021, pendant la propagation de la variante Delta, ce chiffre est passé à 48 %. Pour les patients de l’hôpital vaccinés, ce chiffre a atteint le chiffre stupéfiant de 57 %. » (dans « Narrative Nuked: Nearly Half Of ‘COVID Hospitalizations’ This Year Have Been Mild Or Asymptomatic Cases », by Tyler Durden,Tuesday, Sep 14, 2021 – 11:35 AM, https://www.zerohedge.com/markets/new-study-suggests-almost-half-all-covid-hospitalizations-january-june-had-mild-or )

De manière encore moins démocratique, les données nécessaires similaires à celles des Technical briefings anglais sont difficilement accessibles en Italie et en France. On donne des chiffres farfelus sur les effets bénéfiques mais aucune comparaison systématiques du pourcentage des morts double dose par rapport aux non-vaccinés. Ceci n’ayant qu’un seul objectif, cacher la vérité pour inciter-forcer tout le monde à se vacciner peu import l’âge, créant ainsi un fait accompli. Le nouvel Impératif catégorique exige qu’il faille vendre à tout prix. Voir à ce sujet la note en date du 12 settembre 2021 dans ces Brèves en utilisant le traducteur online www.deepl.org au besoin ( «A ) Colpo di coda della Delta e B ) Strane statistiche della ISS e dei media : se muoiono più vaccinati rispetto ai non vaccinati, i pseudo-vaccini non proteggono. C ) 173 ospedali e 46 000 unità personale in meno in 10 anni. Serve il ritorno alla Sanità pubblica muro a muro con una politica del farmaco pubblica. )

Et que dire de l’efficacité de la troisième dose avec le même produit ayant déjà failli contre le Delta ? Mais cette troisième dose sera strictement réservée aux thérapies à ARNm en particulier Pfizer et Moderna ! Il suffit de jeter un coup d’œil sur les données mêmes partielles fournies par le ministère de la santé israélien : un nombre toujours croissant de contamination des troisièmes doses se vérifient déjà de sorte que la mentalité acquisitive sans frein prépare la quatrième dose sans perdre de temps !!! Elle le fait en ignorant royalement les effets secondaires graves de ces pseudo-vaccins qui sont plus de 20 fois ceux vérifiés avec les vaccins normaux développés durant 7 à 10 ans minimum ; elle le fait en ignorant également le rôle nocif de la composante S1 de la protéine Spike mis en évidence par différentes études – par exemple, celle de l’équipe du Dr Marik sur les souris humanisées ou celle, italienne, qui détecta la présence de la Spike dans les tissus mammaires ; ou encore, les effets inévitables engendrés à moyen et long termes par la transcriptase inverse – leucémies, défaillances multiples des organes etc. – qui ne peuvent être niés.

Un des effets remarquables de cette syndémie est la quasi disparition des symptômes de l’influenza que tout le monde constate mais pour laquelle il n’existe, à date, aucune explication scientifique définitive. Qu’à cela ne tienne : la mentalité acquisitive sans frein des drug pushers pleins de conflits d’intérêts, ceux-là même qui prescrivirent le dangereux remdesivir, mutagène et nocif pour les reins. Ayant déjà acquis le principe de la vaccination Covid à répétition de la quasi-totalité de la population, ils poussent maintenant pour le retour à la vaccination contre le rhume, car il faut bien que l’argent rentre …Ensuite, dans le cadre du continuum de surveillance, viendront les autres instruments, dont les nanoparticules fluorescentes et autres, malgré les démentis plus que convenus entendus jusqu’ici. On veut nous traîner de gré ou de force dans une Ile du Dr. Moreau dominée par un nouveau Grand Inquisiteur tel que celui dépeint pas Dostoïevski, à qui nous serions tenus de remettre notre conscience, nos sensations, nos sentiments, notre vie privée et notre intimité, et maintenant aussi notre génome. La régression préfigurée dans l’Animal farm de Orwell n’est plus qu’une vision pâlotte comparée à cette envolée démentielle de la pensée acquisitive sans frein …

Ceci n’a plus rien à voir avec notre civilisation humaine fondée sur le devenir historique de notre émancipation individuelle et collective. La Résistance s’impose.      

Paul De Marco     

Notes :

1 ) Je renvoie ici à mon Pour Marx, contre le nihilisme pour la mise en place de la doctrine – par définition illégale – de la « guerre préventive », pour la manipulation schmittienne de la « peur » aggravée par la création artificielle d’un « ennemi », ainsi que pour la stratégie de domination impériale reposant sur la fin brutale des « rising expectations » des peuples et des travailleurs, le retour à la déférence, non pas de la science mais de l« Autorité auto-conférée » le tout soutenu par le contrôle des « flux autorisé de communication », c.à.d., par la Nouvelle Inquisition, et, le cas échéant par le recours au Marteau nietzschéen – guerre au terrorisme non défini, Patriot Act et ses séquelles etc. S’y ajoute aujourd’hui la fable de la climatologie avec son endoctrinement (http://rivincitasociale.altervista.org/climat-et-endoctrinement-mars-2019/ )

Au niveau méthodologique voir pour le domaine économique mon Introduction méthodologique qui démonte les falsifications marginalistes et néolibérales. Au niveau sanitaire, voir par ex., l’Annex 1 de ma Synthesis disponible dans ces mêmes Brèves.

Personne n’aura manqué de remarquer l’arrogance des Diafoirus vaccinaux, non seulement les plus médiatisés, mais également ceux, encore plus vénaux, qui officient dans les conseils militaires et dans les conseils soi-disant scientifiques qui conseillent le Pouvoir. La technique est toujours la même : les négationnistes de la Raison et de la décence humaine accusent les autres d’être des « négationnistes ». Le prof. André Orléan en a joliment recadré quelques uns, voir : « Quand Messieurs Cahuc et Zylberberg découvrent la science », André Orléan, 12/09/2016 , https://www.alternatives-economiques.fr/messieurs-cahuc-zylberberg-decouvrent-science/00012139

2 ) Sur la science versus les narrations voir mes essais sur Joachim de Flore dans la  Categoria Cultura e R&S de ce même site ainsi que celui-ci : « Brevi appunti su Gioacchino da Fiore pitagorico » dans  https://www.la-commune-paraclet.com/ItaliaFrame1Source1.htm#gioacchinogunesh

3 ) Accord de Paris, climat décarbonisation et problèmes du ETS : le crime climatologique contre les pays émergents et la grande majorité de l’Humanité à congeler au niveau inégalitaire de 1990 in http://rivincitasociale.altervista.org/accord-de-paris-climat-decarbonisation-et-problemes-du-ets-le-crime-climatologique-contre-les-pays-emergents-et-la-grande-majorite-de-lhumanite-a-congeler-au-niveau-inegalitaire-de-1990/ 

 4 ) Fin de la voiture thermique : l’histoire s’accélère en Europe

Dans une semaine, la Commission européenne annoncera de nouveaux objectifs de baisse de CO2 dans l’industrie automobile. Les constructeurs automobiles s’attendent à des mesures extrêmement restrictives, et se tiennent même prêt à anticiper des échéances encore plus sévères. La fin du moteur thermique: chronique d’une accélération historique.

Nabil Bourassi ,08 Juill 2021, 10:32 ,  (Crédits : DR) , https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/automobile-le-sens-de-l-histoire-s-accelere-vers-la-fin-de-la-voiture-thermique-888601.html

5 ) Voir mon Avant-propos et Appel dans http://rivincitasociale.altervista.org/avant-propos-2/ 

6 ) Voir dans le cadre de l’article cité dans la Note 3, l’argumentation relative à la hausse des prix et du coût de production : Inflation: un nouveau cycle écolo-bourgeois absurde s’annonce avec une hausse des prix allant de pair avec la déflation salariale mais donnée pour de l’inflation, 12 mai 2021, in http://rivincitasociale.altervista.org/inflation-un-nouveau-cycle-ecolo-bourgeois-absurde-sannonce-avec-une-hausse-des-prix-allant-de-pair-avec-la-deflation-salariale-mais-donnee-pour-de-linflation-12-mai-2021/ 

7) Voir La nuisible et coûeuse imposture de la COP 26 à Glasgow 9 août 2021, in http://rivincitasociale.altervista.org/la-nuisible-et-coueuse-imposture-de-la-cop-26-a-glasgow-9-aout-2021/

8 ) «Bolletta elettricità aumenta del 40% nel prossimo trimestre», il ministro Cingolani: dobbiamo affrontare il problema ,Redazione Web , https://www.msn.com/it-it/money/storie-principali/%c2%abbolletta-elettricit%c3%a0-aumenta-del-40percent-nel-prossimo-trimestre%c2%bb-il-ministro-cingolani-dobbiamo-affrontare-il-problema/ar-AAOotYs?ocid=SL5MDHP&li=BBqfWMR

9 ) ARERA = https://www.arera.it/it/com_stampa/21/210701.htm.

10 ) Energy Prices in Europe Hit Records After Wind Stops Blowing

Heavy reliance on wind power, coupled with a shortage of natural gas, has led to a spike in energy prices. https://www.wsj.com/articles/energy-prices-in-europe-hit-records-after-wind-stops-blowing-11631528258 Small Towns Are Fighting Renewable Eergy Development

Property owners in the windy and sunny parts of the U.S. are pushing back against large-scale renewable energy development, opposition that researchers say could slow the transition to a cleaner economy. Photo: Aaron Yoder/WSJ

11 ) Voir le résumé La pseudo-science économique-de la bourgeoisie :voilà pourquoi nous devrions changer rapidement de paradigme économique, in http://rivincitasociale.altervista.org/la-pseudo-science-economique-de-la-bourgeoisie-voila-pourquoi-nous-devrions-changer-rapidement-de-paradigme-economique/

Voir aussi l’Introduction méthodologique et le Précis d’Economie Politique Marxiste dans la section Livres-Books de mon vieux site www.la-commune-paraclet.com 

Voir aussi : Le PIB outil de narration marginaliste contre le bien-être des peuples et la prospérité des Etats-nations, 24-mai-2020,  in http://rivincitasociale.altervista.org/le-pib-outil-de-narration-marginaliste-contre-le-bien-etre-des-peuples-et-la-prosperite-des-etats-nations-24-mai-2020/ 

12 ) Voir « Credit without collateral », « The Treasury and the FED » ainsi que « The Fed dilemma » dans la section Economie Politique Internationale de mon vieux site jurassique www.la-commune-paraclet.com . Pour l’inanité des Indices marginalistes, voir l’essai sur le PIB ci-dessus.

13 ) Augmentation du smic au 1er octobre du fait de l’accélération de l’inflation

Le montant exact du salaire minimum interprofessionnel de croissance (smic) revalorisé devrait être communiqué mercredi dans la journée par le ministère du travail.

Le Monde avec AFP ,  Publié aujourd’hui à 09h53 , https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/09/15/augmentation-du-smic-au-1er-octobre-du-fait-de-l-acceleration-de-l-inflation_6094734_3234.html

  * ) Il convient en effet d’établir une distinction entre mode de production, époque de redistribution, Âge et Ère civilisationnelle. Le premier concerne la structure socio-économique historiquement déterminée par les trois rapports grands rapports, rapports d’exploitation, rapports de distribution et rapports juridico-politiques larges . Le second concerne les choix de redistribution sociale au sein d’un même mode de production. Le troisième, bien compris par les préhistoriens, concerne la longue durée reposant sur les avancées technologique structurante, le feu menant à la distinction entre le cru et le cuit, la domestication des plantes et des animaux, l’âge de la pierre, du bronze, du fer, le machinisme et ses énergies associées mais limitées, puis sans doute fusion et son énergie quasi-illimité… Le quatrième renvoie au plus long terme qui concerne la lente sédimentation des valeurs éthico-politiques reposant sur l’affirmation toujours croissante de la Loi naturelle – G. Vico et son diritto delle genti – se concrétisant dans les droits fondamentaux individuels et sociaux auquel la Chine a ajouté dernièrement à bon escient les droits fondamentaux culturels, par conséquent le respect de la science ontologiquement égalitaire donc sous la forme avancée du matérialisme historique. On passe par exemple à l’interdiction des sacrifices humains, à la dénonciation de l’esclavage et de la guerre, au rejet des tortures etc. Marx parlait de conditions « morales » dans le sens classique du terme tel qu’utilisé dans l’expression « sciences morales » ; en termes modernes, nous parlerions des conditions civilisationnelles qui sont primordiales en tant que forces matérielles institutionnalisées permettant la reproduction des sociétés. Sans ces conditions civilisationnelles, les trois autres distinctions sombrent dans la barbarie. Le cas du fascisme mussolinien tentant de lever les contradictions du capitalisme en récusant les droits et les libertés liés au libéralisme classique en faveur d’un libérisme – Croce – à tendance exclusiviste, mena fatalement au corporatisme et à son ensauvagement aboutissant à son apothéose suicidaire avec la République de Salò. C’est ce genre de régression inhumaine qui nous guette une nouvelle fois.

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